Le Cumul Des Inégalités

............................................................................................................13 Une tendance à l’accroissement de la pauvreté et de l’exclusion sociale .......................................................13 Inégalités et pauvreté : hausse et concentration sur les publics les plus fragiles............................................ 16 Les groupes de populations particulièrement confrontés à la pauvreté et à l’exclusion sociale en France et en Europe ........

particulier. Au sens juridique, la loi considère comme discrimination punissable une distinction opérée selon des critères illégitimes ou illégaux. Dans une situation comparable à une autre, une personne est discriminée lorsqu’elle subit une inégalité de traitement fondée sur un critère prohibé par la loi, dans un domaine visé par la loi. Afin de mieux comprendre l’enjeu de la lutte contre les discriminations, il est nécessaire de distinguer, au préalable, les vocables et expressions de nature

facteurs. De quelle manière est ce qu’on insère ces facteurs dans les modèles théoriques.     comment ces déterminants vont jouer sur la répartition de la VA et quels sont ceux qui jouent le plus en fonction des périodes?     II A 3) Observe-t-on une inégalité croissante entre capital et travail en France?     (cf graphique PPT page 30)     4 phases:  1: de 1949 a 1973, on considère que e taux de marge est constant.  2: 1973-82: chute très importante du taux de marge suite au 1er choc pétrolier.  3: 1982-90:

financières du crédit et des dividendes qui sont écrasantes. En 2008, elles s’élevaient à 359 milliards d'euros soit 36,2 % de la valeur ajoutée des sociétés non financières contre 15,2 % seulement pour les cotisations sociales (151 milliards). 4. Inégalités hommes-femmes. Retraite au titre des droits directs femmes : 746 €, hommes: 1 550 €. Avec les pensions de réversion femmes : 1 020 €,hommes 1 636 € Deux raisons :- Des carrières plus courtes : hommes 42,25 ans de cotisation, femmes 29,75 ans.- Pour

La dynamique des inégalités 1 - Les inégalités économiques et sociales. Pour décrire l'évolution des inégalités, il faut prendre en compte deux choses. La première, c'est l'ampleur des inégalités : est-ce que l'écart entre le " haut " et le " bas " de la hiérarchie augmente ou diminue ? La seconde, c'est la nature des inégalités, c'est-à -dire ce sur quoi elles portent : les inégalités d'aujourd'hui sont-elles les mêmes qu'autrefois, ou bien de nouvelles inégalités apparaissent-elles ? A - La

deux constats : Conséquences directes : Une faible marge de manœuvre avec des dotations (indemnités) et des budgets faibles à cause de la présence d’une multitude d’intermédiaires, de frais de gestion élevés. La hausse des inégalités avec les régions pauvres ou peu peuplées qui ont des charges fixes très élevés mais peu de dotations. Des difficultés croissantes des régions françaises pour rivaliser avec celles des autres Etats Membres. On le remarque particulièrement

dont cet impôt est garant au sein de la société française. En effet, faire participer plus activement les plus riches en matière d’imposition ne peut que paraître indispensable de la part d’un Etat tant accès sur le social et la lutte contre les inégalités de toutes sortes comme la France. La capacité dont dispose l’impôt de faire se séparer de quelques « liquidités » ceux qui y sont soumis, ajoutée à sa capacité redistributive pour ainsi en faire participer les autres, promulgue l’ISF

une science capable d’analyser et d’expliquer ces changements dans toute leur complexité ? La tentative de réponse que Michel Bassand apporte à ces chantiers fondamentaux est d’ordre à la fois théorique et méthodologique. Elle s’articule autour du cumul de trois approches, à la fois distinctes et interdépendantes : une sociologie de la construction sociale et urbaine, une sociologie des acteurs et enfin, une sociologie en profondeur. Ces trois approches correspondent d’ailleurs aux différentes parties

soit 77, 6 % du PIB. Faire remarquer qu'un déficit public contraint les Etats à emprunter et les intérêts de la dette publique (=charge d'intérêt) alimente la dette elle-même = effet "boule de neige". L'endettement public (résultant des déficits cumulés) des principales économies s'accroît pour converger autour de 75 % du PIB (cf graphique). La dette publique ne doit pas dépasser 60 % du PIB - Solde budgétaire (recettes- dépenses de L'Etat central (ministères). les dépenses sont supérieures aux

aires de puissance ; ce qui facilite les échanges. Ex : l’Europe orientale - d’une stabilité politique, de services, d’infrastructures, d’un marché de consommation…Ex : l’Australie et la Nouvelle-Zélande. On remarquera que certains pays peuvent cumuler plusieurs de ces caractéristiques. On trouve dans cet ensemble quelques PID que l’on peut qualifier de « relais du centre ». Mais la plupart des pays concernés sont des PED qualifiés de « pays émergents » Les pays émergents Les pays émergents