Le Comique Effrayant

sait que les traits au théâtre doivent être forcés pour passer la 10 rampe mais les personnages de Schmitt ressemblent souvent à des automates dont le mécanisme dépend de nombreux ressorts (émotionnel, idéologique, satirique, philosophique, comique...). 5 Croyance et certitude reposent sur une certaine idée que l’on se fait de la « vérité » et qui engage soit l’opinion que l’on a à propos d’une chose ou d’une personne (domaine subjectif et variable selon les sentiments de chaque individu)

Identifiez la métaphore filée qui parcourt l’ensemble du chapitre. Le narrateur est horrifié par le sort des bagnards en partance pour le bagne de Toulon. Le vocabulaire en atteste : il s’agit en effet d’une « chose hideuse » et plus loin d’une « chose effrayante », c’est l’image d’un « châtiment horrible ». Les condamnés déshabillés sous la pluie sont à la fois ridicules puis surtout pathétiques : les profils sont « sinistres », le silence est « morne ». Le narrateur est d’autant plus horrifié que pour

Dans cette intrigue circulaire, la fin reprenant le début en inversant les couples, il n’y a pas non plus d’événement particulier. D’autre part, on ne trouve aucun réalisme crédible ni dans le temps ni dans l'espace. À côté du comique de situation, on a surtout un comique de langage irrésistible, qui tient à la banalité des propos échangés, à la simplicité des dialogues, au style discontinu, à l'humour, à la cocasserie, à toute une artillerie verbale (calembours, jeux de mots, contrepèteries, coq-à-l’âne

prennent la parole les premiers et jugent la peine de mort « nécessaire ». Ils développent trois arguments : l’importance d’écarter de la société un individu nuisible ; il est du devoir de la société de « veng[er] » et de « puni[r] » ; le « spectacle » effrayant de l’exécution capitale a un but exemplaire. L’auteur reprend ces trois arguments pour les réfuter un à un. Selon lui, la peine capitale n’a pas lieu d’être car il estime, tout d’abord, que la « prison perpétuelle » est une peine suffisante et efficace ;

ignominie, opprobre, vergogne, outrage, outrager, flétrir, diffamer, déshonorer, rire, rougir, infâme, honteux, misérable, honneur, déshonneur. LA PEUR Inquiétude, peur, crainte, alarme, effroi, épouvante, horreur, terreur Inquiétant, redoutable, effrayant, effroyable, épouvantable, horrible, terrible, terrifiant, inquiet Horriblement, épouvantablement, effroyablement , Redouter, craindre, trembler. ROMANTISME PISTE 8 : LE HEROS ROMANTIQUE Il est souvent dominé par son émotivité ou sa sensibilité

passante » de Charles Baudelaire 9 AXE 2 : LES SIGNIFICATIONS SYMBOLIQUES DU THEME DE LA PASSANTE A. L’image ambivalente de la Femme (étude du portrait de la passante) : pour Baudelaire, il semble que la femme soit à la fois attirante et effrayante. Le portrait physique : élégance aristocratique et beauté sculpturale. La description de la passante insiste sur son élégance : son allure générale est « majestueuse » ; le geste de sa main évoque le faste, c’est à dire le luxe (« fastueuse

la guerre, il faut être « seul devant elle » et donc avoir faillit mourir. 5. Il s'oppose au collectif. La violence de la guerre 1. Avec la métaphore « une croisade apocalyptique », il compare la guerre à l'apocalypse qui est un catastrophe effrayante qui évoque la fin du monde. 2. Il a connu l'horreur à la guerre « on est puceau de l'Horreur » ← personnification de l'horreur. 3. Il utilise dans son récit, des groupes nominaux qui décrivent brièvement la guerre et ce qu'il s'y passe : « cette

je traîne à la barre Cet aveugle, ce sourd, ce bandit, ce barbare, Le Passé ; je dénonce, ô royauté, chaos, Tes vieilles lois d'où sont sortis les vieux fléaux ! Elles pèsent sur nous, dans le siècle où nous sommes, Du poids de l'ignorance effrayante des hommes ; Elles nous changent tous en frères ennemis ; Elles seules ont fait le mal ; elles ont mis La torche inepte aux mains des souffrants implacables. Elles forgent les nœuds d'airain, les affreux câbles, Les dogmes, les erreurs, dont

Mais, bientôt assoiffé, le docile chameau se fait lion, fier et pugnace. Cherchant à s’établir en seigneur des lieux et de lui-même, il est mené à terrasser le dragon aux mille écailles gravées chacune d’une valeur ancestrale. Au « tu dois » effrayant s’oppose un « je veux » impérial qui n’a d’autre but que sa liberté. Le lion n’affirme rien, il dit non au devoir. Il se contente de faire table rase. A cette étape, le comédien est en refus de la maîtrise absolue mais n’agit pas encore. Créer

bonheur revendiqués de ne pas appartenir au corps social. On peut pratiquement donc parler de renversement de perspective dans la mise en scène du monstre, des pièces grecques aux pièces de Koltès : -Les Grecs se sont servis du culte assez effrayant de Dionysos, et de son « chaos tournoyant », qui implique un retour vers ce qui nous menace, l'animalité dont l'homme a la terreur qu'elle l'envahisse, lui et la Cité... et qu'elle fasse sauter tous les tabous... pour faire du théâtre un fascinant