Le Choc des civilisations

cannibales. -Herman Cortes, et ses quelques centaines d’hommes vont prendre le contrôle d’un grand empire ( l’empire aztèque ) en deux ans seulement. Ils n’ont pas eu besoins de tuer une grande majorité, le choc microbien a fait le grand nettoyage. Ils ont anéanti cette grande civilisation aztèque, puis se sont emparés des terres. -une fois la colonisation terminée les européens ont soumis les amérindiens aux travaux forcés, aux épidémies... et les africains achetés en Afrique à l’esclavage, pour

colonisation. C’est avec humour et ironie, simplicité et réalisme que celui-ci revient sur une période charnière mais difficile de l’histoire du continent noir. En abordant dans son œuvre ce que l’on pourrait considérer comme un « choc des civilisations » ou « un choc des cultures », la rencontre de deux mondes par essence dichotomiques et qui, par la force des choses, ont été amenés à se rencontrer, Ferdinand Oyono décrit sans complaisance les relations difficiles entre colonisateurs et colonisés

virulence la barbarie du colonialisme de la civilisation occidentale qui suscite le mépris et la haine des pays colonisés. C'est dans une perspective communiste que l'auteur critique fougueusement la classe bourgeoise qui n'a plus de limites dans l'atrocité qu'elle délègue au travers du système économique capitaliste. Ce discours est une remontrance envers la colonisation, telle un concept de déshumanisation de l'Homme pour qu'ils détruisent des civilisations. Ce pamphlet est la première déclaration

doivent passer au-delà des croyances de l'époque des ignorances. Les différentes explorations vont mettre en contact différentes civilisations amérindiennes inconnues avec les Européens. Nous allons étudier en premier Tenochtitlan qui est le centre de la civilisation aztèque confrontée à la conquête fulgurante d'Hernán Cortés aux conséquences terribles pour cette civilisation. Comment s'est déroulée la conquête et quelles en seront les conséquences ? 1/ Présentation de Tenochtitlan : 1) Un

publié en 1996 Le choc des civilisations. Cet ouvrage prétend décrire le fonctionnement des relations internationales après l’effondrement du bloc soviétique. Huntington voit le monde de manière culturelle, dans le sens où pour lui ce qui sépare les peuples n’est pas la politique, mais la civilisation. Il distingue ainsi plusieurs civilisations dans le monde dont la religion est le facteur clé, et dont les relations s’expriment par des rapports de force. On peut citer la civilisation chinoise, slave

religions, notre langue, notre couleur de peau, notre sexualité, empêche tout les êtres humains de former un seul et mêne groupe de semblable. Lors de la découverte de l'Amérique, on assiste à ce qu'appel l’anthropologue Kalvero Oberg un "choc culturel". C'est le sentiment d'anxiété lorsque que l'on se trouve en présence d'une chose ou d'un contexte qui nous est étranger. Ici le face à face entre deux peuples dont la culture les opposent fondamentalement et l'attitude de chacun d'eux montre

puissance de l’Occident ont été effectuées au fil du temps. Une étude en particulier est très intéressante. Celle de Samuel P. Huntington qui s’intitule « le choc des civilisations ». Selon cet expert, on peut en donner deux descriptions. En effet, on peut se représenter l’Occident comme dominant et tout-puissant ou encore comme une civilisation qui s’affaiblit et dont l’influence diminue. Laquelle de ces représentations faut-il croire ? Selon Huntington, les deux sont pertinentes. On pourrait dire

ces anciennes civilisations. Les aztèques ignorent l’existence des armes à feu, du cheval, ils sont en infériorité technique, leurs armes sont rudimentaires, et les Espagnols, à la vue de toutes les ressources glorieuses( or, pierres précieuses, végétaux, etc... ) vont les soumettre et les exploiter. Convertis de force au christianisme, réduits au travail forcé dans les plantations ou dans les mines d'or et d'argent, ils meurent par millions, victimes de mauvais traitements et du choc microbien. Les

société de liberté totale, y compris sexuelle, sans propriété individuelle. L’extrait de Diderot est constitué d’un long discours dont la visée polémique peut être étudiée sous tous ses aspects. Ce passage illustre surtout l’idée d’un« choc des civilisations » entre d’un côté le colonisateur européen et de l’autre le peuple tahitien humilié. Dans cet extrait, Denis Diderot met en scène un vieillard qui se présente comme étant indifférent au départ des blancs. Au moment de ce départ, il prononce

détour suivi d’un verbe de sentiment à la forte intensité : « Je hais les voyages et les explorateurs. » La formule n’est pas sans rappeler le célèbre « J’accuse » d’un certain Zola. Ainsi est posée d’emblée la thèse. Le lecteur est mis en état de choc. Cette entame agressive est sans doute voulue pour affirmer une prise de position personnelle, iconoclaste, pour dynamiter d’entrée le poids d’une tradition culturelle tenace, celle du voyage conçu comme un dépaysement ou une aventure. La première