Le Cas Le Marche Du Blé

stratégie pour la filière rizicole ? N’Djamena– Tchad 5- 6 novembre 2008 Situation du marché mondial du riz, les nouvelles tendances et les perspectives Patricio Méndez del Villar Centre de Coopération Internationale en Recherche Agronomique pour le Développement (Cirad) Patricio Méndez del Villar - Cirad 1 Présentation 1. Caractérisation de l’économie mondiale du riz 2. Spécificités du marché mondial du riz 3. Causes et conséquences de la flambée des cours mondiaux (1er semestre 2008)

douanière peut être utilisée pour rép à l’objectif de stimuler les exportations → système qui permet de subventionner ce qui exporterait à perte → dumping, pour pouvoir vendre à l’étranger, le produit doit être compétitif, pour gagner des parts de marché il faut proposer un prix assez faible ; il peut être judicieux de vendre le produit avec un prix < au coût de pdtion. Le degré d’interventionnisme diffère selon les pays. II. Le mercantilisme français Pour comprendre cela, il est nécessaire

l’industrie (sur la production de richesses par les manufactures). Il conserve une place à l’agriculture qui fait partie de l’identité nationale (indépendance stratégique du pays). Une des mesures des mercantilistes sera de faire baisser les prix du blé afin de réduire les coûts de production des fabricants français. Cet exemple montre que l’agriculture est un moyen au service de l’industrie, du commerce. Les mercantilistes vont donc avoir tendance à privilégier les villes aux campagnes et le luxe

de limiter la montée des voiture importées du Japon. Cet accord a été rejeté par le GATT (ancien OMC), puis les Etats-Unis ont négocié en 1981 avec les japonais un accord d’auto-imitation des exportations, la part des constructeurs japonais sur le marché américain plafonne à 22%, ce qui a fait que les japonais se sont installés sur le territoire américain pour contourner ces mesures protectionnistes. Ces pratiques sont très utilisées aux Etats-Unis, ce qui est une violation des principes de l’OMC

marchandises notamment le pain (nourriture de base des ouvriers) donc la hausse prix blé entraine la hausse prix pain, puis la hausse du salaire ouvrier et enfin la baisse du taux de profit. B - Le libre-échange comme remède à l’état stationnaire de l’économie. 1) Pourquoi le libre-échange ? A partir du problème évoqué plus haut, Ricardo va justifier le recours au libre-échange. Aussi, la libre importation du blé et des subsistances apparaît comme le moyen de relever le taux de profit et ainsi

SEQUENCE 2: NOURRIR LES HOMMES 1.A)< des populations < des productions De 1950 (550 000 hab) à 2009 (1 340 000 hab) la population à doublée en Chine étude de cas sur la Chine Chine actuellement en train de finir sa transition démographique transition démographique: augmentation de < population baisse de mortalité politique de l'enfant unique (1970) et retrait des avantages sociaux et fiscaux pour *enfants moyenne nationale de 1,8 taux de fécondité par femme disparités entre milieux

Confédération française du commerce de gros inter-entreprises et du commerce international (CGI)1 La question du rôle d’une société de négoce international dans le domaine des denrées agricoles semble toujours sous-entendre tabou, mystère et en tout cas opacité. J’ai entendu dire « négociant », « courtier », et ai cru sentir des allusions au trafic d’influence, aux pots-de-vin… On sous-entend spéculateurs, manipulateurs de prix… La connotation est toujours, ou presque, négative. Nombreux sont ceux

l’environnement. Plusieurs personnes compétentes se sont intéressées à la question nutritionnelle. C’est le cas d’Éric Darier, directeur de Greenpeace au Québec, qui s’oppose systématiquement à la commercialisation du blé transgénique, puisqu’il est consommé par un individu, contrairement à certains autres aliments qui sont destinés aux animaux. Il dit : « Dans notre culture occidentale, le blé est très symbolique. C'est le pain qu'on met sur la table tous les jours […] Il est consommé directement par

réchauffement climatique suscite plusieurs débats, donc différentes résolutions envisageables, parmi lesquelles, nous citerons l’émergence du marché des biocarburants. Les biocarburants sont des carburants liquides produits par la transformation des matières végétales issues de l’agriculture. On distingue deux grandes familles: les bioéthanols (issus de betterave à sucre de blé, du maïs ou de la canne à sucre) et les biodiesels (issus de colza, soja ou huile de palme). A celles-ci il faudrait ajouter l’huile

dont le revenu est consacré à hauteur de 70% à l’alimentation, contre 15% dans les pays développés. «La FAO (organisation des nations unies pour l’alimentation et l’agriculture) estime que la hausse a été en 2007 de 40% en moyenne pour le blé, qui est à son prix le plus haut depuis vingt ans, de même que le maïs, le riz mais aussi le soja, le colza et l’huile de palme qui maintienne en vie, plus ou moins, les populations immenses des pays pauvres. Hypnotisés par l’augmentation du prix du