Le Conseil Constitutionnel Garant De La Démocratie

contre-pouvoirs, la séparation horizontale des pouvoirs conjure le risque de dérive monocratique à l’échelon de la nation. Dans le cadre étatique, la nation ne trouvera meilleure garante de son intérêt que dans l’institutionnalisation d’organes et de mécanismes destinés à l’exercice du pouvoir. Cependant, cette consécration de la démocratie semble insuffisante dans les Etats de grande taille ou fortement peuplé. En effet, l’intérêt national relatif aux affaires de l’Etat se superpose souvent à des intérêts

Français. L’état unitaire est celui qui reste le maître sur son territoire, État qui ne comporte sur celui-ci qu’une seule organisation juridique et politique dans laquelle on retrouve les attributs de la souveraineté. La France se caractérise des démocraties par l’importance et la quantité des pouvoirs que concentre l’État. Cependant, depuis le début des années 1980, la France tend à la déconcentration en accordant des pouvoirs particuliers à ses collectivités et à la décentralisation en octroyant des

 Droit constitutionnel Le fait sociale primitif = anarchie or le droit a de bon que dans toute société il est intervenu comme un élément pacificateur . Pour parvenir a ses fins le droit a besoin d'une règle du jeu et donc l'existence même de la société postule une certaine contrainte d'un coté on veut son bien-être et de l'autre le bien-être ne doit pas empiéter sur autrui . Il faut pouvoir vivre ensemble . La constitution objet du droit constitutionnel définit cette règle du jeu

françaises et formule une critique en règle des institutions de la IVème République. Ces idées seront ignorées en 1946 mais fortement reprises en 1958 dans l'élaboration de la Loi Fondamentale. Ce discours constitue l’explicitation des vues constitutionnelles du Général de Gaulle. Il s'agit ici de s'interroger sur la conception qu'a le Général de Gaulle de la forme future des institutions françaises. En conséquence il est possible de se demander en quoi le Discours de Bayeux a-t-il fixé les prémices

23 tours, 78 et 92 : 16 tours - vote secret permet tt les manœuvres : risque de la démocratie! 2°) Rôle du président : - figure énigmatique - cadre modeste, rôle pas très important - rôle purement formel, cherche à éviter le schéma du Statut Albertin - symbole de l’unité et continuité nationale , - incarne force permanente de l’Etat au dessus des majorités du moment - est le grand conseiller, magistrat de persuasion et d’influence, mais encore est le coordinateur activité => est

l'ensemble des droits primordiaux pour l'individu, assurés dans un État de droit et une démocratie. En France, la protection des libertés fondamentales est d'origine prétorienne. C'est le juge administratif qui s'est le premier imposé en tant que garant de la protection des droits de l'homme. Par la suite, le juge constitutionnel a amplifié ce mouvement en lui apportant une garantie plus forte : le statut constitutionnel par une décision de 1971. La notion de liberté comme nous la connaissons trouve son

fonctions. Article 5 de la Constitution du 4.10.1958: « Le Président de la République veille au respect de la Constitution. Il assure, par son arbitrage, le fonctionnement régulier des pouvoirs publics ainsi que la continuité de l'État. Il est le garant de l'indépendance nationale, de l'intégrité du territoire et du respect des traités.»  Article 20 de la Constitution du 4.10.1958 : « Le Gouvernement détermine et conduit la politique de la nation. Il dispose de l'administration et de la force armée

Face à un Etat qui détient l'autorité, la notion de libertés publiques impose à celui-ci des limites à ses prérogatives en le soumettant à des normes juridiques. C'est le respect de ces limites qui fonde lalégitimité du pouvoir et caractérise une démocratie. En France, le cadre général des libertés publiques peut être défini en s'appuyant sur :  la Déclaration des droits de l'Homme et du citoyen du 26 août 1789,   le préambule de la Constitution de la IVe République,  le préambule

à différentes composantes de ce dernier. L'objet de cette séparation est d'avoir des institutions étatiques qui respectent au mieux les libertés fondamentales des individus. La séparation des pouvoirs est ainsi devenue un élément essentiel des démocraties représentatives. La séparation des pouvoirs a été, pour l'essentiel, théorisée par Locke et Montesquieu ; on retient en France le plus souvent la classification de Montesquieu définie dans L'Esprit des Lois : * le pouvoir législatif, confié

reprises suite à divers évènements et remplacée par des institutions d’exception. La première Assemblée Nationale multipartite du Mali (1992-1997) comptait 116 députés venant de 11 formations politiques. La formation majoritaire, l’Alliance pour la démocratie au Mali, Parti Africain pour la Solidarité et la Justice (ADEMA-PASJ) y comptait 76 représentants. La seconde Législature (1997-2002) qui accueillait 6 formations politiques a vu se renforcer considérablement le même parti majoritaire, ADEMA-PASJ