Le Courant Monétariste

de flux entre agents économiques qu’ils soient individus, groupes, sociétés ou autres organismes. L’économie est une science : son objet est de dégager des lois économiques ; exemples de lois économiques (voir polycopiés ci-après « les grands courants de la pensée économique) : La théorie de la main invisible (A Smith) : l’individu, en poursuivant ses buts égoistes, personnels, réalise l’optimum collectif. La loi des débouchés (JB Say) : l’offre crée sa propre demande : les producteurs (par

économie que dans les théories modernes de détermination du revenu. Le résultat peut être appelé l'économie néo-classique et est accepté dans ses grandes lignes par tous, excepté 5 % d'auteurs à l'extrême gauche et à l'extrême droite »4. Malgré tout le courant néoclassique reste traversé par une tension entre ceux qui sont davantage keynésiens ou proches du social-libéralisme et ceux qui sont plus proches du libéralisme classique dont l'influence grandira dans les années soixante-dix avec notamment : les

chère, et les entreprises feront la même chose pour financer leur achats de bien d’équipement , dans les deux cas cela contribue à augmenter la demande donc la production et l’emploi. b) les monétaristes : La politique monétaire ne peut avoir qu’un objectif, c’est celui de la stabilité des prix, pour ce courant l’inflation à des causes uniquement monétaire, doit donc seulement l’inviter strictement la création monétaire pour qu’elle ne génère pas l’installation, et depuis les années 80 les banques

positif : croissance économique vigoureuse entre 1991 et 1995 avec une croissance économique moyenne de 8,5% (Taux d’investissement : 40% du PIB, taux d’épargne privé : 34% du PIB, finances publiques saines). Négatif : déficit du compte extérieur courant représentant 6% à 9% du PIB durant la décennie 1990. Déficit financé par les apports en capitaux externes à court terme. Accumulation de la dette extérieure pour financer le déficit. Mais ce déséquilibre est soutenable grâce aux exportations

processus évolutive de l´économie moderne. Réfléchissant sur le mercantilisme, la physiocratie, le classicisme et le marxisme, ayant marqué le monde du 16e et 18e siècles, ainsi que sur les tendances économiques contemporaines, en passant par les courants , néo-classiques et néolibéraux du 19e et 20e siècle, le présent travail se veut être une ébauche rétrospective sur les 500 ans d´histoire de la pensée économique dont les différentes approches tant empiriques que théoriques portées sur les

le processus évolutive de l´économie moderne. Réfléchissant sur le mercantilisme, la physiocratie, le classicisme et le marxisme, ayant marqué le monde du 16 et 18 siècles, ainsi que sur les tendances économiques contemporaines, en passant par les courants , néo-classiques et néolibéraux du 19e et 20e siècle, le présent travail se veut être une ébauche rétrospective sur les 500 ans d´histoire de la pensée économique dont les différentes approches tant empiriques que théoriques portées sur les questions

transactions (liées à la structure du système financier, aux dépenses courantes, à la fréquence, la régularité des recettes et leur coordination avec les paiements à effectuer) et les encaisses de précaution (liées au besoin de disposer d’encaisses de transactions supplémentaires pour faire face à des dépenses imprévues). La demande de monnaie pour les transactions (courantes ou imprévues) est fonction essentiellement du revenu courant des agents économiques. • Le motif de spéculation Pour KEYNES, les

Référentiel : • Création monétaire et politiques monétaires • Formes et fonctions de la monnaie • Processus de création monétaire • La masse monétaire et ses contreparties • Les grandes théories de la monnaie (quantitative, keynésienne, monétariste) • Les outils de la politique monétaire et le rôle d’une BC « La monnaie est dans l’Etat ce que le sang est dans le corps humain ; sans l’un on ne saurait vivre, sans l’autre on ne saurait agir » John Law « L’importance de la monnaie

On mobilise le concept de loi psychologique fondamentale. C’est-à-dire, lorsque le revenu s’accroit, la consommation s’accroit mais dans une moindre mesure. KEYNES se place dans le court terme et s’intéresse aux revenus courants, c’est le point de départ de la consommation courante. La part du revenu supplémentaire consommé va dépendre de la propension marginale à consommer (c). D’après KEYNES, plus le revenu d’origine est élevé, moins les agents vont dépenser cette unité de revenu supplémentaire

politique de relance s’ils souhaitent lutter contre le chômage, mais dans ce cas, ils doivent accepter une forte inflation, ou soit, choisir une politique de lutte contre l’inflation ayant pour conséquences une augmentation du chômage. Pour les monétaristes tel que Friedman, l’inflation doit être combattu car elle ne permet pas un bon fonctionnement de l’économie. Selon eux, la lutte contre l’inflation doit se trouver au cœur des politiques économiques. Cet argument se base sur l’analyse des mercantilistes