Le Cacao Dans La Mondialisation

alors que le Japon qui en est privé, a connu un formidable développement. C’est grâce à leur avance en matière de transports maritimes que les pays d’Europe se sont assurées, à partire du XVIe sicle, des approvisionnement durables (sucre, cacao, café ou coton). De même, pendant la révolution industrielle, la détention de richesses naturelles comptait moins que la maîtrise du savoir-faire nécessaire à leur exploitation : à la fin du XIXe, ce sont les Européens de l’Ouest qui exploitaient avec

contrefaçon même s’il reste des différences mineures et même si l’auteur est de bonne foi. La contrefaçon est une activité qui se pratique depuis plusieurs siècles. En effet depuis l’Antiquité les indigènes sud-américains fabriquaient des fausses fèves de cacao et les faisaient passer par des vraies. Les premières mesures de lutte contre celle-ci datent de XVe siècle. Ces mesures ont été modernisées, donc une plus grande variété de lois qui nous empêche de pratiquer cette activité. Aujourd’hui la contrefaçon

d’une médiatisation sans précédent. Nous considérons que cette crise est le résultat d’une économie de marché imposée par les pays puissants et leurs entreprises multinationales qui sont les seuls à profiter des bénéfices du capitalisme et de la mondialisation. Cette crise alimentaire résulte donc de du système libéral dans lequel nous vivons. Dans un premier temps, nous allons définir notre cadre théorique qui est ici le système-monde actuel. En deuxième temps, on va s’intéresser aux origines et

du prix des matières premières, et à la détérioration des termes de l'échange. La division internationale du travail a pérennisé pour de nombreux pays du Sud la nécessité de se spécialiser dans les produits d’exportation. L’idéologie de la mondialisation cache mal le fait que la plus grande partie de la circulation de valeur se fait entre les régions du monde où se concentre le capital financier et industriel. Ces différents éléments expliquent qu’une grande partie de la population mondiale reste

FICHE DE REVISION - Géographie - 4ème Des échanges à la dimension du monde Les espaces majeurs de production et d'échange Les ports et les littoraux Dans le contexte d'une mondialisation où l'essentiel des échanges se fait par voie maritime, les ports et les littoraux mondiaux ont acquis une importance fondamentale dans les processus géographiques planétaires. I. Les zones industrialo-portuaires, synapses de la planète • Les grands ports de la planète sont des zones industrialo-portuaires

q/ha alors que celui de l’Algérie n’est que de 10 ou celui de l’Australie de 18. Ainsi un agriculteur bien mécanisé du Middle West américain peut nourrir seul 5 500 personnes et seulement 2 pour son homologue malien. Ainsi dans le cadre de la mondialisation et d’un vaste marché ouvert, il est difficile de mettre en concurrence les faibles et les puissants agriculteurs. L’OMC est bloquée quant au niveau d’ouverture des marchés nationaux. Le commerce équitable représente une solution et en plein développement

développement et l'épanouissement n'ont pas qu'une seule figure, celle de la croissance énergétique et de la consommation ; Le capitalisme a généralisé une idéologie techniciste du progrès qui occulte que le progrès peut prendre d'autres formes. La mondialisation du modèle culturel occidental n'est pas, aux yeux de Lévi-Strauss, le résultat d'un authentique plébiscite, mais seulement l’effet pervers du déséquilibrage des systèmes traditionnels. L'évolutionnisme social: Une des conséquences de la

- Dans la zone intertropicale, elle est avant tout vivrière, faiblement mécanisée et extensive (agriculture itinérante sur brûlis). On y trouve localement une agriculture d'exportation dans de vastes plantations (coton, arachide en zone sèche. Cacao et café en région plus humide) - Au Nord et au Sud du continent, une étroite bande de climat méditerranéen permet une agriculture pluviale plus intensive et spécialisée dans les produit d'exportation (agrumes, produits maraîchers) Les agricultures

Elle nécessite des compétences en agronomie, en gestion et est donc contrôlée par de grandes firmes. On y trouve les plantations tropicales héritées de la colonisation et qui sont des monocultures à haut rendement de café, de caoutchouc, de thé, de cacao. Elles sont destinées à l'exportation et sont entre les mains de puissantes multinationales comme " Castle and Cook" et sont dépendantes des cours mondiaux. • L'agribusiness des pays développés comme l'Union Européenne et les Etats-Unis. C'est

s’est largement développée dans le monde. Elle s’appuie sur une forte mécanisation, engrais, pesticides … Les rendements sont élevés et le besoin en main d’œuvre est plus faible. Avec la mondialisation, le modèle productiviste s’est largement développé dans le monde, dans les pays émergents comme dans les pays des Suds et les PMA avec la céréaliculture