Le But Des Lois Spinoza

faut vivre en assouvissant ses désirs c'est la licence : n'imposer aucune limite à ses désirs Plan du texte : *Ligne 1 à 5 : thèse *Ligne 5 à 13 : critique morale commune qui prône la tempérance, la modération du désir *Ligne 13 à 18 : critique des lois qui s'opposent à l'idéal de vie qu'il prône Dans ce dialogue, il est question d'une manière de vivre. La thèse de Callicles est l'anti-thèse complète de celle de Socrate. Callicles est un jeune homme ambitieux, passionné. Il est élevé par les sophistes

l'être ne peut exister à part des êtres particuliers, de ce que Heidegger appellera les « étants » ? Réfléchissant sur ce problème, Aristote, pour déterminer les significations multiples du mot « être », aborde l'étude des catégories, étude que, dans un but analogue, Kant reprendra plus tard. Et sa recherche le conduit à passer du problème de l'être comme existence au problème de l'être comme essence, à s'interroger sur la première cause de ce qui est. En ce sens, la métaphysique d'Aristote tend à devenir

qui place la finalité de la vérité dans un ailleurs ? Quel est son rapport à l'utilitaire ? La vérité désintéressée Dans l'Antiquité, les penseurs présentaient l'homme comme recherchant la vérité pour elle-même, c'est-à-dire sans utilité ou but précis. Cette thèse de la contemplation des idées est soutenue par Platon et mènerait l'homme à sortir de la caverne pour pouvoir se défaire de ses illusions. Ce sont ces croyances qui conduisent dangereusement à l'ignorance qui s'ignore, alors qu'au

le plaisir ; le devoir, la vertu ou l’obligation ; la perfection, le développement le plus parfaitement harmonieux du potentiel humain. L’autorité à laquelle doit obéir la conduite humaine change selon les écoles de pensée : la volonté divine, les lois de la nature et les règles de la raison apparaissent tour à tour comme le fondement de la régulation morale. Pour la pensée religieuse, selon laquelle la volonté divine représente l’autorité suprême, les actions humaines doivent obéir aux commandements

illusion.
Ce dont j'ai conscience, dit Spinoza, c'est ce que je veux, désire et fais mais non les causes qui expliquent ce que je veux, désire et fais. Les hommes sont conscients de leurs actions et ignorants des causes par où ils sont déterminés. Par conséquent, ils s'imaginent qu'ils sont libres c'est à dire qu'ils attribuent à la conscience le pouvoir d'être cause première de leurs actions parce que les causes réelles de celles-ci leur échappent. Ainsi, explique Spinoza, une pierre consciente roulant

ainsi que la nouvelle hiérarchie de valeur qui en découle. On peut donc dire de cette époque qu’elle est l’ère de la raison triomphante. Qu’on pense à René Descartes (1596-1650), Thomas Hobbes (1588-1679), John Locke (1632-1704), Baruch Spinoza (1632-1677), Gottfried Wilhelm Leibniz (1646-1716), David Hume (1711-1776) et bien d’autres encore, les philosophes modernes sont préoccupés à un très haut degré par le sens de leur démarche et par la rigueur et l’exactitude de leur système. Dans

sa liberté. Pourtant, c'est ce qu'a fait l'homme en passant de l'état de nature à l'état civil, où de multiples lois entravent la liberté naturelle. Pourquoi choisirait-on de renoncer à la liberté ? Renoncer à la liberté, n'est-ce pas renoncer à l'humanité ? Toutefois, la liberté n'est-elle pas aussi un très lourd fardeau ? En fait, ne limite-t-on pas notre liberté dans le seul but d'être sûr de la garantir ? Il semble d'abord que la liberté soit l'essence humaine : renoncer à sa liberté, ce

n’est pas lié seulement au corps mais plutôt) la psychologie. Le désir crée le manque, le désir naturel n’est pas impossible. (J’ai faim je peux manger). Le désir va au-delà de ce que peut donner la nature, il va au-delà du possible. Citation de Spinoza : « Si je désire quelque chose, ce n’est pas parce que je juge la chose que je désire bonne, mais c’est parce que je la désire que je la juge bonne. » Lorsque nous désirons quelque chose on la valorise, donc voir si cette chose a une valeur,

philosophe de la fin du 17 siècle Dans les années finissantes du XVIIe siècle, la querelle des Anciens et des Modernes remet en question les valeurs établies.Les philosophes rationalistes du XVIIe siècle, tels que René Descartes(1596-650) et Baruch Spinoza(1632-1677), les philosophes politiques Thomas Hobbes(1588-1679) et John Locke(1602-1734), et certains penseurs sceptiques en France comme Pierre Bayle (1647-1706) est un disciple de Descartes et Fontenelle (1657-1757),peuvent être considérés comme

est muette, impuissante et cela peut être dangereux parce que ds ces situations nous ne sommes plus sujets et nous devenons des simples exécutants. L’expérience de psychologie de Stanley Milgram, psychologue américain, des années 1960-63, avait pour but de mesurer le degré de soumission a l’autorité. Des sujets (hommes de 20 a 50 ans de tous milieux et de différents types d’éducation) acceptent de participer pour 4 dollars pdt 1 heure a une expérience d’apprentissage. Des autorités scientifiques demandent