Le Charme discret de la bourgeoisie

Au XVIIIème siècle, l'éducation des filles de la bonne société (Noblesse et Bourgeoisie) se fait en majorité au couvent. Considérées comme devant faire les "délices de la société par leur charme et leur esprit", les filles y sont coupées du monde extérieur et souvent, soumises à une discipline très stricte.On leur y enseigne un minimum de connaissances pratiques et religieuses dans le but d'en faire des épouses et des mères de compagnie agréable. La littérature romanesque a fait du couvent un lieu

société, il y a 2 groupes qui cohabitent : nobles (détention du pouvoir politique et culturel il définit le bon et le mauvais goût de l’art) et bourgeois (détention du pouvoir économique). Mozart est un bourgeois, appartient au groupe en ascension (bourgeoisie de musiciens) qui vendent leur musique à la noblesse autrichienne. Il y a une compétition entre noble pour l’honneur et le prestige (Richelieu), pour cela il faut une cours de grande qualité, et pour cela il faut un bon cuisinier et un bon musicien

qu’il connaît depuis plusieurs années et avec il poursuivra une collaboration fructueuse bien au-delà de leur séparation survenue en 1980. C’est à partir de ce moment-là qu’il se fait spécialiste de l’analyse caustique et sans concession de la bourgeoisie, entouré de ses acteurs fétiches tels Stéphane Audran, Michel Bouquet ou bien encore Jean Yanne. On peut percevoir dans ses films un portrait de la France des années 1970 âpre et corrosif. A l’aube des années 1980, il aborde des thèmes plus éclectiques

L'auteur Jean-Claude Carrière, ancien élève de l'ENS Saint-Cloud, qui se destinait à l'origine l'histoire, se tourne rapidement vers l'écriture et le cinéma. Il a collaboré en particulier avec Buñuel, Tati et d'autres cinéastes (scenarii du Charme discret de la bourgeoisie, de Mon oncle, du Retour de Martin Guerre, de Milou en Mai, etc). En 1992, il est écrit le scénario de La controverse de Valladolid, téléfilm de Jean-Daniel Verhaeghe, qui reçoit un Sept d'Or et le prix Italia. De ce scénario Carrière

vu à la cour (à la mode). Pourtant, ceux-là n’étaient pas forcément intéressés par la pièce, ils parlaient entre eux. La salle était aussi intéressante que la scène. Le peuple se trouvait sur le parterre et les nobles dans les loges (la petite bourgeoisie au premier étage, et la haute société au meilleures places). Parfois les paysans faisaient des marchés dans la salle… On remarque donc qu’il y avait un total non-respect de l’artiste. 4) Biographie de Cyrano de Bergerac (1619-1655) De son

va progresser et véhicule une progression matérialiste (mr prud'homme) figure caricaturale de la bourgeoisie, étriquée et individualiste. Incarne l'immobilisme des honnêtes gens qui soutiennent les régimes politiques, étant ce parvenu moqué au 19ème, dont le seul but étant de se maintenir au pouvoir quels que soient les régimes politiques. Progression négative, il incarne la stabilité de la bourgeoisie. 23/01 Méthodologie 1/ Explication de texte (15-20 min) -situation du passage, l'intégrer

REALITE1. L’académie et le néoclassicisme ……………………………………..…………………. 42. Le portrait officiel et les romantiques …………………………………………..………. 63. Le style Ingres et l’orientalisme ………………………………………………………… 10II LA REALITE REVELEE1. Le portrait mondain et la bourgeoisie …………………………………………………. 152. La naissance de la photographie ………………………………………………………. 183. Le réalisme ………………………………………………………………………….…. 21III FIN DU SIECLE ET PROLIFERATION PICTURALE1. Les Refusés et Manet …………………………………………………….……………. 242. Les Impressionnistes

du royaume de France au XVIIIème siècle : lorsque Laclos publie son roman, la France est une monarchie absolue dirigée par le roi Louis XVI. La société est encore divisée en trois ordres : le Tiers état (le peuple au sens très large, avec la bourgeoisie), le clergé et la noblesse. Les nobles et religieux sont très minoritaires mais dominent toute la société. Certains bourgeois ont un niveau de vie proche ou même supérieur aux nobles. D’ailleurs, tant chez les bourgeois que chez les nobles,

internationale. Profondément marqué par le surréalisme, on le retrouve ainsi présent de manière plus ou moins notable dans bon nombre de ses films (Viridiana, Le Charme discret de la Bourgeoisie, Le Journal d’une Femme de Chambre…). Parmi les trois films étudiés, d’autres éléments empruntés au surréalisme sont parfois présents mais de manière plus discrète : les scènes de l’absurde (l’invasion du monde des hommes par les poules dans Los Olvidados (4)), ainsi que d’autres usages d’éléments détournés de leur

libération. Dans Sherlock Junior de Buster Keaton, Buster, projectionniste, s'endort et entre en rêve dans le film projeté. Il se retrouve alors renvoyé d'une scène à l'autre, dans des environnements paradoxaux et inattendus. Dans Le Charme discret de la bourgeoisie de Luis Buñuel, on assiste à un rêve, puis à un rêve dans le rêve. Dans le film Nous étions libres l'héroïne Gilda Bessé (jouée par Charlize Theron) joue un rôle dans un peplum que l'on aperçoit au cinéma. Dans le film La Folle