Le Comique Dans Les Femmes Savantes

attentive de la nature humaine, c’est là toute la difficulté de l’auteur de comédies. Par ailleurs, Molière a aussi exposé ses idées sur la comédie dans les préfaces des pièces suivantes :Les Précieuses ridicules, Tartuffe, La critique de L’école des femmes. Molière et les règles du théâtre classique Pour Molière les règles sont des lois mystérieuses et la seule qui soit importante c’est : PLAIRE . Il ne faut pas juger une pièce selon les règles mais selon l’effet qu’elle produit sur le spectateur

DIDASCALIE) Les Fourberis 2 Scapin, Molière (il y a seulement des didascalies fonctionnelles qui indiquent la présence des persos sur scène : Octave, Scapin…) Raimu acteur ds le T. 2 Marcel Pagnol ( interprétations très remarquées. Ds le théâtre comique, la mimique et les sous-entendus des acteurs et les gestes 2 complicité avec le public sont fondamentaux.) « Je n’ai pas dit que la parole au théâtre n’était rien […] j’ai dit que le théâtre n’était pas limité à la parole » Antonin Artaud. Les

Les aspects du comique : dissertation rédigée Sujet : Les aspects comiques d’une pièce de théâtre ne servent-ils qu’à faire rire ? Vous vous appuierez pour répondre à cette question sur les textes du corpus ainsi que sur des pièces que vous aurez lues ou dont vous aurez vu une représentation. La comédie est étroitement associée au rire comique, c’est-à-dire au plaisir et au divertissement que le spectateur recherche en se rendant au théâtre. Molière lui-même fait du rire un élément essentiel

comédiens, considérés comme dépravés. (p.46) 13Argument de L’Ecole des femmes de Molière : Arnolphe, âgé de quarante-deux ans, croit avoir trouvé un moyen infaillible pour se prémunir contre l’infidélité féminine : il s’apprête à épouser une orpheline de dix-sept ans, Agnès, qu’il a adoptée et fait élever au couvent dans une complète ignorance des réalités de la vie. (p.47) 14La scène du ruban dans L’Ecole des femmes est comique par les sous-entendus sur lesquels le quiproquo repose. (p.48) 15Le

l'Illustre-Théâtre. Il prend le nom de Molière , et en compagnie de sa maîtresse, Madeleine Béjart, il vit treize années en prégrinations e, presence, avant que sa troupe ne decide de revenir à Paris en 1658 ou il épousera Armande Béjart. Grand auteur comique, il a peint les vices de ses contemporains et les plaies de la société de son temps et a créé des personnages immortels : Harpagon, Tartuffe, Don Juan, Alceste. Sans soucis de bienséance il excelle dans la mise en scène de comédies grinçantes et féroces

d’autant plus spectaculaire. La mise en œuvre de toutes les formes du comique a les mêmes visées. La comédie- ballet, comme son nom l’indique est avant tout une comédie qui a pour objectif de divertir le spectateur en le faisant rire. Molière utilise pour cela tous les ressorts du comique. Par exemple, dans la scène 10 de l’acte III, lorsque Toinette se fait passer auprès du naïf Argan pour un médecin, le comique de situation domine, renforcé par la drôlerie du travestissement de

d’une famille bourgeoise, il fonda la troupe de l’illustre théâtre à 21 ans, qui fera faillite 2 ans plus tard. Les principales œuvres sont l’Avare, Médecin malgré lui , le Malade imaginaire, Bourgeois gentilhomme, les Fourberies de Scapin, les Femmes savantes,.. C’est aussi un des comédiens des pièces qu’il écrit. Après avoir connu des hauts et des bas dans sa vie, il mourut en 1673 en pleine représentation du Malade imaginaire alors qu’il était au sommet de sa gloire. L’intrigue de la pièce Père

extravagant [qui] se pique de galanterie et de vers*». D'autre part, c'est bien Don Diègue qui, à la grande confusion d'Hélène, vient démasquer son valet, ainsi que le feront La Grange et Du Croisy. C'est à partir de cette donnée que travaille l'invention comique de Molière pour atteindre à une signification humaine plus profonde. Molière s’est également servi d’un texte attribué à Charles Sorel, Les Lois de la galanterie*— qu'il aurait également utilisé pour L’École des maris, Dom Juan et Le Bourgeois

Elle joue un rôle fondamental dans le resserrement de l’action dramatique et contribue à stabiliser l’esthétique classique jusqu’à l’époque romantique. Le genre comique, auquel les théoriciens du théâtre ne s’intéressent guère, y est moins astreint que la tragédie — tout au moins pour l’unité de lieu et de temps. Dans L’École des femmes, par exemple, une partie de l’action se passe dans la rue, une autre dans la maison d’Arnolphe. S’il arrive à Molière de s’y conformer plus fidèlement, c’est que

salons parisiens qui passent pourtant pour très brillants. Ce ne sont en fait que « des plaisanteries dont la plupart sont insipides, de fausses nouvelles, de mauvais raisonnements, un peu de politique et beaucoup de médisance » (chap. 22). Les savants ne valent pas mieux : lors du passage de Candide à Bordeaux, l’Académie de cette ville lance un concours pour déterminer pourquoi le mouton ramené de l’Eldorado est rouge. Quant aux médecins se sont des charlatans car ils empirent l’état de Candide