Le Comique Et Ses Deux Fonctions

XVIIe : Commentaire de cette citation de Jean-Claude Aubailly : «  [La] farce est un simple divertissement qui s'adresse aux sens et vise le comique immédiat, franc et bonhomme ». Jean Claude Aubailly était un chercheur et un critique qui s'intéressa particulièrement à la littérature médiévale et qui publia en 1975 son Théâtre médiéval profane et comique, d'où la citation ci-dessus est tirée. Il faut savoir également qu'Aubailly était un critique moderne qui tenta d'apprécier la farce et le théâtre

professeur de Lettres d'origine russe . L'œuvre de François Rabelais et la culture populaire au Moyen Âge et sous la Renaissance constitue un essai sur la définition de la culture comique populaire du Moyen Âge et de la Renaissance à travers l'œuvre de Rabelais, définition plus à même de renseigner le lecteur sur le comique de Rabelais. En effet Mikhaïl Bakhtine qualifie l'œuvre de François Rabelais d' « encyclopédie de la culture populaire ». 2- Résumez l'introduction, présentez-en les étapes ,

le théâtre dispose d'un langage propre qui n'est pas seulement celui des mots, mais aussi celui des gestes et des apparences (costumes, décors, mouvements, musique, etc.). La fonction du théâtre n'est pas radicalement différente de celle des autres genres littéraires ; elle tente de provoquer des effets sur le public, comique, pathétique... Le dramaturge, en faisant parler ses personnages, incarnés par les comédiens, peut également dénoncer ou faire passer ses idées, son point de vue sur de nombreux

Français, le comique dans Lorenzaccio Lorenzaccio, est une pièce de théâtre qui appartient au genre du Drame Romantique qui remonte au début du XIX ème siècle. Le drame romantique traduit le mal du siècle que vit la jeunesse de l'époque, il va mettre en scène un héros qui aspire à un but ultime, qui selon lui pourrait le sortir de sa mélancolie, de son ennui, mais bien souvent il n'arrivera pas au bout de son objectif fixé et se sacrifiera vainement pour la société. Lorenzaccio est une pièce

« L’affaire du théâtre est de divertir les gens » : selon Brecht, le théâtre remplirait une fonction bien particulière : mais que peut-on entendre par « divertissement » ? Le théâtre est une fête divertissante, un spectacle qui se déroule dans une salle décorée avec faste et traditionnellement ornée de fauteuils en velours rouge. Le spectateur lui-même s’habille pour sortir, les acteurs eux-mêmes déguisés avec soin viennent dérouler un spectacle vivant sous les yeux du public. Sur la scène, des

tout ceci reste à nuancer: les aspects comiques ne servent-ils qu'à faire rire, à amuser le public? Il est vrai que le registre comique au théâtre est propice à la détente, à l'amusement. Cependant lui attribue t'on une simple fonction? Ne faut-il pas sous-entendre, grâce à une "deuxième" écoute plus attentive, un sens plus profond, masqué par cette comédie ou, au contraire, mis en valeur par celle-ci? Développement Pourquoi existerait-il un registre comique si ce n'est pour faire rire? Nous verrons

photographie, tous ces arts divertissent. Nous nous demanderons ce qu’entend BRECHT dans ce terme de « divertissement » puis nous nous demanderons si le théâtre, outre cette fonction, n’assume pas d’autres fonctions tout aussi importantes. « L’affaire du théâtre est de divertir les gens » : selon Brecht, le théâtre remplirait une fonction bien particulière : mais que peut-on entendre par « divertissement » ? Le théâtre est une fête divertissante, un spectacle qui se déroule dans une salle décorée avec

de la lecture Rabelais développe-t-il ici? Paradoxe : combinaison de deux idées a priori contradictoires. Quels sens contradictoires trouve-t-on dans le G., comment R résout-il cette contradiction ? Quels sont les enjeux véritables de la lecture du G. Plan une explication linéaire en trois parties : 1)un texte contradictoire qui entraine lectures contradictoires 2)la clé de lecture : une métaphore filée qui combine les deux types de lecture au lieu de les opposer 3)les enjeux de cette double lecture

le tailleur qui sont en perpétuelle discorde. Nous nous interrogerons ici sur la fonction de cette histoire dans la pièce. Nous verrons tout d’abord en quoi cette histoire est une fable comique, ensuite en quoi cette histoire est néanmoins marquée par une certaine dimension tragique et enfin en quoi c’est une critique de la religion. L’histoire du tailleur, raconté par Nagg à Nell, a tout d’abord une dimension comique. En effet, de prime abord, elle peut amener le lecteur ou le spectateur à rire :

théories de la dégradation », les théories de la supériorité se fondent principalement sur l’attitude du rieur, sur les sentiments qui provoquent son rire. Les émotions que l’on retrouve généralement associée au rire sont le dédain et l’orgueil, toutes deux sont dues au fait que le rieur se sent supérieur à sa victime. L’idée de laideur est également très présente, qu’il s’agisse de la laideur physique de celui qui s’abaisse à effectuer un rictus disgracieux, ou de la laideur morale parce que ce rire