Le Convoi de la peur

première stratégie. Assembler les navires de commerce en convois protégés par un ou plusieurs navires de guerre fut une stratégie utilisée par la suite. Il y avait à l'époque un débat profond sur cette tactique car elle pourrait au contraire fournir un groupe de cibles faciles. Grâce au développement des systèmes sonar actifs et passifs[2], couplés avec l'efficacité toujours plus grande des armes anti-sous-marines, la technique du convoi permit de réduire les pertes dues aux U-Boote. Le lieutenant

sont arrêtés deux chariots. Il s’agit d’un convoi d’une douzaine de filles de mauvaise vie, condamnées à s’embarquer pour l’Amérique. L’une d’elles, Manon, l’intrigue par sa beauté et sa distinction. L’auteur interroge donc le chef des gardes à son sujet, mais n’obtient pas de réponse. À sa demande, un archer invite l’homme à questionner un jeune homme qui se tient à l’écart et qui ne peut être « que son frère ou son amant ». Ce dernier qui a suivi le convoi depuis Paris semble souffrant. Il refuse

L’histoire des arts m’a permis de découvrir un ancien film qui m’a fortement plu. Réalisé avec de grands acteurs français tels qu’Yves Montand ou encore Charles Vanel. Le salaire de la peur, reste un grand classique du cinéma. Le Salaire de la peur est un film franco-italien réalisé par Henri-Georges Clouzot sorti en salles en 1953. Il est adapté du roman du même nom qui a été écrit par Georges Arnaud. En voici un résumé : L’histoire se déroule au Guatemala en 1951. Après diverses péripéties, un

ils étaient vingt et cent 5. Ils se croyaient des hommes, n'étaient plus que des nombres 6. Depuis longtemps leurs dés avaient été jetés Ferrat veut montrer le nombre Transport dans des wagons à bestiaux Nuancer nus et maigres au départ C’est la peur, l’angoisse des déportés On peut y voir les tatouages. Les nazis déshumanisaient les déportés. i Dans la strophe 6, c’est une politique Programmée (ex : Wannsee en janv 42) La mort est au bout du voyage (ex : pour le père de Ferrat) 7. Dès que

que la religion durant la Révolution. On y voit la vie des royalistes sous cette période, la peur d’être pris, dénoncé. Les personnages de l’abbé et des sœurs sont représentatifs des membres du clergé insermenté sous la Terreur. Résumé : L’histoire se passe le lendemain de l’exécution du Louis XVI , un soir neigeux d’hiver. Une femme marche, dans les rues, suivie par un « inconnu ». Prenant peur, elle hâte le pas jusqu’à une boulangerie. Après une discussion mouvementée – qu’on ne comprendra

connaissance, il s’est enroulé ensuite dans ses draps et sa couverture dont la chaleur lui a donné l’envie de se rendormir. Mais le bruit de cinq charrettes transportant les forçats le réveille. Conduit par des gendarmes à cheval et des argousins à pieds, le convoi prend départ pour un voyage de vingt cinq jours de souffrances et de misères. Emu par ce spectacle désolant, le narrateur préfère la guillotine à la galère. Résumé du chapitre 15 Retour au cachot, le narrateur est remis dans son cachot. L’idée

la famille en haut, à l’Annexe. Le lundi soir et le mardi, ils passent la journée à ranger leurs effets. Ce n’est que le mercredi qu’Anne se rend vraiment compte de sa « nouvelle vie » et a très peur de ne jamais pouvoir sortie de la cachette de l’annexe secrète, elle avait surtout très peur qu’ils soient découvert et qu’ils soient fusillés. Leur seul contact avec le monde extérieur se fait par l’intermédiaire de Miep Gies, Bep Voskuijl, Victor Kugler et Johannes Kleiman. Ce sont eux

multiplient. Le travail y était épuisant, la nourriture insuffisante, les soins pratiquement inexistants, les mauvais traitements réguliers et la mortalité élevée. Tout visait à déshumaniser les victimes et à les conduire à une mort rapide. À l'arrivée des convois juifs, il y a donc une "sélection" : les femmes avec enfants, les personnes âgées ou celles qui n'ont pas la force suffisante selon les nazis pour travailler dans le camp, sont immédiatement gazées. Les autres Juifs sont conduits dans le camp. David

La famille vient d'arriver d'un convoi que l'on suppose juif. Ils ont déjà été sélectionnés : les femmes, enfants, bébés et vieillards sont inaptes au travail et envoyés aux chambres à gaz dès leur arrivée au camp. Ils y sont amenés par les gardes SS. Le cadavre qui flotte symbolise leur mort inévitable. Les corps sont marqués de la souffrance de la déportation : manque de nourriture, d'eau, d'hygiène, de repos, etc.  La scène principale a lieu dans un climat de peur, et d'horreur. Les couleurs chaudes

« parasites ». Des familles entières sont déportées, avec leurs enfants en fonction d’une éventuelle « rééducation ». L’extermination des juifs par les nazis commence en 1942, après la conférence de Waldsee qui décide de la « solution finale ». Les convois vers l’est sont de plus en plus nombreux, les rafles sont de plus en plus fréquentes. Même si l’opinion publique est à peu près ignorante des décisions prises à Waldsee, certaines personnes vouées à la déportation tentent de faire cacher leurs enfants