Le Cheval et son écuyer

souterrains qu’on dit mener aux Enfers. Ces sou- terrains où, en des temps reculés, parlaient les oracles. La peur est ici chez elle, comme la brume est à sa juste place sur l’étendue boueuse des marécages. Je me nomme Michel de Gallardon. Je ne suis qu’un écuyer. Plus un enfant et, hélasÞ! pas encore un homme. Un hiver déjà, un hiver que j’ai quitté le château de mon père pour apprendre à manier le fer et la lance.Je me souviens de mon arrivée à La Roche- Guyon. Cela paraît si lointain maintenant et pour-

cinq cents chevaliers contre les Anglais et explique que les Anglais sont au final parvenus à prendre l’avantage grâce à plusieurs salves de flèches, conçues pour tuer des chevaux et capables de transpercer armures et cotte de mailles. A la huitième salve de flèches, la charge a été rompue et Palframand, le cheval du comte, s’est écroulé. Trois flèches se sont alors logées dans l’armure du comte. Lorsque celui-ci a ôté son heaume, le cri de guerre des Anglais a retenti et ils ont foncé

château était un homme cruel, à l’éducation stricte. Mes parents voulaient que je devienne un homme courtois ; alors, dès mon plus jeune âge, ils m’apprirent les règles de la cour. Si je les désobéissais, ils me punissaient sévèrement. Comme j’étais écuyer, avec mes amis nous nous entrainions tous les matins, jusqu'à l’heure de none. L’escrime, la natation, l’équitation et le tir à l’arc faisaient parti de nos activités habituelles. Ensuite, nous déjeunions. Mes amis avaient toute l’après-midi libre

Père Igord, en l’embrassant, et très vite tous les deux eurent les yeux humides de bonheur. * « Bien, bien ! »dit le Père Igord, alors voici comment l’histoire du Coq de Cyrano a commencé : « un jour d’été, un chevalier crotté, sans bottes, sans cheval, portant un habit rapiécé et un peu ivre, se promenait ne sachant que faire dans un marché du Périgord. Ce marché , ne lui disait pas grand-chose qui vaille, de toute façon, il n’avait plus un sou en poche, et il jetait un œil de ci, de là, un peu

l'historien de la biographie financée et commandée par le fils ainé du chevalier. Il s'agit d'un magnifique poème de 15 000vers de long. Cette biographie fut rédigée par un dénommé Jean, entre 1220 et 1226 d'après les témoignages de Jean de Erlay, écuyer du Maréchal. Ce dernier est né vers 1145, mort en 1219. Guillaume le Maréchal était à sa mort le Comte de Pembroke et de Striguil, fils de Jean le Maréchal, sénéchal d’Angleterre. Il nous est présenté comme le chevalier modèle, responsable de l’éducation

|Mais un écuyer emploiera un mors tout différent avec un cheval qui | | |connaît la bride depuis peu de temps et avec un cheval bien dressé. | | |Mais le cavalier ne dirigera pas avec les mêmes brides un cheval qui | |

attendent, dit Thomas - Oui ! Ni grâce ni quartier au chapon rôti ! - C’est une délicate pensée et je vous en sais gré car mon estomac crie famine, s’exclama Philippe. L’auberge était bondée de chevaliers accompagnés de leurs fidèles écuyers, ménestrels, jongleurs et cracheurs de feu… Depuis qu’ils étaient attablés, Jacques n’avait d’yeux que pour la servante. - Regardez moi cette belle jouvencelle, je m’en vais lui conté fleurette, chantonna Jacques. - A que nenni mon ami 

Professeur : Madame Leflao Année scolaire 2011-2012 Introduction L'équitation est à la fois le loisir, le sport, l'art et la technique qui consistent à monter et à diriger un cheval. Le mot équitation vient du latin equitare qui signifie aller à cheval. Il y a plusieurs disciplines : * Les courses de chevaux (trot, galop, groupe), * L’attelage, * Les concours complet (Réuni le dressage, obstacle et cross), * L’endurance, * Le reining, * Le saut d’obstacle, * Le dressage

Villari? Thierry de Villers ou Thierry résidant en la villa de Gros Terme, sans doute un régisseur du domaine pour le compte de l'Abbaye de Montiers.Nota: N'oublions pas que, à cette époque, les noms patronymiques n'existaient pas: les Chevaliers, écuyers,comtes prenaient le nom du lieu où ils résidaient ou du pays, berceau de la lignée. Pour les plus humbles, seul le prénom les différenciait. Deux étangs occupaient la prairie du côté droit de la chaussée qui va à Louppy, c'est à dire au bas de la

sur son remède à base de basilic et d’eau de rose, certaines personnes de ce compte vont vouloir l’empoisonner pour cet acte et également pour protéger un savoir, la médecin en l’occurrence. Ce passage renvoie à d’autre épisode tel « Le Chien et Le Cheval » (Chap 3), « L’Envieux » (Chap 4), « La Femme battue » (Chap 9) ou encore « L’Esclavage » (Chap 10) et bien d’autre. La figure de style utilisé est une antiphrase, une hyperbole ou encore une emphase. Cette phrase a un sens ironique car Zadig aide