Le Concept De Liberté Entre Sartre Et Descartes

..................................................... 143 7. Action et communication .................................................. 147 Le langage comme action ........................................................ 147 Les degrés de la liberté ............................................................. 151 L’idée de norme ....................................................................... 158 Qu’est-ce que la justice ? ......................................................... 163

départ de la construction du Moi. Pour Descartes, c’est un vérité indubitable, même si je me trompe sur ce à quoi je pense il est impossible de nier que je pense : « Je suis, j’existe, est nécesseraiment vraie, toutes les fois que je la prononce, ou que je la conçois en mon esprit » (Méditations Métaphysiques, IIe méditation). Le doute ne peut pénétrer dans cette affirmation car le simple fait de le dire en prouve la vérité. Ainsi je suis une « âme » pour Descartes, c’est à dire une substance pensante

justice : c'est l'intérêt général que l'homme tend naturellement à rechercher. [Attention : cela ne sigifie pas que l'homme chercher naturellement "le" bien au lieu de rechercher "son" bien ; l'homme recherche naturellement... les deux ! Le conflit entre intérêt privé et intérêt général est évidemment le problème politique par excellence : comment faire en sorte que les hommes obéissent à leur "instinct divin" (recherche du bien) plutôt qu'à l'instinct qui leur est commun avec les animaux (recherche

La démonstration : Cette question doit être associée à toutes les interrogations d’ordre épistémologiques (qui ont trait à la science). Elle permet aussi d’établir un lien entre science et philosophie. C’est pourquoi elle est assez centrale et ce qu’il faut savoir sur ce chapitre vous sera utile pour de multiples sujets. La démonstration est l’opération permettant d’établir une proposition ou une théorie en s’appuyant sur des preuves et/ou une argumentation appropriée. La présentation d’une

culture de l’Antiquité mais qui s’ouvre aussi aux autres mondes que le siècle découvre. L’homme n’est pas un être figé, pourquoi alors devrait-on en figer l’écriture ? • L’humanisme se définit aussi par le partage des valeurs et des connaissances entre les hommes. C’est un mouvement européen . C’est alors par les lettres que les humanistes réfléchissent ensemble à ce nouvel homme qu’ils cherchent à construire. La correspondance d’Érasme en est un exemple. • L’utopie (Rabelais, Thomas More) permet

(1856-1939), à la fin du 19e siècle, présente à ses pairs sa théorie de l’inconscient, il rencontre une très vive résistance. La notion d’inconscient est apparue scandaleuse pour deux raisons ; d’une part, parce qu’elle semblait remettre en cause la liberté de l’homme et la maîtrise qu’il était supposé avoir sur lui-même. D’autre part, parce que la région dite « inconsciente » de notre vie psychique semble faire la part belle à la sexualité. Prémisses de la notion d’inconscient Ni le sens commun ni

de dogmes et de rites constituant la foi commune d’un groupe. Dans les monothéismes, à quoi nous limitons notre réflexion, le noyau de la croyance réside dans l'affirmation qu'il existe un être suprême auteur de ce qui est, garant de la différence entre bien et mal : Dieu. Dès lors dire "je crois en dieu" c'est affirmer que dieu existe, c'est affirmer la réalité de l'objet de sa croyance. Mais au nom de quoi? Quelle certitude avons-nous de son existence? Avons-nous une preuve ou une démonstration

conscience de notre ignorance. Il faut rencontrer des obstacles et que la pensée s'arrête et dès lors elle va chercher à expliquer.problème=obstacle La contradiction peut aussi être dans l’opinion (jugements différents, conflits d’opinions→ descartes va mettre fin aux conflits d’opinions). MAis cette recherche est difficile comme l’illustre l’allégorie de la caverne= l’usage de la raison est difficile. Nietzsche remarque que le plaisir de la vérité diminue proportionnellement

Texte 1 : Logique de la philosophie d’Eric WEIL Aristote : « L’Homme est un animal politique » Problématique : Les interactions entre conscience et négation (différentes formes de négations) On voit les différences entre l’homme et les autres espèces, réflexion sur l’Homme, spécificité => cas universel/particulier. Comme tous les autres animaux, l’Homme a des besoins MAIS aussi des désirs. * Besoins élémentaires vitaux : alimentation, repos, reproduction, eau … Naturels et nécessaires :

et donc incapables d’atteindre le bonheur. C’est la raison pour laquelle les deux grandes écoles de la sagesse antique ont élaboré une morale ou une manière de vivre, capable de régler nos désirs. Platon saisit bien cette nature ambiguë du désir, entre dénuement et plénitude, et fait du désir l’élan de toute recherche dont est issue la philosophie elle-même, comme amour de la sagesse. Cependant, le désir ne peut-il être pensé, qu’en termes de négativité et de manque ? Spinoza va tout au contraire