Le Cid Acte 2 Scène 2

plus, il ne faut pas que le malheur apparaisse comme mérité ou justifiable (sinon, pas de pitié). Difficulté de concilier l’idéalisation et l’identification. Le vraisemblable est central pour que le tout fonctionne, pour que le spectateur croie. 2. La transmission de la doctrine Traductions et commentaires : La Poétique est traduite en latin en 1498 (Valla), en grec en 1503. Théories reprises par des poéticiens uniquement soucieux d’aider le poète. Nouvelles traductions et commentaires. Scaliger

Markó Bianka Corneille: Rodogune (1644.) Acte II, scène 1, vers 395 à 420. Monologue de Cléopâtre 395 Serments fallacieux, salutaire contrainte, Que m’imposa la force et qu’accepta ma crainte, Heureux déguisements d’un immortel courroux, Vains fantômes d’État, évanouissez-vous ! Si d’un péril pressant la terreur vous fit naître, 400 Avec ce péril même il vous faut disparaître, Semblables à ces vœux dans l’orage formés, Qu’efface un prompt oubli quand les flots sont calmés. Et vous, qu’avec

de Bergerac. _ Va fréquenter des salles en spectateur = Hôtel de Bourgogne, Théâtre du Marais. _ Entre 1642-43 = stop ses études pr créer sa troupe = L’Illustre théâtre. _ Couvert de dettes en arrivant à Paris = arrêter fin 1643 et prison pdt 2 ans. 2) Comédien ds un troupe ambulante (1645-1658). Il va jouer ds des villages, petites villes de ttes la France. Il écrit des 1ère pièces, courtes : Le dépit amoureux, La jalousie du barbouillé. 3) Installation à Paris (1658-1661). _ Possède

suis enterré. » (Molière, L’Avare, acte IV, scène 7) « Marchez, courez, volez où l’honneur vous appelle. » (Nicolas Boileau, Le Lutrin, III) 1. 2. L’hyperbole L’hyperbole est une exagération (exprimée au moyen d’une accumulation, de l’emploi d’intensifs ou de mots excessifs). Ex. : « Je meurs de faim » 2. Les figures d’analogie 2. 1. La comparaison Mise en relation de deux termes à l’aide d’un terme comparant (comme, tel, semblable à, etc.). 2. 2. La métaphore Mise en relation de

l'égalité et la toléranceDans son « Épître préliminaire », Corneille écrivait : « Voici un étrange monstre [...]; le premier acte n’est qu’un prologue, les trois suivants sont une comédie imparfaite, le dernier est une tragédie, et tout cela cousu ensemble fait une comédie. » Le vieux Pridamant consulte un magicien, Alcandre, sur le sort de son fils Clindor disparu depuis longtemps (acte I). D’un coup de baguette magique Alcandre met en présence du père et des spectateurs Clindor devenu valet d’un capitaine

Pierre CORNEILLE (France) (1606-1684) [pic] Au fil de sa biographie s’inscrivent ses œuvres qui sont résumées et commentées (surtout ‘’Le Cid’’ qui est étudié dans un dossier à part). Bonne lecture ! Il est né à Rouen dans une famille où l’on exerçait des fonctions juridiques ou ecclésiastiques. Son père était avocat. Au collège des jésuites de Rouen, il reçut une solide formation et une culture essentiellement latine. Il se distingua dans les compositions de vers latins. Encore

contrôle de la troupe et va essayer de trouver un protecteur haut-placé ainsi qu’un théâtre pour pouvoir se réintégrer à Paris. 2) En 1658, Molière est « engagé » par Philippe d’Orléans car celui-ci se doit d’avoir une troupe de théâtre avec son théâtre. La troupe joue donc dans le théâtre du « Petit-Bourbon » en alternance avec une troupe italienne. Molière va jouer 2 ans dans ce théâtre et grâce à cette opportunité, il va pouvoir lancer sa carrière. 3) En écrivant L’école des femmes, Molière désigne

les thèmes baroques majeurs: passion amoureuse, inconstance (instabilité, changement), univers d'illusion et de mouvement. En 1637 la pièce Le Cid est créé au théâtre du Marais, la pièce connut tout de suite un succès immense car elle conjugue une vision politique (l'opposition entre don Gomès et le roi don Fernand), un affrontement passionnel (entre les 2 amants, Rodrigue et Chimène) et le conflit entre sens du devoir, de l'honneur et sentiments (Rodrigue venge l'honneur de sa famille en tuant le

dans Hernani. Et enfin, nous analyserons la place du grotesque et du sublime dans l’œuvre et enfin, Tout d’abord, le romantisme se définissant par l’expression accentuée des sentiments, des émotions et de l’intériorité, met en scène des personnages animés par la passion. Ainsi,nous pouvons légitimement nous demander si le portrait du héros romantique érigé dans Hernani respecte cet aspect là. La pièce Hernani met clairement en évidence une intrigue amoureuse, et donc passionnelle

De quelles entrailles fauves, de quels velus embrassements suis-je donc sorti ? Que m’avait fait cet homme ? Quand je pose ma main là, et que je réfléchis, - qui donc m’entendra dire demain : je l’ai tué, sans me répondre : Pourquoi l’as-tu tué ? » 2 Delia Il faudrait s'interroger sur la polysémie de héros : dans la mythologie, le héros est un métis divin/humain : ce sens ne convient pas à Lorenzo ; dans la littérature, le héros est le personnage central d'un drame ou d'un roman : ce sens convient