Le Classicisme Pictural

lʼabolition de la profondeur et de la simplification du graphisme et aussi de la matière picturale. MANET invente la modernité qui est composée de lʼauthenticité du regard, de la simplification plastique et du coup, la peinture nʼest pas seulement le lieu dʼune représentation mais dʼune expression. La modernité introduit même la vie de la matière; cʼest à dire quʼon peut séparer la partie du corps peinte et la matière picturale qui est un langage à part entière. «Ce que MANET décrit de près nʼest pas lʼartifice

céramiste. Il vient en France au début du siècle, où il deviendra le chef de file du mouvement cubiste avec son ami Georges Braque. Il est doté d'une exceptionnelle soif de créativité, il touche à tous les courants picturaux du XXème siècle, surréalisme, expressionnisme ou néo-classicisme, pour devenir un des maîtres incontestés de l'art moderne. Pendant une période (1901), Picasso peint que des tableaux en différentes teintes de bleus suite à la mort de son meilleur ami. Il utilise cette couleur

produit également pour certaines œuvres picturales (Le Tres de Mayo de Goya ou le Guernica de Picasso qui veulent faire réagir). • Un autre problème est de savoir quelle sorte de morale peut proposer l’art : - pour Gide (Nouveaux Prétextes) l’artiste ne doit pas inventer une morale, mais imposer un style aux valeurs admises, ce qui s’oppose à l’art pour l’art qui se détourne de son temps, et à l’art qui nourrit les foules (l’art du XVIe siècle, le classicisme, malgré ses éléments de révolte après

montrent l’exemple à suivre. De l’Allemagne invite à s’intéresser à ce qui s’écrit audelà du Rhin et René est la version française de Werther. L’émigration a eu sur ces deux auteurs un double effet : elle les a conduit à relativiser l’influence du classicisme français et elle leur a permis de concevoir l’idée d’une culture universelle. Cette première vague décrit le « mal du siècle » que Musset théorise plus tard. La mélancolie et les aspirations de l’être semblent inconciliables. Le romantique est

montrent l’exemple à suivre. De l’Allemagne invite à s’intéresser à ce qui s’écrit au- delà du Rhin et René est la version française de Werther. L’émigration a eu sur ces deux auteurs un double effet : elle les a conduit à relativiser l’influence du classicisme français et elle leur a permis de concevoir l’idée d’une culture universelle. Cette première vague décrit le « mal du siècle » que Musset théorise plus tard. La mélancolie et les aspirations de l’être semblent inconciliables. Le romantique est

Ces montagnes aux formes irrégulières rappellent le baroque, qui est bizarre par rapport au classicisme. On voit donc apparaître chez Fénelon, une attraction pour le bizarre. Dans le paysage, on voir le prélude à la métamorphose de Calypso. Ensuite, le regard redescend des montagnes voisines : on voit la splendeur éclatante, la générosité quasi providentielle de la nature. Il y a une description picturale, avec des couleurs variées qui rappellent la Méditerranée et l’Antiquité. La fécondité de

pour désigner les manifestations artistiques (peinture et sculpture) en Europe entre 1520 et 1620. Au niveau du style, le maniérisme recouvre tout le 16e siècle européen et se situe après l'apogée de la Renaissance et les débuts du Baroque et du Classicisme en France. Ce terme de maniérisme évoque l'idée d'une décadence des artistes par rapport à la perfection idéale d'un Michel-Ange ou d'un Raphaël. Les données essentielles de cette tendance sont le mouvement agité, la fantaisie, la subjectivité

des codes classiques a) Analyse furtive d’une œuvre de Le Lorrain b) La composition chez Monet. Conclusion Sources Introduction Au XIXème siècle, deux mouvements dominent la scène de l’art en France. D’une part, le néo-classicisme, qui exalte la grandeur, la mesure et la force, la rencontre de la beauté et de la vertu, et d’autre part le réalisme, qui part du postulat que le beau est d’abord le vrai, qui se passionne pour les scènes de genres élevés à la peinture d’histoire

laissa dans une situation très précaire. En 1815, après avoir fini de sérieuses études et avec l’aide de son oncle, il parvient à entrer dans l’atelier de Pierre-Narcisse Guérin et commence sa formation de peintre. Dès le début, Eugène tomba dans le classicisme. L’année suivante, il est admis à l’école des Beaux-Arts. C’est là qu’il rencontre Géricault, un jeune homme de sept années de plus que lui, avec qui il se liera d’amitié et pour qui il aura une grande admiration. Il fut aussi très impressionné

Mariage de la Vierge jusqu’à la Transfiguration juste avant sa mort, une évolution certaine apparait dans la construction de ses œuvres en tendant de plus en plus vers le maniérisme et moins vers le classicisme. Pour autant toutes ses compositions restent centrées autour de motifs aux reliefs romains ainsi qu’aux personnages, édifices et statues antiques. Plusieurs de ses œuvres le montre comme avec L’école d’Athènes situé dans