Le Courant Monétariste

dépense totale de la période de référence (ou cœfficient budgétaire) Exemple de construction d’un indice synthétique Supposons que la consommation soit réduite à 3 produits pour, œufs et beurre. La période de base sera l’année 2002, la période courante l’année 2006. Le calcul de l’indice synthétique s’effectue en 3 étapes. 1°) le choix d’un « panier de biens ». Soit ½ pain, 1 dizaine d’œufs et 250 groupes de beurre. 2°) Calcul des coefficients budgétaires : produit quantité Prix 2002

l’économie où, selon la terminologie de Thomas Kuhn, les économistes adoptèrent un nouveau “paradigme” pour guider leurs travaux. Nous discuterons dans notre dernière partie la pertinence de ce concept pour la macroéconomie notamment. grâce au courant de la synthèse des années cinquante et soixante s’appuyant sur le modèle IS-LM et la relation de Philipps. Les turbulences économiques des années 70 infligèrent une grande leçon d’humilité aux économistes, de moins en moins distingués, dont les

publique, c’est un prélèvement définitif généralement monétaire, et sert donc à financer le budget d’un état. Cependant certaines crises économiques, notamment celle en 1970, on remit en cause l’élargissement des fonctions de l’impôt. Les nombreux courants libéraux en ont profité pour soulever la question sur les points négatifs que peut engendrer une extension de son domaine d’action. Pour eux, l’impôt devrait ce contenté uniquement d’alimenter le budget de l’état, qui devrait d’ailleurs réduire ses

en question A. - Croissance, emploi et inflation B. - La mesure de la croissance C. - Croissance et environnement Paragraphe III. - L'équilibre extérieur I. - L'équilibre des marchés A. - La balance des paiements 1 - La balance des paiements courants a - La balance commerciale b - Les revenus et transferts 2 - La balance des capitaux 3 - La balance des paiements et les réserves de change B. - La détermination du taux de change C. - Les mesures administratives II. - Les contraintes A. - Libre

objet de satisfaire des besoins humains illimités avec des biens limités ou rares. La science économique a pour objet l’étude des systèmes de ressources, de production et d’allocation qui vont répondre aux besoins des individus. II/ LES PRINCIPAUX COURANTS DE LA PENSEE ECONOMIQUE Il y a 3 grandes familles de pensée : Les classiques : 17 ème – 18 ème  siècles: Adam Smith Les néo-classiques Les libéraux contemporains Adam Smith (1723-1790) est le père fondateur de l’économie classique, son ouvrage

Phillips en France depuis 1978 Source : E. Heyer et X. Timbeau, « Le chômage structurel à 5 % en France ? », Revue de l’OFCE, 2001. © 2008 Pearson Education France – Analyse économique et historique des sociétés contemporaines 6.1 La révolution monétariste sonne le glas des politiques conjoncturelles 6.1.1 Un changement de contexte économique et intellectuel Politiques de relance et ouverture internationale L’ouverture croissante des économies semble porter un coup dur aux politiques keynésiennes

inefficaces pour la reprise de l’économie après le premier choc pétrolier. En réaction à cela un renouveau libéral voit le jour avec deux économistes fondamentaux, Friedrich von HAYEK de l’école autrichienne et Milton FRIEDMAN, chef de file des monétaristes. Ainsi, les années 70 permettent à HAYEK de connaître une certaine consécration, une revanche par rapport à 1936 où sa pensée fut éclipsée par celle de KEYNES. Ces deux économistes libéraux ainsi que beaucoup d’autres par la suite prônent la non-intervention

déplacer son cadre d'analyse (?) O. Brossard : prof à l'IEP Toulouse La théorie de la déflation par la dette de Fisher : intérêts et limites pour penser les grandes crises à origine financière 1933 : article de Fisher: il n'est plus tout à fait monétariste et devient presque keynésien, minskien. Article étonnant (dispo sur Internet) qui ne contient quasi aucun symbole mathématiques et affirmations sur les causes de la grande dépression, assez peu argumentées. 2 moments : point de départ : une

l'objectif B ». Chapitre 3 : Dans ce chapitre, Fourçans nous apprend l'importance des anciens dans l'économie. En effet ce sont eux qui ont créer les concepts et méthodes de l'analyse économique. Ici, Fourçans nous familiarise avec les principaux courants fondateurs de la pensée économique dits « classique » et « néoclassique ». L'économie est née avec la pensée philosophique individualiste et libérale du XVIIIe siècle, mais elle ne prend son véritable essor que lors de la prise de conscience de

inefficaces pour la reprise de l’économie après le premier choc pétrolier. En réaction à cela un renouveau libéral voit le jour avec deux économistes fondamentaux, Friedrich von HAYEK de l’école autrichienne et Milton FRIEDMAN, chef de file des monétaristes. Ainsi, les années 70 permettent à HAYEK de connaître une certaine consécration, une revanche par rapport à 1936 où sa pensée fut éclipsée par celle de KEYNES. Ces deux économistes libéraux ainsi que beaucoup d’autres par la suite prônent la