Le Champ Lexical De Mort

Premier axe : La beauté éphémère  Champs lexicaux de la beauté et du temps : - Beauté : « Mignonne » ; « ses beautés » ; « votre beauté » - Temps : « matin » ; « vêprée » ; « Puisqu'une telle fleur ne dure que du matin jusques au soir ! » ; « jeunesse » ; « vieillesse » -Antithèse entre « matin » et « vêprée », entre « matin » et « soir » : Ceci oppose le matin, la jeunesse au soir, la vieillesse.  Contenu : - Temps verbaux « avait déclose » v.2 (plus-que-parfait), « a point perdu » v.4

III) La situation Spatio-temporelle : a - Les lieux réels. b - Les allusions à l’époque. IV) Les événements étranges : a - Relevé dans l’ordre chronologique. b - Personnification de la statue. V) Les explications de la mort tragique d’Alphonse : a - Explications réalistes b - Explications surnaturelles. VI) La nouvelle fantastique : Approche de définition. VII) Construction du récit. Mérimée, Prosper (1803-1870), écrivain français appartenant à

de désir, déjà prisonnier V26 « L’amour me fait ici chercher une inhumaine » Cela montre qu’Oreste n’est pas maître de l’action -champ lexical de l’amour ardent : «flamme»;«fer» -Métaphore de la brûlure de la passion -champ lexical de l’emprisonnement : V29 « mon âme en eslcave asservie » V44 « traîner … ma chaine » V32 « fers » V51 « cœur épris » -champ lexical de la souffrance,douleur : V40 « soupirs » ---> mal de vivre V43 « désespoir » V16 « triste » V17 « mélancolie » .. larmes

de Phèdre, qui renonce ainsi à disculper Hippolyte. Mais l'acte V fait naître chez Thésée des doutes, trop tardifs : le récit de Théramène lui apprend la mort terrible d'Hippolyte. Dans cette scène dernière, le roi et la reine s'expliquent finalement sur l'innocence d'Hippolyte et le roi veut faire comprendre à Phèdre que son beau-fils est mort par sa faute. Enfin, la reine s'est empoisonnée avant d'aller s'expliquer et meurt à la fin de la scène. Ainsi, comme nous le constatons, cette scène est

générale V. Bilan I. situation Ce texte extrait de l’acte III scène 4 de l’œuvre théâtrale Le Cid de l’auteur français Pierre CORNEILLE. Il est le premier d’un groupement de 4 textes dont l’axe d’étude est : >. Il fait suite à la mise à mort par Don Rodrigue du père de la sa fiancé Chimène, Don Gomes lors d’un duel. Alors Chimène réclame justice mais Don Rodrigue lui offre plutôt sa vie en guise de vengeance. II. Lecture magistrale III. Hypothèse générale Ce texte est un dialogue

cohérente, pragmatique et passionnée. Procédés : 1. L’amour imagé Champs lexical : « amants » ; « aimer » ; « Lèvres » ; « bouches » : « Lèvres, cherche la bouche ! » coupe à l’hémistiche urgence d’aimer. « Aimer » ; « couple » ; « amour » ; « Vénus » : mise en valeur par la coupe à l’hémistiche (allégorie) allitération en « v » Anaphore Déesse de l’amour / position haute Champs lexical de la vie, « heureux », « vivant » Rimes signifiantes vers

sentiment de terreur est omniprésent. Ce sentiment est renforcé par les différent champs lexicaux comme celui de la douleur et du malheur ou encore le lexique du feu qui connote l’enfer. Ce récit nous raconte la mort d’un héros épique. L’œuvre s’intitule Phèdre et la partie étudié est l’Acte 5 , scène 6 , lors de cette scène Theramene qui est le gouverneur de Hippolyte décris au père d’Hippolyte le cadre tragique de sa mort . L’auteur de cette pièce est Jean Racine et la datte de publication de l’œuvre

parodies , etc. REGISTRE PATHETIQUE Il naît de l’évocation de souffrances poignantes :des personnages généralement faibles sont confrontés a la violence, la mort. Emouvoir le lecteur en éveillant une forte émotion de pitié (commisération , compassion ). La mort , la maladie la tristesse le souffrance les larmes l’injustice … Champ lexical de l’émotion , de l’affectivité souvent violente , exagérations, exclamations , phrases interrompues , apostrophes interjections… Romans , tragédies , romans

rapport deux choses (deux personnes, une chose et une personne, deux idées...) et insister sur leurs ressemblances ou leurs différences, leur égalité ou leur inégalité (infériorité ou supériorité).  Cette mise en relation se fait grâce à des moyens lexicaux ou grammaticaux : -mots comme: ressembler à, semblable à, pareil à, tel… -propositions juxtaposées: Plus j’y pense, et plus cela m’effraie. -le comparatif et le superlatif: plus effrayant que, le plus effrayant. -le complément circonstanciel de comparaison:

fantastiques. On relève le champs lexical de la dégradation: «les décombres», «colonnes tronquées», «dégradation des édifices», «façades sillonnées de lézardes», «toits effondrés par l'éruption», «parties absentes », «tout un ensemble écroulé », «la cité fossile », «à travers ces ruines ». On observe dans ce champs lexical une métaphore: «la cité fossile» qui montre que la ville s'est immobilisée dans le temps et que les ruines se sont conservées. On relève aussi un champs lexical opposé, celui de la