Le Caractère Rétroactif De La Nullité Du Contrat

------------------------------------------------- Fiche 2. Le contrat de travail INTRODUTION : NOTION DE CONTRAT DE TRAVAIL Droit des obligations utilisé pour caractériser la relation de travail + pour conditions de la formation du contrat mais application du droit du travail dans exécution du contrat de travail. §1. LES CRITÈRES DU CONTRAT DE TRAVAIL A- Les critères empruntés au droit des obligations * Contrat synallagmatique : interdépendance et une réciprocité des obligations

de cette prescription en matière civile, notamment en matière de mariage. En ce qui concerne la nullité, désormais le délai se compte à partir de la célébration du jour du mariage. Le décompte de l’action en nullité ne se fait plus le jour de la découverte de la chose qui nous dérange mais le jour du mariage. Document 3 : Les fiançailles avant la révolution française était considéré comme un contrat, un accord juridique : si on se fiance on est obligé de se marier. Depuis 1838, les fiançailles

chose, qu’importe que cela soit à titre gratuit ou onéreux ; exemple : la vente, la donation. - Obligation de faire : le débiteur s’engage envers le créancier à accomplir une prestation positive autre que l’obligation de donner ; exemple : contrat de transport, de travail. - Obligation de ne pas faire : elle a pour objet une prestation négative ; exemple : clause de non-concurrence. Intérêt de la distinction : contrairement à l’obligation de donner, les obligations de

ion ciPréparation pour interrogation Les grands principes du droit des contrats : La liberté contractuelle : qu'est ce que cette liberté ? - liberté de contracter ou non : le contrat est un acte de volonté, s'il n'y pas de volonté, il n'y a pas de contrat. Exception : L 122-1 du code de la consommation interdit à un professionnel le refus de vente ou le refus de prestation de service à un consommateur sauf motif légitime - liberté de choisir son cocontractant : on ne peut se voir imposer

constitution est la norme qui prime ensuite on a la loi, le décret, l’arrêté. c/ Les règles impératives et les règles supplétives Les règles impératives sont plus nombreuses. Il y a aussi des règles supplétives que l’on trouve dans le domaine des contrats ; elles sont supplétives car elles suppléent notre volonté. Elles ne s’appliquent que si on ne décide de rien d’autre. Chapitre 2/ L’organisation judiciaire I/ Les principes généraux du système judiciaire français A/ L’action

source conventionnelle : le contrat Des sources non conventionnelles : * le quasi-contrat : s’apparente au contrat mais s’impose au débiteur en dehors de sa volonté (résidence secondaire endommagés, travaux imposés). * Le délit : fait illicite et intentionnel (concurrence déloyale). * Le quasi-délit : fait illicite mais non intentionnel (imprudence). La loi qui fait naître des obligations en dehors de toute volonté. Chapitre I : Le contrat Contrat : ‘‘convention par laquelle

composée, à ce désignée par délibération spéciale prise en chambre du conseil ; D'où il suit que la cassation est encourue de ce chef ; Document n° 4. Article 2 du code civil Article 2 La loi ne dispose que pour l'avenir ; elle n'a point d'effet rétroactif. Document n° 5. Cass. ass. plén., 23 janv. 2004, n° 03-13617, D., 2004, p. 1108, note P.-Y. GAUTIER ; Bull AP, n° 2 ; RTD civ., 2004, p. 598, note P. DEUMIER ; RTD civ., 2004, p. 341, note P. THERY ; LPA, 22 juill. 2005 n° 145, p. 12, note S. CHASSAGNARD

loi attache parfois la création d’obligation à des faits, notamment quand les faits causent un dommage Ex : Article 1382 du C.civ. La volonté individuelle du débiteur peut créer une obligation à sa charge par le biais d’actes juridiques, ex dans le contrat. Il s’agit d’obligations conventionnelles qui ont leurs sources dans la volonté des parties. Classement fondé selon l’objet  Obligation de donner, faire ou ne pas faire. L’objet de l’obligation est ce à quoi le débiteur est tenu envers le créancier

préciser les conditions du jeu de l’action en nullité du contrat pour erreur. À l’occasion d’une vente publique, une personne fait l’acquisition d’une œuvre expressément présentée comme une œuvre du peintre M. Cassatt. Plus tard, elle apprend d’un comité dédié à cet artiste qu’il existe un doute sur son authenticité. Les conclusions de l’expert judiciaire désigné sont en ce sens : l’authenticité est douteuse. Saisie, la cour d’appel refuse de prononcer la nullité de la vente pour erreur. Le propriétaire

commerciaux, des conditions inégales à des prestations équivalents en leur infligeant de ce fait un désavantage dans la concurrence ; - subordonner la conclusion de contrats à l’acceptation, par les partenaires, de prestations supplémentaires qui, par leur nature ou selon les usages commerciaux, n’ont pas de lien avec l’objet de ces contrats. 2.2 Même si la rédaction de l’article 81 § 1 suggère que tout effet sur la concurrence et le commerce entre états membres entraîne l’interdiction de l’accord