Le Cacao Un Produit Mondialisé

l'origine le commerce international Il s'agit d'une évidence : s'il n'y avait pas ou peu de commerce international, il n'y aurait pas de nécessité d'une organisation prenant en charge les règles du commerce entre pays. Nous savons tous que les produits que nous consommons et utilisons quotidiennement proviennent du monde entier. La Belgique est parmi les 34 pays membres de l'OCDE, un Etat important en termes d'exportation et d'importation de marchandises (A noter qu'elle l'est beaucoup moins en

pays ? Ces interrogations théoriques conditionnent directement d'autres questionnements d'un intérêt plus immédiat pour chacun d'entre nous : Faut-il redouter la concurrence des pays à bas salaires ? Faut-il ouvrir plus largement les frontières aux produits étrangers ? etc.  Quel est le rôle des acteurs économiques dans ce processus de mondialisation ? Pourquoi les FMN préfèrent-elles investir à l’étranger plutôt qu’exporter ? Quels sont les raisons qui les poussent à globaliser leur production ? Comment

services AGOA « Act on Growth and Opportunities in Africa » Loi sur la croissance et les opportunités en Afrique ACP (Groupe des États) d’Afrique, des Caraïbes et du Pacifique ACR Accords communautaires régionaux AMNA Accès aux marchés pour les produits non agricoles APD Aide publique au développement APE Accord de partenariat économique ASS Afrique subsaharienne BEAC Banque des Etats de l’Afrique centrale BEAO Banque des Etats de l’Afrique de l’Ouest CAD Comité d’aide au développement (de

de la création de systèmes internationaux de régulation sociale. Au contraire, on assiste à une dérégulation en matière commerciale et monétaire qui laisse le champ de plus en plus libre à la gestion du monde selon les intérêts du secteur privé mondialisé. D’ailleurs, le pouvoir économique se concentre de plus en plus aux mains d’un nombre limité de sociétés multinationales. En 1992, les 200 premières sociétés multinationales avaient un chiffre d’affaires global correspondant à 26,8% du PNB mondial

plus légitime d’évoquer une internationalisation qu’une mondialisation en ce qui concerne les flux commerciaux et culturels : l’essentiel des flux porte sur les produits primaires (contrairement à la m° du 21°s), le commerce mondial est très européocentré (seuls 25% échappent à l’Europe), les entreprises ne conçoivent pas leurs produits en fonction d’une stratégie mondiale. Malgré les échanges (le cubisme & l’art nègre, Kandinsky et Picasso esp. A Paris), il est difficile de parler d’une véritable

multiplié par 17. Ces progressions spectaculaires des échanges commerciaux sont dues à l’abaissement progressif des barrières douanières, ce qui favorise le libre-échange. Ainsi, en 1949, les tarifs douaniers représentaient 40 % de la valeur des produits exportés, c’est-à-dire qu’une entreprise qui voulait exporter une marchandise dans un pays étranger devait payer une taxe correspondant à 40 % de la valeur de cette marchandise. Cependant en quelques années, des négociations internationales ont fait

mythe a réussi à s’impo ser à nouveau , reprenant vitalité dans la foulée de l’écroulement des régimes socialistes de l’Est européen. Avec la mondialisation de l’économie d e marché (voir Alternatives Sud n° 1), les rapports sociaux sont aussi mondialisés et les «avantages comparatifs» offerts au capital dans certaines régions du monde sous forme de salaires inférieurs, de sécurité sociale moins complè te, d’exigences écologiques moins sévères, débouchent sur des délocalisations des activités de

marchands et financiers * Organisation socio-économique hiérarchisée : les métiers/corporations (apprentis, compagnons maitres) * Economie moderne (fin XVe – XVIIIe siècle) * Croissance ponctuée de crises à répétition * Nouveaux produits, nouvelles techniques de production nouvelles hiérarchies sociales * Conflits dans les campagnes, tensions dans les villes : les paysans se révoltent, ils ne sont pas rémunérés, ne se sentent pas payés de manière égale Ces tensions se font

pays en voie de développement et enfin les pays les moins avancés. On doit également, pour une vision géoéconomique claire, cartographier les circulations de toute nature structurant l’espace mondial : matières premières, agricoles et énergétiques, produits manufacturés, mobilités humaines, flux « invisibles » liés à la finance et aux nouvelles technologies comme les échanges de données via Internet. civilisation occidentale (une civilisation orthodoxe et une civilisation latino-américaine), une civilisation

dans son dictionnaire de la géographie et de l’espace des sociétés. Problématique     omment le monde est-il  devenu un espace  unique dans  C lequel nous vivons ? PLAN : traitement  de la problématique Sous chapitre 1 : Étude de  cas : Un produit mondialisé :  le pétrole. Sous chapitre 2 : Processus et  acteurs de la mondialisation A. Mondialisation des échanges B. GATT-OMC et organismes internationaux C. Les multinationales Sous chapitre 3 : Mobilités,  flux et réseaux A. Les mobilités B. Les