Le Courant Liberale Classique

David Ricardo, Karl Marx … pour designer la discipline qui a pour l’objet l’étude des questions économiques. * L’expression « économie politique » qui marque le lien de la discipline économique avec les choix politique était critiquée par les libéraux car pour eux la politique est le choix des fins et l’économie est une science de moyens. Section 2 : l’objet de l’économie « L’économie c’est la science qui traite des aspects du comportement des hommes qui concernent la détention et les flux

possède la sienne. Les philosophes politiques recherchent la relation entre la justice et le pouvoir. Le pouvoir politique peut-il faire régner la justice ? On a souvent tendance à répondre que oui. Le pouvoir est-il une menace pour la justice ? Les libéraux répondent majoritairement par l’affirmative. → Le pouvoir et la liberté : certains penseurs considèrent le pouvoir comme étant l’antonyme de la liberté, on constate une opposition directe entre les deux notions. En effet, plus le pouvoir augmente

les tenants du libéralisme politique l’étendent à la sphère économique et se font ainsi les chantres du libéralisme économique. C’est là que le bât blesse. Je me propose ici d’attirer l’attention du public guinéen sur les dangers de l’option libérale. Le professeur Bernard Maris, économiste, écrivain et journaliste, désigné « Meilleur économiste 1995 » par l’hebdomadaire Le Nouvel Economiste, professeur à Paris-VIII et membre du conseil général de la Banque de France, va nous servir de guide(1)

économie on qualifie de rare tout bien qui répond simultanément à deux questions. Il doit à la fois répondre à un besoin pour être demandé et ne pas être donner à confusion par la nature afin qu’une offre se manifeste. De la conception étroite des classiques limités aux richesses matériels la sphère de l’économie s’étend progressivement à tout ce qui satisfait un besoin. L’utilité se reconnait au fait que les biens rares sont tous ceux qui s’échange contre de la monnaie ou tout bien de même nature.

LES GRANDS COURANTS DE LA PENSEE ECONOMIQUE LES GRANDS COURANTS DE LA PENSEE ECONOMIQUE Le mot «économie», qui vient de deux mots grecs – oikos («maison») et nomos («règles») –, définissait, dans le monde hellénique et hellénistique, des normes d'action dans l'administration du patrimoine privé et de celui de la cité. Dans son acception actuelle, ce mot désigne deux réalités distinctes: en premier lieu, l'ensemble des activités généralement regroupées sous ce terme; en second lieu, la science

l’individualisme méthodologique considère que les faits sociaux sont la résultante non voulu des comportements des individus. Le fait social conditionne la décision individuelle. 2/ les grands courants de la pensée économique Les véritables analyses théoriques se développent à partir du 18ème siècle. C’est l’économie libérale qui structure le premier des fondements théorique, ils sont contemporains de la révolution industriel et observent une économie en pleine transformation. Les innovations sont nombreuses

POLÉMIQUE ENTRE KEYNES ET LES CLASSIQUES La théorie de l'emploi de Keynes est construite sur la base d'une critique de la théorie classique. Dans cette critique, Keynes argue que les épargnants et les investisseurs ont des stratégies incompatibles qui ne peuvent pas assurer un équilibre sur le marché monétaire, que les prix et les salaires tendent à être rigides d'où l'impossibilité d'un équilibre sur les marchés des produits et du travail, et que des périodes de chômage grave se sont produites

politique recherchait un idéal, mais depuis la rupture, elle se contente d'examiner des faits. Cette thèse de Strauss n'est pas exempte de critiques, et Strauss la relativise. Donc 2 parties dans le cours: 1. Le socle de la philosophie politique classique – 2. Les incertitudes de la philosophie politique moderne. INTRODUCTION GENERALE Qu'est ce que la philosophie? Approche étymologique: philosophie vient du grec philos-ami- et sophia-la sagesse. La philosophie c'est donc l'amie de la sagesse

CHAPITRE INTRODUCTIF L'objectif de ce cours est : Montrer la diversité des différents courants de pensées Savoir distinguer les classiques des néo-classiques, des marxistes et des keynésiens Savoir caractériser les modes de fonctionnement du système économique : le libéralisme économique et l'économie planifiée Présenter les méthodes d'analyse et savoir distinguer les analyses macro-économiques des analyses micro-économiques Présenter les différents secteurs institutionnels

économiques "alternatives" Introduction Il s'agit de dresser un tableau (non exhaustif) des théories économiques qui ne s'inscrivent pas (ou pas complètement) dans le courant de pensée libéral, et qui, d'une manière ou d'une autre, rompent avec les postulats, les hypothèses, les méthodes et/ou les résultats des théories classiques, néoclassiques ou monétaristes. Objectif : analyser ces points de rupture, présenter les principaux résultats ou implications de ces théories, et en montrer l'actualité