Le Comparatisme

faite par les disciples d'Aristote, des sortes de monographies sur 150 cités états grecs. Ce sont des organismes indépendants avec leur Constitution. Pour la préparation de cet ouvrage il avait demandé une étude sur chacune des cités, il faisait du comparatisme. Avec ce texte nous avons la description de quelque chose que nous traduisons par constitution, mais ce qu'Aristote décrivait ça n'est pas la Constitution telle qu'on la comprend au 18e siècle. La Constitution est vue comme un ensemble de règles

rendre des comptes. En parallèle, le mot est utilisé à tort pour décrire tout massacre dans le cadre de la concurrence victimaire. Il faut être une victime pour exister. Ensuite, dans le cadre de l’enseignement, un débat est ouvert concernant le comparatisme vis-à-vis de la Shoah. La Shoah mérite d’être comparée car cette comparaison accentue sa singularité. Même si certains pensent que l’on risque l’amalgame. La spécificité de la Shoah est la volonté de mettre à mort tous les juifs du monde, ce qui

sémantique. - la syntaxe ou l’ensemble des règles qui concernent le rôle et les relations des mots dans la phrase ». Précis de grammaire française La grammaire comparée ou la linguistique historique Comme le terme l’indique en lui-même, le comparatisme est « le principe de comparer entre elles les langues pour tenter de cerner certaines parentés, certaines filiations, et vieux rêve de la monogénèse, retrouver la langue-mère, celle dont serait sortes toutes les autres ». Filippi ( p23). Cette

idéationnel Le postmodernisme spéculatif. Le postmodernisme ne peut être fondé que sur l'idée de la passion. De la même manière, on pourrait mettre en doute Descartes dans son approche subsémiotique du comparatisme. Le postmodernisme nous permet d'appréhender un comparatisme de la pensée individuelle, et pour cela, on peut reprocher à Sartre son extratemporanéité sémiotique. Le postmodernisme ne se borne néanmoins pas à être une extratemporanéité synthétique dans sa conceptualisation

des conflits paradigmatiques et de la remise en cause des grands systèmes explicatifs2 , il se dégage un certain unanimisme pour célébrer les vertus de l'intégration à la française et diaboliser dans un même élan les expériences étrangères. Le comparatisme à l'échelle européenne n'est sollicité que pour mieux souligner le bien-fondé moral et idéologique de notre entreprise national-étatique et mettre en garde les « politiques » quant aux risques d'anglo-saxonnisation de notre corps social3. Le discours

proposant un modèle de trajectoire communs aux nations européennes. Son comparatisme donne trop vite les réponses et s'attache trop aux similitudes au détriment des historicités propres. Le découpage du livre témoigne lui même de cette méthode de travail en s'articulant autour des grandes phases et non autour des singularités des Etats. Il ne s'agit donc pas d'une véritable sociologie comparée du politique puisque le comparatisme est ici moins un « opérateur d'individualités » (Paul Veyne) que d'analogie

c'était une histoire. Elle n'a pas besoin de conclusion morale car la tragédie a sa propre fin (aux deux sens du mot) et donc n'a pas besoin de se prolonger comme une leçon morale. Elle n'est ni un exemple ni un contre-exemple. II Sénèque : comparatisme différentiel. Questions : préalable : différence de code de jeu : pas de chants, pas de chœur rituel nécessaire à l'empathie, pas d'orchestra, masque différent : motus animi. Donc une seule scène et pas de dissociation entre paroles puis chants

fin du XVIIIème pour que cette grille d’analyse soit remise en cause, liée au évènements historiques, avec la Révolution US, la RF ; et donc pour les penseurs on ne peut plus mettre sur un même pied les régimes monarchiques et la démocratie. Ce comparatisme est dépassé : le premier apparaît comme un régime du passé et on compare donc les démocraties en décrétant que c’est le régime universel de l’avenir, synonyme de l’émancipation des individus. Aujourd’hui, on ne peut comparer les démocraties athéniennes

rapprocher par paires minimales des quasi-homonymes, c’est à dire des signifiants identiques à l’exception d’un seul de leurs segments qui diffère d’un signifiant à l’autre, cette seule différence étant suffisante pour distinguer des signifiés. * Comparatisme : Méthode de recherche linguistique [...] qui constitue la première approche scientifique de la langue. Le but principal de la recherche de cette époque était de trouver, à l’aide de la méthode comparative, les liens entre les diverses langues

l’introspection analogique Elle sert à élucider les mécanismes du transformisme, de la linéarité historique et du racisme biologique, autrement dit du passage d’un stade à un autre. Elle permet ainsi de dégager les lois de l’évolution. a- Le comparatisme consiste à assembler ou à combiner les ressemblances et à définir des séquences en fonction d’une règle qui consiste à aller du simple vers le complexe, autrement dit du primitif au civilisé, en partant du postulat selon lequel les mêmes causes