Le Curé Et La Mort

au prêtre, et à faire se confesser avec lui le Septième. Alors que Grand-Mère Antoinette crie : «La prière du soir !», Jean Le Maigre et le Septième «s’évadent dans la nuit neigeuse», s’enferment dans les latrines pour lire «toute la bibliothèque du curé et écrire des poèmes». Le Septième lui faisant sa confession, Jean Le Maigre est scandalisé. Mais ils se souviennent d’une «petite bossue qu’ils avaient déshabillée», et qui est maintenant «une dame», à la ville. Chapitre III Héloïse, qui est sortie

roche au guillemots » où ils se posent par centaines. Un jour, l'un des chasseurs nommé M. d'Arnelles a un problème, il est troublé pendant plusieurs journées. Mais lors d'un repas avec ces camarades, il avoue qu'il doit partir car son gendre est mort. Ses amis le convaincs de rester, et finalement il resta 2 jours de plus. Personnages : Les personnages présents dans la nouvelle sont M. d'Arnelles et ses camarades chasseurs. Le réalisme : C'est réaliste car la chasse est une activité

le Nord" tiré d'une œuvre appelée "Journal d'un curé de campagne au XVIIe siècle". Il s'agit d'un extrait qui nous parle de la paroisse de Rumegies et de ce qui c'est passé durant cette crise de 1693. L'auteur de ce document est Alexandre Dubois, curé de Rumegies de 1686 à sa mort. Sans doute originaire de Rumegies où sa famille était installée, Alexandre Dubois avait été titulaire de la chapellenie de Notre Dame de 1684 à 1686 avant de devenir curé de la paroisse à Rumegies, village intégré à la

petite salle de l’auberge) « depuis que je suis revenu de la guerre » « le soir de l’Ereigniës » « ce sinistre soir » Le village L’auberge Scierie Möberschwein la grande salle la petite salle « Brodeck » « les autres » « l’Anderer » le Maire le curé Peiper tous les hommes Jenkins (=policiers) la veuve Bernarht Erweckens Bruderschaft (=la confrérie de l’Eveil) maître Knopf Schloss Hans Orschwir Diodème Fédorine Poupchette Emélia Début énigmatique. Brodeck déclare qu’il n’y est pour rien

en lui lançant des pierres. L’intervention du curé pour le sauver lui permet de survivre quelques instants et d’apprendre avec rage que la femme avec qui il a fait l’amour n’est pas Filomena, déjà morte, mais sa sœur Immacolata, restée vieille fille. Chapitre II : La malédiction de Rocco De ce viol, nait la lignée des Scorta puisqu’Immacolata donne naissance à Rocco, le fils de Luciano. À la mort de la mère, l’enfant est protégé par le curé Don Giorgio de la barbarie des villageois qui souhaitent

études à l'école publique de sa paroisse où le curé le trouva doué, avant de les poursuivre au séminaire de Reims. Initié au sacerdoce en 1688, très estimé de ses supérieurs, il fut nommé le 7 janvier 1689 curé d'Étrépigny et de Balaives dans ses Ardennes natales, où il restera jusqu'à sa mort. Il avait pour amis, deux curés, MM Voiri (curé de Guignicourt) et Delavaux (ou Laveaux - curé de Boulzicourt) qui inhumèrent son corps dans le jardin de la cure sans inscrire d'acte mortuaire sur les registres

croissante à l'alcoolisme, et bien des années après, à une cure de sevrage. Le 10 Octobre 2002,Hervé Chabalier boit son dernier verre d'alcool dans le train qui le conduit à «La Métairie», clinique Suisse réputée pour le sevrage des dépendances alcooliques ou toxicomanies, pour une période de cinq semaines. Ce sera «Ma mort ou ma renaissance»,«J'ai besoin d'aide. Je le sens»[1]. Arrivé à la clinique:«Déterminé je le suis,septique aussi»[2]. La cure se compose de réunions dans lesquelles chacun peut dire

pertinents et des nuances. | Jeanne a perdu la médaille parce que, la veille du décès de son grand-père, celui-ci lui a demandé d’aller porter la médaille au curé afin qu’elle serve pour payer sa célébration religieuse et son enterrement. Cependant, elle a retrouvé ce précieux souvenir familial, car Thierry De Villebrand l'a achetée au curé pour la lui remettre. Il veut ainsi réparer les torts causés par son ancêtre. (p.27 et p.33)***Employer d’autres mots que ceux du roman; donner des explications

extrait du journal d’un curé de campagne, écrit sous le règne de Louis XIV. Il s’agit d’un texte privé dans lequel, à travers son témoignage, un curé veut laisser une trace de ce qui est en train de se passer. C’est également une source de première main ; ce texte est le document de l’époque qui a été édité puis réédité par Henri Platelle en 1965 et en 1997. Le journal d’un curé de campagne au XVIIème siècle a été écrit par Alexandre Dubois (1655-1739) lorsqu’il était curé dans le village de Rumegies

Le Soleil de Scorta Questions : I. Les pierres chaudes du destin (p. 11 à 34) Jour 1 Le paysage que traverse le personnage donne une impression de mort, sans vie, et désertique. Le nom du village vers lequel le personnage se dirige se nomme Montepuccio. L’action se déroule en 1875. Le cavalier s’appelle Luciano Mascalzone et a une quarantaine d’années mais il ressemble à un veillard à cause de ses joues creuses (page15). Le nom du premier personnage qu’il rencontre s’appelle Don Giorgio mais