Le Carré Magique économie

XIXème siècle. Il était ainsi possible de mobiliser principalement des éléments du programme de la première année (thème V : le financement de l’économie) mais également de la seconde année (déséquilibres et politiques économiques et sociales en économie ouverte). La réponse supposait donc une maîtrise de la notion de banque centrale ( en général, celle-ci réunit cinq critères, dont quatre spécifiques : c’est une banque d’émission, la banque de l’Etat, la banque de la Nation, la banque des banques

Economie d'Entreprise - BTS 2°année Chapitre 1  :  L’entreprise citoyenne Dans un contexte de crise économique et d’intensification de la concurrence la première fonction de l’entreprise n’est-elle pas de survivre et si possible de dégager du profit même si cette priorité s’exerce au détriment des salariés, clients ou partenaires ? Cette vision traditionnelle est aujourd’hui remise en cause par de nombreux auteurs et les problèmes d’environnement, d’exclusion, tout comme la persistance du chômage

pouvoir d'état s'exerce dans les limites d'un territoire et correspond le plus souvent à une nation. C'est une institution qui se manifeste concrètement comme un ensemble d'organes politiques et administratifs. A) Les fonctions de l'état dans les économies contemporaines 1)satisfaction des besoins collectifs les besoins collectifs sont multiples ex: l'enseignement, la santé publique, équipement et infrastructures ou encore les structures de communication. Les services ayant pour but de satisfaire

comportement des agents nationaux B. - La rigidité du commerce extérieur 1 - La notion d'élasticité-prix du commerce extérieur 2 - La rigidité de la demande internationale Chapitre II. - Les objectifs de la politique économique Section I. - Le "carré magique" comme objectif de la politique économique Paragraphe I. - Le plein emploi I. - Défense de l'objectif A. - Les raisons humaines B. - Les raisons économiques II. - Les problèmes soulevés par cet objectif A. - La mesure du chômage B. - Chômage et

ECONOMIE D’ENTREPRISE – L’ANALYSE ORGANISATIONNELLE L’analyse organisationnelle est le troisième volet du diagnostic stratégique. Elle analyse la flexibilité et le potentiel de l’entreprise. Elle vise à déterminer si l’entreprise peut s’adapter aux évolutions de son environnement et si elle dispose des ressources matérielles et des compétences humaines pour mener à bien sa stratégie. En effet, l’étude faite par le biais de l’analyse concurrentielle et de l’analyse technologique débouche sur

révolution de Juillet 1830). Cette évolution peut être étendue à la France, ainsi qu’à l’ensemble des pays développés. De son coté, J Marseille publie en 1995, Trente glorieuses le temps du miracle économique, dans lequel il décrit les 4 sommets du carré magiques des 20 années glorieuses : - un taux de croissance élevé - une croissance régulière (les cycles sont très atténués) - un quasi plein emploi - une hausse du pouvoir d’achat et du niveau de vie I les progrès de la production

été largement supérieure à la croissance de la production mondiale. En moyenne de 1950 à 2010, le CI a augmenté deux fois plus vite que la production mondiale de ces biens et services. Cette croissance fulgurante a largement contribué à rendre les économies des pays de plus en plus interdépendantes tant a niveau de leurs approvisionnements que de leurs débouchés. Les facteurs explicatifs sont bien connus : les progrès dans les transports internationaux (maritime : permet de transporter de grosses quantités

la consommation des ménages et des dépenses publiques, croissance de la FBCF, croissance des exportations et variation des stocks) et qui dépend de la demande. Demande globale = Somme des utilisations de tout ce qui est produit ou importé dans une économie nationale. Elle est égale au PIB, elle dépend des variations des dépenses des ménages et des administrations, des variations de l’investissement, des variations des stocks et de l’évolution du solde extérieur. Demande interne = Somme des dépenses

18ème – 19ème siècles se distingue des révolutions industrielles selon l’économiste David LANDES. Toutefois ces périodes demeurent marquées par des innovations dites « majeures », succédées par des innovations dites « suiveuses » qui ont marqué les économies. En observant cela Joseph SCHUMPETER a pu modéliser un cycle de l’économie, c'est-à-dire des phases successives d’expansion, de crise, de récession et de reprise de l’économie que l’on qualifie de « cycle de l’innovation ». SCHUMPETER a ainsi mis

dans les banques ou des compagnies d’assurance en déficit, c’est le cas Merill Lynch par exemple). Ses objectifs sont macroéconomiques : la croissance du PIB, le plein emploi, la stabilité des prix et l’équilibre des échanges extérieurs. Le carré magique en est la représentation. Il est toutefois un idéal à atteindre qui reste difficile du fait de conflits d’objectifs. Il existe par conséquent une hiérarchie entre ces objectifs, ainsi depuis 1983 la priorité est à la lutte contre l’inflation.