Le Comique Dédramatise

Introduction : Le roman Voyage au centre de la Terre a été écrit par Jules Verne en 1864. Ce récit est le second publié après Cinq Semaines en Ballon sorti en 1863. Jules Verne, issu d’une famille de navigateurs et vivant en pleine révolution industrielle, a préféré devenir écrivain plutôt qu’avocat. Durant toute sa vie, il s’est consacré à la recherche documentaire pour l’écriture de ses romans de science-fiction. Il a créé à l’aide de son éditeur, une revue pour enfants puis a écrit une collection

Raymond Queneau, Je crains pas ça tellment » 1946. I-Dire la mort avec dérision : une façon de dédramatiser. a) Comme un défi lancé à la mort, un défi répété - Une poésie personnelle : « je ». Présence de son identité. Vers 4. Le poète se met en jeu et nous fait part de son rapport à la mort. Il ne se considère pas pour autant pour quelqu’un d’important : « moustiquaille ». - indifférence du futur du corps et de lui-même ( description de la mort du corps vers 1,2) -indifférence du futur

la pression infligée par la maladie. De même, dans l’album de Bénabar, Reprise des négociations sorti en 2005, la chanson « Le Fou rire » s’inspire du fou rire incontrôlable qui se produit lors d’évènements tragiques et tristes et qui permet de dédramatiser la situation. En outre, la photo prise dans un hôpital où l’association lyonnaise Docteur Clown œuvre montre un enfant malade en train de rire des blagues faites par le clown Ratabidouille. Alors, en quoi le rire permet-il de lutter contre soi

pathétiques des métaphores et comparaisons sont employés pour permettre d'exprimer et mieux comprendre la violence des sentiments. 3e paragraphe Pour finir, un dernier registre est mentionné dans cette œuvre. Car, effectivement le registre du comique, plus précisément du satirique et de l’humour noir est pris par l’intermédiaire d’un symbole. Dans les vers 21 et 22 « Mais je crains pas ça tellment ce lugubre imbécile qui viendra me cueillir au bout de son curdent », le poète se moque ouvertement

cela " • Une incompréhension mutuelle. - nombreuses interrogations - Répliques (" parler distinctement ", " articuler mal ", " ouvrir les oreilles ") • Un désaccord total. - "Je ne vous prends pas au sérieux. Vous plaisantez..."=>B tente dédramatiser propos inadmissibles de J - J agressivité injurieuse (" Des clichés ! vous me racontez des bêtises ") brièveté⇒ refus de toute discussion + mépris face à Bérenger. - reprises de termes mais changement de sens (" La morale ! Parlons-en de la

dans les textes A, B et C. Quelle est la visée de l’auteur dans chacun de ces textes ? Le corpus propose trois textes théâtraux appartenant à deux registres différents : les registres comique et tragique. Le texte A, extrait du Bourgeois Gentilhomme, une des nombreuses comédies de Molière, appartient au registre comique : il met en scène, dans ce passage, M. Jourdain, un bourgeois qui se prend pour un noble, et qui est victime d’un subterfuge. La visée de cette scène est de faire rire à ses dépens pour

me voir ! Vous ne semblez plus m’entendre ! » « Je vous entends très bien ! Je vous vois très bien ! » ou « Je vais appeler le médecin. […] » « Non. »). Le désaccord est total : Bérenger conteste le discours inadmissible de Jean en tentant de le dédramatiser (« Je ne vous prends pas au sérieux. Vous plaisantez […] »). Ce à quoi répond l’agressivité de Jean (« Des clichés ! vous me racontez des bêtises. »), qui refuse alors toute discussion et affiche son mépris à l’encontre de Bérenger. La frayeur

personnages comiques. C’est le rire cathartique, qui « purifie » le lecteur ou le spectateur. À l’image de La Fontaine qui voulait « tourner nos vices en ridicule » par une « comédie aux cent actes divers » (ses fables), les humoristes politiques, sur scène ou à travers le dessin, rencontrent un vif succès. Les caricaturistes de presse jouent de nos jours le rôle de philosophes, tel Montesquieu dont un large public s’empressait de lire les Lettres persanes. II. L’humour dédramatise la souffrance

personnages comiques. C'est le rire cathartique, qui « purifie » le lecteur ou le spectateur. À l'image de La Fontaine qui voulait « tourner nos vices en ridicule » par une « comédie aux cent actes divers » (ses fables), les humoristes politiques, sur scène ou à travers le dessin, rencontrent un vif succès. Les caricaturistes de presse jouent de nos jours le rôle de philosophes, tel Montesquieu dont un large public s'empressait de lire les Lettres persanes. II. L'humour dédramatise la souffrance

rire est de nos jours, un sujet aussi bien important que sérieux et il est possible de le juger de par sa présence dans notre quotidien et surtout au niveau télévisuel. Comme le souligne Jean-Marc MOURA, sa médiatisation ouvre à une représentation comique de la vie. Représentation symbolisée par un satyrisme omniprésent via de nombreuses émissions comme « Les Guignols de l'info » ou « Les Grosses Têtes ». Le but étant de rire de personnes réelles en mettant en avant leurs défauts. Ainsi ces railleries