Le Conflit Motivationnel

familiale, ses limites devraient également reculer, car l'évolution sociale tend à montrer que les jeunes quittent de plus en plus tard la cellule familiale. L‟adolescence est enfin jugée comme une période de destruction génératrice de crises, de conflits qui, en même temps qu‟elle est nécessaire pour se construire, pose des problèmes au futur adulte qui se construit. Ces différentes crises témoignent à l‟évidence un fait indéniable : l‟adolescence est un phénomène muable revêtant des caractéristiques

dans un groupe, et réduisent ainsi les contraintes de l’organisation à un fait mécanique. Ainsi , selon Chris Argyris qui a tenté de hiérarchiser les besoins psychologiques humains à partir du principe de "congruence", s’inspirant de la théorie motivationnelle de Maslow, l’acteur négocie seul avec l’organisation ; de même que le schéma de l’économie de marché - où rétribution équivaut à contribution - reste une théorie normative qui prévoit un cadre de référence. Or, par définition, le groupe est

d’adaptation culturel incorporant trois dimensions de l’intelligence culturelle: - La dimension métacognitive-cognitive permet de mettre l’accent sur l’apprentissage de stratégies d’attribution d’une signification culturelle. - La dimension motivationnelle schématise l’acquisition d’une empathie culturelle et d’un sentiment de compréhension. - La dimension comportementale illustre l’adoption de comportements culturellement acceptables. Cette démarche qui se déroule à travers une formation misantmise

exemple : dans le cadre de l’apprentissage de la roue en gym (3 temps avec montée à l’ATR), en danse, utiliser être capable de contrôler son énergie en modulant les vitesses d’exécution (lent rapide), en sport de raquette, être capable de gérer le conflit vitesse/précision avec sa raquette. Les ressources psychologiques : Capacités liées au soi et aux émotions : volonté, persévérance, cran, enthousiasme, confiance en soi, maîtrise de soi, patience. L’idée du contrat pédagogique est un levier important

l’équipe, sait créer des conditions de travail harmonieuses et un climat de confiance, favorise le travail d’équipe, méthodique Résiste aux changements, manque de rapidité dans la mise en œuvre d’un projet, a du mal à arbitrer ou à trancher dans les conflits, manque d’affirmation notamment pour défendre son équipe à l’extérieur, a l’esprit « famille » et rejette ceux qui sont étrangers Ses limites : 18 Reconnaître un manager VERT Ses attitudes non verbales : • • • • Stature plutôt renfermée

construction de sens 5- préparer au transfert de connaissances et à la capacité d’abstraction que donne la métacognition de problématiser la situation LEVIERS. Devenir acteur de ses apprentissages Articulant les modèles cognitifs aux modèles motivationnels, des travaux de psychologie cognitive montrent la place à accorder à la gestion de ses apprentissages2 et à « la perception de la contrôlabilité » qui contribue à la « perception de soi » (R.Viau, cité par C.Demarcy). Cette contrôlabilité fait

de facilitateur. De plus en plus de chercheurs et de praticiens mettent l’accent de l’intelligence émotionnelle comme composante indispensable de leadership. Nous pouvons définir l’intelligence émotionnelle comme la compréhension de nos forces motivationnelles et subjectives, et celles des autres. Daniel Goleman (1995) considère que c’est la qualité essentielle du leader, et la décompose en quatre dimensions : - la conscience de soi - la gestion de soi - la conscience des autres - la gestion des relations

manque d’analyse de la composition des salarié, l’examens des différentes fonctions de l’entreprise, les modes de communication et le niveau de la langue acceptable, d’où la nécessité du syndicalisme qui protège les intérêts des employés. Ainsi, les conflits du pouvoir et les stratégies des chefs pour garder leur marge de manœuvre créent des problèmes de communication. En un mot, la culture de l’organisation, c’est l’efficacité de la communication. - Obstacles liés au contenu des informations

patients : état de santé, délai d’attente, retard, perte du sentiment de contrôle o Facteurs stress soignants : vérifications et contrôles permanents. Gestion des erreurs possibles. Structures limitées, inconfortables. o Apprentissages gestion de conflit nécessaire. Synthèse de dix questions de soignants adressées aux auteures au cours de leurs conférences : o Comment peut-on savoir si un patient est observant ? il n’existe pas de profil de patient observant ou non observant. o Pourquoi les patients

négociation parfois le conflit. On s’approprie aussi le lieu par les actions qu’on y mène, par les usages dont certains deviendrons des habitudes. Les conflits de territorialité : On peut se sentir agressé par un regard qui dépasse la limite physique de la propriété (voisin qui regarde au dessus de la haie). On peut aussi s’approprier un espace visuel et interpréter comme une agression l’implantation d’un bâtiment qui modifie le champ visuel. Sont aussi des sources de conflit les éléments sonores