Le Communisme Espoir Ou Désillusion

différentes sortes de désespoir et ne tombez pas dans l’esthétique du désespoir. Ne désespérez pas non plus votre entourage car le combat des hommes désespérés est le plus dangereux. (Voir le destin de Pierre Goldman « Militant désespéré ou plutôt sans espoir » de Mai 1968 devenu un « droit commun » meurtrier). Deux régimes de désespoir : le désespoir doux, la résignation active (« je vous aime comme il faut aimer, dans le désespoir »), et le désespoir violent : un jour, à la suite de je ne sais quel

congolais, s'effrite rapidement. En 1999, la situation économique continue à se dégrader. La perspective d'une sortie du conflit laisse espérer l'octroi de crédits internationaux. En 2000, la poursuite de la situation de guerre ne laisse aucun espoir de reprise à une économie déjà sinistrée. En 2001, le changement à la tête de l'État et la stabilisation des fronts militaires contribuent à un léger redressement de la situation économique. La récession fait place à une croissance zéro. L'inflation

l’homme, on pourrait dire qu’il sacre l’humanité en chacun de nous et contribue du même mouvement au processus d’hominisation 1 ». Le principe de commune humanité va chercher au plus haut, là où nul ne peut dire que la formulation est teintée d’un espoir de domination. Il ne s’agit pas de tirer tel ou tel pays, telle ou telle civilisation vers un supposé modèle occidental. Il s’agit de reconnaître l’humanité de l’homme en chacun des habitants du monde. La reconnaissance politique, par les chefs

l’homme, on pourrait dire qu’il sacre l’humanité en chacun de nous et contribue du même mouvement au processus d’hominisation 1 ». Le principe de commune humanité va chercher au plus haut, là où nul ne peut dire que la formulation est teintée d’un espoir de domination. Il ne s’agit pas de tirer tel ou tel pays, telle ou telle civilisation vers un supposé modèle occidental. Il s’agit de reconnaître l’humanité de l’homme en chacun des habitants du monde. La reconnaissance politique, par les chefs d’État

qu'il avait disparu. Il pensait de la France ce que Périclès pensait d'Athènes ; - toute importance était en elle, rien d'autre qu'elle ne comptait, - mais sa théorie politique était celle de Bismark. Il avait une illusion, - la France ; et une désillusion, l'humanité, à commencer par les Français et par ses collègues. En ce qui concerne la paix, ses principes étaient simples; la psychologie de l'Allemand, la voici: l'Allemand ne comprend et ne peut comprendre que l'intimidation, qu'il est un négociateur

suivante : « De même que l'art bourgeois fait plus pour le maintien du régime capitaliste que toutes les autres forces sociales réunies : gouvernement, armée, police, magistrature, de même l'art social et révolutionnaire fera plus pour l'avènement du communisme libre que tous les actes de révolte inspirés à l'homme par l'excès de sa souffrance. » Sans prendre position vis-à-vis de son oeuvre, nous pouvons rappeler une phrase de Jean Dubuffet : « Révolution c'est retourner le sablier. Subversion est

l’Église... Le destin, en tout cas, avait ses ironies. C’était l’Église romaine vouée, entre toutes, à faire vivre, à maintenir au-dessus des particularismes ethniques et des divergences nationales, la solidarité fraternelle des croyants dans un espoir commun, c’était l’Église « catholique » qui s’employait, avec une précipitation maladroite, à hâter l’heure où, par un luthéranisme subordonnant, comme on l’a dit, l’universalité du message sauveur au programme limité d’une institution nationale autonome

solide. L'impulsion américaine intervient en 1947 avec le plan Marshall, l'année où la crise ôte aux pays européens tout espoir de retrouver la prospérité avec leur seule force. En effet, les États-Unis ont besoin d'une Europe solide afin d'établir économiquement le libre-échange, politiquement la démocratie, et en termes géopolitiques pour faire contrepoids au communisme. Ainsi, la pression en faveur de l'union des Etats et le climat de guerre froide vont faire naître les premières organisations

écrivains dont j'ai parlé, mais encore ceux qui les suivirent, écrivirent d'énormes volumes destinés à expliquer les lois qui régissent l'origine et l'évolution des institutions sociales : le mariage monogame découlait de la promiscuité, la propriété du communisme, le contrat du statut, l'industrie du nomadisme, la science positive de la théologie, le monothéisme de l'animisme. Il arriva parfois, sur le chapitre des questions religieuses en particulier, que les explications fournies s'inspirent des motivations

C'est tous les jours que l'on construit la nation et qu'on l'intègre et c'est tous les jours que les individus doivent manifester leur appartenance à la nation. Si les individus pensent que la nation est un acquis, ils vont au-devant de grandes désillusions car l'appartenance à une nation soutient l'État. En 1789, la nation est un concept révolutionnaire. L'abbé SIEYES a écrit l'ouvrage Qu'est-ce que le tiers-état ? définissant la nation dans le contexte révolutionnaire. La nation n'est plus un ensemble