Le Convoi de la peur

rôle de renseignement, ce que les partisans acceptent, jusqu'au jour où le chef la convainc d'aller voir les Allemands une dernière fois pour leur soutirer des informations sur un étrange convoi de camion qui semble monter sur le front russe de la bataille de Stalingrad. Elle s'exécute et confirme l'objectif du convoi et sa cargaison que le groupe attaquera victorieusement, en sacrifiant toutefois l'un des leurs. La victoire russe à Stalingrad redonne de l'espoir aux combattants et leur démontre

sont arrêtés deux chariots. Il s’agit d’un convoi d’une douzaine de filles de mauvaise vie, condamnées à s’embarquer pour l’Amérique. L’une d’elles, Manon, l’intrigue par sa beauté et sa distinction. L’auteur interroge donc le chef des gardes à son sujet, mais n’obtient pas de réponse. À sa demande, un archer invite l’homme à questionner un jeune homme qui se tient à l’écart et qui ne peut être « que son frère ou son amant ». Ce dernier qui a suivi le convoi depuis Paris semble souffrant. Il refuse

soldat souvent ancien paysans habituer au privation et travail dur) B. Dégâts Guerre presque immobile et d'une violence inconnu jusque la combats caractériser par des condition de vie exécrable (boue rat hygiène ravitaillement faible peur permanente froid poux) La mort de masse -> perte humaine énorme (verdun 500000 morts) + les blesse 10M de morts sur 60M de de mobilise et des M de gueules cassé Mort de masse expliquer par stratégie d'usure et industrialisation des combats -->

la France pour récupérer l’Alsace et la Lorraine car il en a besoin.   1942, Hitler prend la tête des armées allemandes. La première mesure qu’il prend : Il ordonne d’inverser les convois ferroviaires à l’Est, en pleine bataille de Stalingrad… Donc les convois de ravitaillements, les renforts… passent après les convois de déportés.  Cela n’a aucun sens sur le plan stratégique, ce n’est que de la folie criminelle qui va complètement contre Clausewitz. Mars 1945, dernier ordre d’Hitler alors que Berlin

La famille vient d'arriver d'un convoi que l'on suppose juif. Ils ont déjà été sélectionnés : les femmes, enfants, bébés et vieillards sont inaptes au travail et envoyés aux chambres à gaz dès leur arrivée au camp. Ils y sont amenés par les gardes SS. Le cadavre qui flotte symbolise leur mort inévitable. Les corps sont marqués de la souffrance de la déportation : manque de nourriture, d'eau, d'hygiène, de repos, etc.  La scène principale a lieu dans un climat de peur, et d'horreur. Les couleurs chaudes

voir le corps – Avertissements d’Orschwir, qui mène Brodeck jusqu’à sa porcherie – (allusion aux Fratergekeime, « les hommes qui m’ont fait devenir animal ») – les trois âges de la vie chez les porcs [= apologue]. VI 52-58 Brodeck sent monter la peur ; la vision tenace des porcs – le café de la mère Pitz – Brodeck s’interroge sur l’objectif du rapport – le fantôme de l’Anderer [= on comprend de mieux en mieux qu’il a été assassiné] – les saints i nissent en martyr. VII 59-65 Arrivée de l’Anderer

faire attraper par les Allemands. Elle a dû fuir Paris et est allée à Avignon, zone non occupée. Mais ils ont été déçus car la chasse aux juifs ne s’arrête jamais. Tous les jours, elle vit dans la peur qu’on voie qu’elle est juive. Elle a appris à se taire, à se méfier de tout le monde, à cacher sa peur et à vivre avec le sentiment du danger. Un jour elle apprend que sa grand-mère essaie d’obtenir des papiers pour être non-juive, ainsi la mère de Marie et ses enfants ne seraient plus considérés comme

fours crématoires. II) Description de l’image Au premier plan se situe une famille de six personnes : une vieille dame, une femme qui porte son bébé, une jeune fille et deux jeunes garçons. Ils ont tous l’air épuisé et on observe sur leur visage la peur et la fatigue de la déportation. Au-dessus d’eux, on aperçoit un fantôme squelettique qui tient la vieille dame. Sur le côté gauche, on voit un bout de bras d’un SS qui tient un fusil pointé vers le groupe. Dans l’arrière-plan on constate que

qu'ayant oublié le réveil ce matin- j'étais atteint d'une sorte de joie, mélangée à de la peur qui donnait une sensation exquisément indescriptible mêlant l'adrénaline au stress . Mon rôle était d'actionner le mécanisme et de déclencher les explosifs sur le pont . D'après nos renseignements, deux trains allemands allaient se succéder, transportant armes et vivres, nous nous étions mis en tête de bloquer le convoi et peut-être de l'attaquer si nous le pouvions . Jacques et André étaient en train de fixer

déportés juifs est sélectionnée pour travailler dans les usines autour du camp ou dans le camp. Ils y rejoignent des non Juifs (opposants politiques, homosexuels, prisonniers russes, droits communs, etc.).les_inaptes_au_travail.gif À l'arrivée des convois juifs, il y a donc une "sélection". Les femmes avec enfants, les personnes âgées ou celles qui n'ont pas la force suffisante selon les nazis pour travailler dans le camp, sont immédiatement gazées. Les autres Juifs sont conduits dans le camp. Le camp