Le Clergé Dans La Société Féodale

l’Ancien Régime (5e-18e siècles) Chr. LAURANSON-ROSAZ Professeur à l’Université Jean Moulin Deuxième Partie LE MOYEN ÂGE (10e-15e siècles) De la Féodalité à la Monarchie La “mutation féodale” désigne le grand changement qui s’est opéré entre le 10e et le 12e siècle ― autour de l’an Mil ― dans la société occidentale : un changement à la fois politique, économique et social, que les historiens perçoivent plus ou moins fort selon les régions (selon que le pouvoir royal ou impérial est plus

sans partage. Les autres marques suivent ce pouvoir de faire la loi: faire la guerre, battre monnaie, lever des impôts et juger en dernier ressort. Jusqu’au 14eme le roi ne dispose pas d’ample pouvoir dans tous le royaume, il est limiter par l’ordre féodale. Au cours des 14 et 15, le roi acquiert de réelles attributions. Et cet affermissement est bien prouvé par la théorie de souveraineté. Stabilité du pouvoir royale lors du 16ème siècle ou la monarchie mets en place des rouages de gouvernement qui aboutissent

s ‘écroule! ! ! Des mérovingiens aux carolingiens! ! Mérovingien (5 au 8 siècle)! Les Francs vont choisir un roi! Premier roi: Clovis ! —> Il se lance dans plusieurs conquêtes à Tournai et aux alentours.! Clovis se fait pote avec le clergé car il a compris que le clergé avait un sacré pouvoir sur le peuple, il se fait baptiser et baptise son armée.! —>Evangélisation: prétexte pour conquête ! ! 511: Clovis meurt.! A sa mort, son territoire est divisé entre les 3 fils et ils ne s’entendent pas. ! La

la résistance des privilégiés et au mécontentement du Tiers-Etat. Elle accepte la réunion des Etats Généraux, prévue le 1e Mai 1789. Celle-ci est censée sortir le pays de la crise qu’elle traverse. Chaque ordre (la société est divisé en trois ordres principaux : la noblesse, le clergé, le tiers-état, ce dernier représentant environ 96% de la population.) doit s’exprimer sur la question de l’impôt. Un ordre est considéré comme un vote, le tiers-état se retrouve donc à deux voix contre une. Le roi

PROPOSE I] Une période troublée dans certaines parties de l’Europe. 1) Les anciens seigneurs féodaux sont les premières «victimes » des nouveautés technologies Unification des royaumes, artillerie… 2) La religion est remise en question, parfois dans la violence. Protestantisme, St Barthélemy… II] Mais la société change doucement… 1) La connaissance n’est plus concentrée entre les mains du clergé Imprimerie et des conséquences… 2) L’explication religieuse du monde n’est plus satisfaisante

souverain absolu, puisque ses pouvoirs sont définis par un texte écrit qui les encadre : la Constitution.La monarchie de 1815 n'a rien à voir avec celle de l'Ancien Régime jeté à bas : la société d'ordres a disparu, les privilèges ont été abolis (les droits féodaux ont été totalement abolis en 1793) et le clergé réfractaire, les nobles, les émigrés rentrés avec Louis XVIII ne peuvent récupérer leurs terres confisquées et vendues. Monarchie de monarchie de juillet (1830-1848) consacre les conquêtes

changent, le gouvernement de la monarchie franc et carolingien, est miné par des dislocations que l'on retrouve partout dans l'Europe. Ces dislocations des formes étatiques sont l’œuvre de la féodalité, le pouvoir descend à un échelon très bas dans la société civile, et est incarné dans une petite unité, appelée la seigneurie banale. Le roi n'a plus de pouvoir royal. Les seigneurs commandent aux paysans, mais sans être coupé par le gouvernement royal. Puis enfin vient la reconstruction du pouvoir royal

brabançonne du XVIIIe. Membre du parti vonckiste voulant mettre en place une démocratie avec une assemblée représentative. 2. Van der Noot : Avocat et leader de la révolution brabançonne du XVIIIe-XIXe. Chef du parti vandernootiste/statiste, soutenu par le clergé, les métiers et la noblesse, il est favorable au retour des anciens privilèges (conservateur). 3. Velbrück : Prince-évêque de la principauté de Liège du XVIIIe. Franc-maçon et très apprécié du peuple, il meurt peu de temps avant la révolution liégeoise

un régime en crise. D’abord il y a une crise des idées. Chapitre 1: La crise de l’ancien régime ou la pré-révolution: Section 1: La crise de conscience liée a l’émergence d’idée nouvelle: C’est une remise en cause par la réflexion de la société d’ancien régime et cette remise en cause est assez ancienne, cette remise en cause on la doit a des auteur monarchiste dès le XVII et mm avant , on voit se développer des thèmes remettant en cause le pouvoir du roi, ces thèses viennent de grands aristocrates

c'est la société FR elle même qui est en crise et à cette crise de la société s'ajoute une cris des institutions du royaume qui atteint son point de rupture dans la seconde moitié du XVIIIe siècle. Section 1 : La crise de la société de l'ancien régime Dans les siècles qui précédent la révolution la société fr présentait un tableau rassurant , le tableau d'un monde équilibré dans lequel chacun occupe la place que dieu lui a réservé, c'est une société rural dominé par la noblesse et le clergé , mais