Le Contexte Historique De La Conference De Berlin

économique et politique majeur de ces puissances périphériques du système occidental dans les prochaines décennies ainsi que sur leur volonté de se rapprocher sur la scène internationale. Le concept d’« invention » des BRIC est à replacer dans son contexte : une mondialisation arrivée à maturité [...] et l’émergence d’un monde multipolaire. La pertinence de cette analyse explique le succès de cette expression. Les milieux financiers s’en emparent et sont séduits par les prévisions de croissance de

Staline est alors un état totalitaire. En 1941 lorsque l’armée allemande envahit le pays, il incarne l’esprit de résistance face aux nazis jusqu’à la victoire finale en 1945. Il participe à la conférence de Yalta avec Churchill et Roosevelt et prend part au partage de l’Europe (pacte de Varsovie/mur de Berlin). Staline meurt en 1953. Rôle de Staline pendant la seconde guerre mondiale Staline a joué un grand rôle dans la seconde guerre mondiale. Pour le peuple soviétique, il est un exemple et il

l’honneur de dédier cette communication. Isaiah Berlin (1909- 1997) s’est penché sur les questions les plus diverses, où la littérature et l’histoire le dispu- taient à la philosophie ; mais son travail le plus important, et celui qui a eu le plus grand reten- tissement, a porté sur la théorie de la liberté. C’est donc sur ce sujet que j’ai l’intention de me concentrer. Mon attention se portera tout parti- culièrement sur la contribution la plus éminente de Berlin à ce débat – qui vient d’ailleurs de faire

L’anti-impérialisme allemand: l’action de la R.A.F ( Rote Armee Fraktion) A la fin des années 60, dans le contexte de la Guerre froide, le monde change, un esprit de contestation et d’émancipation vient d’éclore et se généralise sur toute la planète. Certains éléments d’extrême gauche se radicalisent suscitant la naissance de factions armées communistes dont le but est d’annihiler toute forme d’impérialisme américain. Ils se veulent l’avant-garde des pays communistes, et sont généralement armés

10 Les découvertes scientifiques et les mutations économiques. Le développement du capitalisme et les mutations sociales. Les doctrines sociales : syndicalisme et socialisme. Les missions et les explorations. Les rivalités coloniales : La conférence de Berlin et ses conséquences. Les résistances : formes, exemples, bilan. Les systèmes coloniaux (exemples français et britannique). L’impérialisme japonais. L’impérialisme européen en Asie (y compris l’impérialisme russe). L’impérialisme américain.

LA CONSTRUCTION EUROPÉENNE CHAPITRE INTRODUCTIF: LE CHEMINEMENT HISTORIQUE DE L’IDEE D’UNIFICATION EUROPEENNE Le mot «Europe» a fait son apparition, dans un sens géographique, cinq siècles avant notre ère. Hérodote, au Ve siècle avant J.-C., nous rappelle que les Grecs appelaient leur terre Europe (Histoires, VII, 185) du nom d’une héroïne mythologique, une Phénicienne enlevée par Zeus qui avait pris pour la séduire la forme d’un taureau. Aujourd’hui, l’Europe désigne un continent qui s’étend

commencé un control “informel” à travers de l’influence militaire et la domination économique. Le découpage du continent africain dans le 19ème siècle a été un des facteurs principaux qui ont fait l’origine de la Première Guerre Mondiale. La Conférence de Berlin de 1885, qui a réparti le territoire africain entre quelques nations européennes, a établi des nouvelles frontières aléatoires en donnant naissance à des Etats interethniques où cohabitent majorités et minorités n’ayant pas le même fondement

…………………………………………………………..07 Objectifs de l’UPM…………………………………………………………………...08 Carte des pays membres de l’UPM…………………………………………………..09 Deuxième Partie : Le contexte géopolitique de l’UPM La Méditerranée : vue des deux rives………………………………………………...12 Espace commun ou nouvelle frontière ?.......................................................................12 Le contexte de création de l’UPM …………………………………………………...14 UPM : Entre approbation et dissensions……………………………………………...15 3-1 La réaction de l’Espagne et l’Allemagne

quelle furent les modalités de gestion de cette puissance ? Elles furent et restent marquées par la complexité. Alternant entre la tentation de l’Isolationnisme et de l’intervention, entre l’action multilatérale et unilatérale. Au-delà des aléas historiques, une constante caractérise cependant cette politique de puissance : un idéalisme qui donne aux États-Unis une responsabilité morale vis-à-vis du reste du monde et la conviction que son modèle est le meilleur et doit être transmis à tous les peuples

faciles à manipuler, comme le montrent la thématique de l’« ivoirité » et la propagande des acteurs de la crise en Côte d’Ivoire. La nécessité, disent les philosophes, est l’ensemble des accidents. Ainsi, il existe une continuité politique et historique entre les guerres et les coups d’Etat depuis une quinzaine d’années. En réalité, de Monrovia à Bissau, de Freetown à Nouakchott, de Dakar à Niamey, de la Casamance à Abidjan, il ne s’agit que d’un seul et même vaste phénomène. En Afrique (notamment