Le Contrat Social Philosophie

de notre liberté dans l’exercice de la liberté individuelle. En effet la liberté est certitude intérieure. Elle est une donnée claire, immédiate et contestable. La liberté du sujet est évidence, inné, a priori. Ainsi dans Les principes de la philosophie Descartes montre que « la liberté de notre volonté se connait sans preuve par la seule expérience que nous en avons » L’homme n’est dépendant que de son entendement et de sa volonté. La volonté est pleine et entière. Par sa volonté l’homme autonome

dans lequel il définit l'idée centrale de sa philosophie : - l'homme naît naturellement bon et heureux, c'est la société qui le corrompt et le rend malheureux. Son succès se poursuit avec la publication d'un autre discours « Discours sur l'origine et les fondements de l'inégalité parmi les hommes » en 1755. En 1762, il est condamné par le parlement de Paris pour la publication de « Émile ou De l'éducation » et le traité philosophique « Du contrat social ». Dans cette dernière œuvre, Jean-Jacques

l’origine de la société ? Pour répondre a ces questions ils font appel a l’ethnographie plus tard l’anthropologie et enfin la sociologie. A la suite de Guy Rocher (1968) cette dernière a étudier l’homme dans son milieu social et a saisir les relations entre comportement humain et milieu social. Pour essayer de répondre aux questions posées sus – dessus, nous allons faire une synthèse en passant au contexte d’émergence de la sociologie, ses précurseurs et ses fondateurs. Les réflexions

pourrait être et devrait être dans le futur). C'est donc un discours sur les origines, sur ce que la société est devenue de fait et qui exprime le regard porté sur le présent de la société dans laquelle il vivait. On retrouve ce schéma dans le Contrat Social. 
Beaucoup d'auteurs ont dit que dans sa structure même le discours est religieux. Le péché originaire qui est l'amour propre, il y a une chute du 1er état de nature très heureux vers un 2nd état de nature infernal où il y a une sorte de guerre

surnaturel transcendant qui fonde l’accord des hommes entre eux et à l’égard duquel ceux-ci doivent être soumis. La religion a donc d’emblée le statut d’un fondement de l’ordre social. Et c’est non seulement les institutions politiques qu’elle fonde, mais également les mœurs, les tabous, les interdits, les prescriptions sociales. Mais, que les premières sociétés aient été de l’ordre du sacré, ne peut expliquer le fait «  qu’il n’y a jamais eu de sociétés sans religion »(cf, Bergson, Les deux sources

œuvre philosophique et l’explication orale d’un extrait de celle-ci Étude d’œuvre-PH00 5 étude d’une œuvre philosophique et l’explication orale d’un extrait de celle-ci Les instructions officielles qui commandent l’enseignement de la philosophie dans les classes terminales des lycées prévoient que, parallèlement et si possible en liaison avec l’étude des notions de leur programme, les élèves doivent lire et se familiariser avec (une ou plusieurs) œuvre(s) philosophique(s). Deux œuvres doivent

Ouvrage : Philosophie de l’éducation, PUF, Que sais-je ?, édition, 1997. Chapitre : Autorité et éducation, pages 69 à 77. Présentation de l’auteur Olivier Reboul (1925-1992), spécialiste du philosophe Alain, était un philosophe français dont les domaines de compétences étaient la rhétorique et la philosophie de l’éducation. Il fut professeur à l’université de Tunis, à l’université de Montréal et à l’université des sciences humaines de Strasbourg. Présentation brève de l’ouvrage

conduite dans les rapports sociaux, règle générale, abstraite et obligatoire, dont la sanction est assurée par l'autorité publique. Si à priori la règle de droit suit la même finalité que les autres règles de vie en société, le domaine du droit et des autres règles d'organisation sociale, ne coïncide pas. Grâce au caractère de la règle de droit qui est possible de tracer une frontière entre les règles de droit et les autres règles de vie en société.   I La finalité sociale de la règle de droit  

 CONTRAT SOCIAL Prise de vue Malgré leur diversité, les doctrines du contrat social se proposent toutes de trouver dans l’individu le fondement de la société, de l’État, ou simplement de l’autorité politique. À cet égard, elles diffèrent radicalement, et même s’opposent aux doctrines qui voient dans la société ou dans l’État une réalité une et définie, distincte de ses parties, qu’il s’agisse de la doctrine juridique allemande de l’État ou de la pensée sociologique, dont l’apparition et le développement

surnaturel transcendant qui fonde l’accord des hommes entre eux et à l’égard duquel ceux-ci doivent être soumis. La religion a donc d’emblée le statut d’un fondement de l’ordre social. Et c’est non seulement les institutions politiques qu’elle fonde, mais également les mœurs, les tabous, les interdits, les prescriptions sociales. Mais, que les premières sociétés aient été de l’ordre du sacré, ne peut expliquer le fait «  qu’il n’y a jamais eu de sociétés sans religion »(cf, Bergson, Les deux sources