Le Cumul Des Inégalités

une augmentation exponentielle de la population urbaine. Il ne semble pas y avoir ce seuil à l’augmentation. La ville génère de plus en plus d’activités, de transports, de problèmes de santé, de pollution… (la question écologie révèle le cumul des inégalités). On est dans une logique de complexité. Cet espace devient essentiel dans notre perception de notre mode de vie et devient un enjeu majeur dans l’organisation des rapports humains. Ce lieu devient déterminant : on voit bien que s’interroger

taux brut de scolarisation, tous niveaux d’études confondus (pour le dernier tiers) - le niveau de vie, mesuré par le PIB réel corrigé par habitant. Cet indicateur n’est pas parfait (variables redondantes et insuffisantes, mesure difficile des inégalités…), mais il a le mérite d’exister et il est devenu l’un des indicateurs les plus utilisés pour la mesure du niveau de développement. B - Les indicateurs de pauvreté humaine (IPH) Les indicateurs de pauvreté humaine s’intéressent à la proportion

la retraite par répartition, c’est-à-dire que les personnes versent de génération en génération, en effet, les retraites d’aujourd’hui sont payées par les employés actuels. Par exemple, avec ce principe de retraite, quand une personne travail, elle cumule un certain nombre de points qu’elle revend le jour de sa retraite afin de se faire financer. Enfin, le second principe qui organise la retraite se fait par capitalisation, ce qui consiste à mettre de l’argent de côté tout au long de sa vie active

une échelle temporaire de 30ans, on voit que les inégalités d’accès au logement ont explosé principalement depuis les années 90 avec l’explosion du marché immobilier. On voit qu’en 79, le poids du logement était pratiquement identique quel que soit le niveau de vie (12%). Il est resté stable pour les ménages les plus aisés mais a fortement augmenté (doublé) pour les plus pauvres. 2. Les différents comportements face à l’alimentation Les inégalités sont moins importantes que pour le logement. Les

instauré des inégalités profondes dont on retrouve encore les traces aujourd’hui. Les inégalités actuelles ne sont que le reflet de celles créées durant la colonisation. L’Amérique Latine est la région du monde où les inégalités sont les plus aigües. Selon l’OCDE (Organisation de Coopération et de Développement Economiques) les 10% les plus riches détiennent 40% des richesses, les 10% les plus pauvres à peine 1%. Les inégalités sont donc très fortes, et de plusieurs natures. • Inégalités géographiques

Tout d'abord, ce sont en général des femmes qui ne disposent que de faibles voire très faibles ressources. Au niveau professionnel, si l'on reste dans la globalité de cette problématique, ressort un faible niveau de qualification qui entraine le cumul d'emplois précaires, par exemple des Contrats à Durées Déterminés ou à temps partiels. Ces femmes sont le plus souvent isolées du fait d'un accident de la vie, d'un départ à la retraite ou encore de la barrière de la langue pour les femmes étrangères

NOUVELLES TECHNOLOGIES ET NOUVELLES INEGALITES !   Avec l’arrivée du téléphone mobile, depuis trois ans, les consommateurs français se familiarisent plus vite avec les nouvelles technologies. C’est ainsi que si dès juillet 2000, une personne sur deux possède un téléphone cellulaire, une sur 3 est équipée d’un ordinateur personnel et une sur 4 se connecte (au domicile ou au travail) à Internet… Ces équipements sont cependant très inégalement répartis selon les populations.   Il faut reconnaître

disciplines sont socialement marquées et le rôle auto-attribué des classes supérieures est de donner l’exemple. Des populations sont obligées de pratiquer tel ou tel sport par le pouvoir politique qui les domine, d’où l’exemple des colonies. Cette inégalité s’applique également au genre, car la place des femmes dans le sport est inférieure à celle des hommes. Le rapprochement certain entre sport et argent a donné lieu à des dérives sportives. La corruption par l’argent, comme l’illustre l’affaire

crise de la famille : désinstitutionalisation, recours à l’assistance familles monoparentales plus fragiles, perte des liens avec le père et sa parenté fréquente, liens de filiation plus complexes B ⇒ perte des liens avec le collectif de travail, B Le cumul des handicaps sociaux : formation disqualification et désaffiliation, .la solidarité insuffisante, faible capital culturel, faible organique ne peut plus jouer employabilité, conditions de vie précaires SDF et mal logés … INTEGRATION ET TRAVAIL 2.

société ? II l’exclusion s’explique aussi par … A La crise de la famille : désinstitutionalisation, famil le s m on op aren tales plu s fragi les , perte des liens avec le père et sa parenté f réq ue nte , liens de fili ati o n p lus co mple xes B Le cumul des handicaps sociaux : formation insuffisante, faible capital cultu re l, faible emplo yabi lité , conditions de vie précaires SDF et mal logés … I Le développement du travail atypique est un facteur important d’exclusion A du chômage, de la pré