Le Corbeau Et Le Renard Conclusion

plaideurs » fable n°9 qui ne publiera que plus tard, Jean de la fontaine veut souligner que le juge profite du litige et en tire des avantages (ver 37/38) CONCLUSION Resumé du plan avec des mots simples Boileau a écrit le même style de fable Il a pu critiquer la justice sans se faire censurer AUTRES FABLES : - Le corbeau et le renard : ce n’est pas toujours le flatteur qu’il faut écouter - Le chêne et le roseau : on n’est pas obligé d’être le plus fort pour résister AUTRES POETES

bataille ou danse ! Belzébuth enragé racle ses violons ! Ô durs talons, jamais on n’use sa sandale ! Presque tous ont quitté la chemise de peau ; Le reste est peu gênant et se voit sans scandale. Sur les crânes, la neige applique un blanc chapeau : Le corbeau fait panache à ces têtes fêlées, Un morceau de chair tremble à leur maigre menton : On dirait, tournoyant dans les sombres mêlées, Des preux, raides, heurtant armures de carton. Hurrah ! la bise siffle au grand bal des squelettes ! Le gibet noir mugit

considéré comme un outil pédagogique à destination des enfants. Jean de La Fontaine, l’un des plus grand fabuliste de l’histoire de la littérature, écrit de très nombreuses fables dont les morale résonnent encor dans nos têtes. Exemple: -Le corbeau et le renard - La cigale et la fourmi III/ Œuvres littéraires à morale implicite A/ Si une morale est implicite cela signifie qu’elle n’est pas directement formuler dans le texte, on doit alors la retrouver et la comprendre par nous

dans l’objectif de Lafontaine et des classiques. Fable qui prend sa source chez Esope « Le Roseau et l’Olivier ». La Fontaine propose de nombreux textes avec deux protagonistes dont l’un fort et l’autre faible : « Le Loup et l’Agneau », « Le Corbeau et le Renard ». Cette fois, la fable fait part d’une certaine originalité puisqu’elle met en scène deux végétaux. Ceux-ci sont des allégories politiques et sociales. Cette fable n’a pas de morale explicite et joue avec une certaine connivence avec le lecteur

pour être tranquille pendant l’hiver, mais il y a aussi la fable où la fourmi est égoïste et malheureuse car elle travaille tout l’été pendant que la Cigale s’amuse et est joyeuse ; c’est une éloge de la vie au jour le jour. Même cas dans « Le Corbeau et le Renard » dans laquelle on comprend qu’il faut être flatteur et menteur ce qui n’est pas une leçon pour les enfants si on l’interprète au deuxième degré. La Fontaine utilise donc des moyens pour travestir la pensée politique et permettre à ceux qui

qu'elle procure. Il y a la l'ambigüité d'un discours qui commet un crime contre les puissants dans le même temps qu'il le fait pardonner grâce à une fable qui les amuse. Le fabuliste échappe de plus à la censure grâce au travestissement animal. Conclusion : Rappeler l'art du récit, léger et dynamique, au service de la morale cynique qui invite les hommes, pour réussir, à endosser le masque de l'hypocrisie est la principale originalité de cette Fable. Cet apologue brosse un tableau sombre de la société

celle du lecteur. Jean de la Fontaine utilise aussi cette méthode d’argumentation lorsqu’il dénonce également les comportements de chacun. L'exemple le plus flagrant est connu de tous ; il est tiré des Fables de La Fontaine et s'intitule « Le Corbeau et le Renard ». Cet apologue vise à critiquer le comportement des flatteurs. Ceci montre parfaitement que les différentes formes d'apologues laissent voir le monde tel qu'il est, c'est-à-dire « doré » en apparence, mais finalement rongé par la corruption

des lois, aussi peu contrôlée, nous ne pouvons l’accepter. Car ce serait alors nous mettre en danger, à la portée des dérives qu’elle peut engendrer. En impliquant qu’elle est une hypocrisie on peut donc me piéger, se jouer de nous comme le renard du corbeau dans la fable de La Fontaine et ainsi, cette institution si floue et si peu réglementée peut être retournée à des fins néfastes pour nous et est donc de notre point de vue inacceptable. C’est alors un jeu à qui est le plus habile orateur, à qui

texte, d'y pénétrer avec plus de finesse, d'y découvrir des territoires autrement inaccessibles, d'éclairer des zones autrement laissées dans la pénombre. Chaque histoire s'inscrit potentiellement dans une toile aux ramifications sans limites. En conclusion, la lecture en réseaux doit se penser (du côté de l'enseignant) et se laisser penser (par les élèves). C'est sa difficulté et son charme. ANNEXE 1 LISTE NON EXHAUSTIVE / DES EXEMPLES DE RÉSEAUX ¬ Les récits d’affabulation / d’illusions : Ne

Les FablesDe Jean de La Fontaine édition GoyeauTable des matièresTable des matières TABLE DES MATIERES3 A Monseigneur le Dauphin9 LIVRE I11 I, 1 La Cigale et la Fourmi12 I, 2 Le Corbeau et le Renard13 I, 3 La Grenouille qui veut se faire aussi grosse que le Bœuf14 I, 4 Les Deux Mulets15 I, 5 Le Loup et le Chien16 I, 6 La Génisse, la Chèvre, et la Brebis, en société avec le Lion17 I, 7 La Besace18 I, 8 L'Hirondelle et les petits Oiseaux19 I, 9 Le Rat de ville et le Rat des champs21