Le Cou de la girafe

finalisme est une manière de pensée extrêmement répandue, c’est l’idée selon laquelle l’explication d’un phénomène réside dans sa finalité ; c'est-à-dire « les hommes ont créé x en fonction de y ». Ex : l’idée que la girafe a un long cou pour attraper les feuilles, justifié qu’elle est un long cou par la faim, justifier le moyen par la fin - la vérité c’est qu’il y a eu une variation, une hérédité génétique. Ex : si les gens se marient, c’est qu’ils ont entre tel âge et tel âge, il y a une pression sociale

et Difusión, Centre de Recherche et de Publications de Langues, S.L. Le cou Le dos Le ventre Le coude Les fesses Le genou La jambe Le pied UNITÉ 5 On s’amuse ! FICHE D’ACTIVITÉ | FA 5.08 B Quartier libre 1 Reproduction autorisée © Les auteurs et Difusión, Centre de Recherche et de Publications de Langues, S.L. Place et colle les étiquettes au bon endroit Le nez L’oreille La bouche Le cou Le ventre Le genou Le pied Le coude Les yeux Le visage La tête La

années 1960. Il en résulte que ce que ce que l’on nomme le , loin d’être un animal unique, désigne pas moins de neuf espèces d’animaux serpentiformes. Les cinq principaux types sont tous des grands mammifères, ou des pinnipèdes (l’otarie géante à long cou / Megalotaria Longicollis Heuvelmansis, le cheval marin d’Olaus magnus / Halshippus Olai-Magni), ou des cétacés archaïques survivants (la super-loutre d’Egede / Hyperhydra Egedei, le multi-bosse de la Nouvelle-Angleterre / Plurigibossus Novae-Angliae

que la spécialisation, cela met tôt ou tard un terme au progrès d'une espèce. Et pourtant il faut bien qu'un animal se spécialise, sinon il est fichu. Prenez ce bon vieux chalicothérium, par exemple. Ce n'est ni un cheval, ni un cerf, ni une girafe. Il a le cou trop court pour lui servir de sentinelle, et pour atteindre les hautes feuilles des arbres quand les grands troupeaux lui ont fauché son herbe. Mais il l'a trop long pour se défendre efficacement avec ses bois. Il n'a pas de sabots, de sorte

989 La corde au cou 320 Tenir la corde 321 Tirer les vers du nez 319 Tomber des hallebardes / des cordes 567 cordon Tenir les cordons du poêle 322 Un cordon bleu 323 cornélien Un choix cornélien 328 corps À son corps défendant 329 corser Ça se corse ! 330 corvéable (Taillable et) corvéable à merci 331 cote Avoir la cote 332 côte À la côte 333 coton Filer un mauvais coton 334 cou La corde au cou 320 Prendre ses jambes à son cou 596 Avoir les

La partie visible de son corps (tête, haut du torse, bras) est presque nue ; pour tout vêtement apparent, une fine bande de tissu ceint sa poitrine. Elle porte également un haut collier, composé semble-t-il d’anneaux fins et étroits cachant son cou. Dans le prolongement de son bras gauche se trouve un flacon, qui semble posé sur la surface comme s’il s’agissait de la surface d’une table. La jeune femme pose l’index sur le flacon, comme pour le montrer nonchalamment, mais le geste n’est pas

groupes sans relations entre eux. Cas de convergence évolutive. iv. Les cornes des ruminants cavicornes De petites tailles, frontales et permanentes, elles sont constituées d’un axe osseux recouvert d’une peau velu : o Chez la girafe, chez les 2 sexes o Chez l’Okapi, que chez le mâle v. Les bois des cervidés Les bois des cervidés sont caducs => ils tombent chaque année après le rut, leur croissance est donc induite par les hormones. L’année suivante

plusieurs lieux des rivières, des lacs et des monts où il se trouve des grains d’or en grande quantité. Il y pousse beaucoup de gingembre et de cannelle. Et en cette province le corail sert de pécune3, et est extrê- mement cher, car ils4 le mettent au cou de leurs femmes et de leurs idoles pour les très grandes fêtes. Encore vous dis qu’en cette province, il y a pas mal de camelot5 et d’autres draps de soie, d’or et de futaine6. Il y vient maintes épices qu’on n’apporte pas chez nous, et qu’on n’y a

l'évolution alors que nous continuerons à changer au cours du temps. Pour en citer une dernière et non des moindres, il est commun de penser, car c'est plus facile à envisager, que les être vivants on évolué afin de pouvoir survivre : que les girafes ont un plus grand cou afin de pouvoir attraper les feuilles des arbres alors que la sélection naturelle consiste en la survie des créatures qui, en évoluant de façon aléatoire, se sont retrouvées aptes à subsister dans l'environnement.

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