Le Coeur Révélateur Edgar Poe

semble piloter. Pendant la messe, au pensionnat, Guy taquine la muse et chante cette eau qu'il aime tant. La mer en mugissant bondissait sur la plage Mais ses lourds grondements et les bruits de l'orage Retentissaient moins haut que les voix de mon coeur. (2) Plus tard, â.gé de dix-sept ans, il consacre quelques vers à un rocher creux qui surplombe la porte d'aval à Etretat. (1) ~ René Dumesnil, Chroniques, études, correspondance de Guy de Maupas(Paris: Grand, 1938), p. 196. (2) Cité par Armand

repéré par Edgar Allan Poe, avant de disparaître dans un incendie, sans livrer les clés de son mystère. → Jean-Eugène Robert-Houdin (1805-1871), alias Houdini, magicien et inventeur, mettra fin au subterfuge. Il démontra qu’en réalité, il y avait assez de place sous le joueur pour qu'un nain ou un enfant y prenne place. → Edgar Allan Poe (1809-1849) écrivit une nouvelle sur cet automate ; Le joueur d’échecs de Maelzel (1836), dans lequel il avoue à la fois sa fascination et sa perplexité, Poe refuse

du Monde 5 "Tout est permis en dedans." [ Louis-Ferdinand Céline ] "Les idées reçues sont des maladies contagieuses." [ Esther Rochon ] "Un remords vaut mieux qu'une hésitation qui se prolonge." [ Henry de Montherlant ] "On peut feindre d'avoir du cœur, pas d'avoir de l'esprit." [ Paul Morand ] "Pourquoi faire part de nos opinions ? Demain, nous en aurons changé." [ Paul Leautaud ] "Sous prétexte que la perfection n'est pas de ce monde, ne gardez pas soigneusement tous vos défauts." [ Jules Renard

Monde 5 "Tout est permis en dedans." [ Louis-Ferdinand Céline ] "Les idées reçues sont des maladies contagieuses." [ Esther Rochon ] "Un remords vaut mieux qu'une hésitation qui se prolonge." [ Henry de Montherlant ] "On peut feindre d'avoir du cœur, pas d'avoir de l'esprit." [ Paul Morand ] "Pourquoi faire part de nos opinions ? Demain, nous en aurons changé." [ Paul Leautaud ] "Sous prétexte que la perfection n'est pas de ce monde, ne gardez pas soigneusement tous vos défauts." [ Jules Renard

sur l’exploitation de certains hommes par d’autres (p. 113-114). • La peinture est un révélateur de la vérité, une manière d’affronter la vérité : elle ne « comble pas les vides », mais les « creuse », les « révèle ». Comparaison du peintre à un scientifique, un médecin (p. 214) : « il peignait comme un médecin ausculte et palpe, et la figure qui résultait de ses observations formulait un diagnostic : votre cœur bat trop vite ; votre tête est remplie de soucis... ». La vérité exposée par la peinture

français –, l’Australienne Mireille Juchau a placé cette phrase de Diane Arbus : « Une photo est un secret à propos d’un secret. Plus elle en dit, moins on en sait. » C’est bien de photographie et de non-dit familial qu’il s’agit ici. D’où ce titre, Le Révélateur, du nom du bain qui transforme l’image latente en image visible et qui fait soudain apparaître, sous les yeux de Martine, les contours d’une petite fille blonde dont elle a toujours ignoré l’existence... « Tu n’étais pas censée la voir », se dit

été Au château d'Argol ; une heure avant de le commencer, je n'y songeais pas[17]. » Ce premier roman, « plus abstrait, plus violent et plus révélateur[18] » que ceux qui le suivront, met en scène les relations ambiguës, fortement teintées d'érotisme et de violence, entre trois jeunes gens (deux hommes et une femme), dans un style inspiré d'Edgar Allan Poe et de Lautréamont[18]. Une fois l'écriture d'Au Château d'Argol achevée, Louis Poirier le fait parvenir aux éditions de la NRF, qui refusent le

trouve dans « À la promenade »48, ou bien encore le tremblement de consonnes du premier vers de « Green », vraie réduction progressive 42. Par exemple, « masques et bergamasques » (Fêtes galantes, « Clair de lune », v. 2). 43. Par exemple, « dans ce cœur qui s'écœure » (Romances sans paroles, « Ariettes oubliées », 3, v. 10) : changement d'ouverture de la voyelle. 44. Jadis et Naguère, « Art poétique », v. 4. 45. L'ariette de la pluie offre un remarquable traitement varié du son [oe] « altéré » par

Il faut en venir, pour éclairer philosophiquement le problème de l'image poétique, à une phénoménologie de l'imagination. Entendons par là une étude du phénomène de l'image poétique quand l'image émerge dans la conscience comme un produit direct du cœur, de l'âme, de l'être de l'homme saisi dans son actualité. II On nous demandera peut-être, pourquoi, modifiant notre point de vue antérieur, nous cherchons maintenant une détermination phénoménologique des images. Dans nos travaux précédents [3]

prose. [À ce corpus textuel donné, strictement poétique, se sont ajoutés, parfois, à titre exceptionnel, des arguments complémentaires, dotés d’une certaine « poéticité », provenant ou de la biographie du poète, ou, surtout, de ses écrits intimes (Mon cœur mis à nu, Fusées, La Belgique déshabillée, sinon de sa correspondance privée).] Le principal élément novateur de cette démarche scientifique consiste dans la définition particulière du concept du démon, proposant, à travers un modèle d’approche complexe