Le Dedans Du Désespoir

les blessures que lui ont causé un accident. On peut y voir la peintre avec la colonne vertébrale brisée, un corset pour la soutenir et le corps criblé de clous. La seconde une œuvre d' Arnulf Rainer, est tirée de sa série Face Farces (1970-1975), dedans Rainer utilise des techniques mixtes sur des photographies de lui, ici de l'encre de chine est utilisée pour accentuer ses expressions. Et enfin un tableau d'Egon Schiele (1905), un autoportrait fait de crayon de gouache et d'aquarelle ou on peut

cheveux avaient-ils été enfermés dans ce meuble ? Quelle aventure, quel drame cachait ce souvenir ? Qui les avait coupés ? un amant, un jour d'adieu ? un mari, un jour de vengeance ? ou bien celle qui les avait portés sur son front, un jour de désespoir ? Etait-ce à l'heure d'entrer au cloître qu'on avait jeté là cette fortune d'amour, comme un gage laissé au monde des vivants ? Etait-ce à l'heure de la clouer dans la tombe, la jeune et belle morte, que celui qui l'adorait avait gardé la parure

droite de ce dernier tient un cadavre, il a l’air accablé. Ce radeau vient d’essuyer une tempête, on voit une grande vague et le vent qui s’engouffre dedans. Le vent pousse des nuages extrêmement sombres. L’impression générale qui se dégage est un drame intense qui est en train de se jouer. On est ici au maximum de cette tension entre espoir et désespoir. B) La signification : C’est une scène de naufrage qui s’appuie sur un fait divers aux alentours de 1817. 1816-1817 = retour de la monarchie

dans cette œuvre est sans contredit le regret. Le vieux traversier raconte une erreur de jeunesse qu’il semble regretter. « Dans mon coffre, chez nous, j’en ai trois ou quatre, des vieux. Je les étends sur mon lit, des fois, puis je me mets la face dedans. » (p. 68) Des personnages bien caractérisés Dans Le traversier, Félix Leclerc décrit avec facilité l’évolution de deux personnages. On retrouve Nicolas, le personnage central. Il avait alors entre quinze et vingt ans. Il abandonne l’école pour

ces cheveux avaient-ils été enfermés dans ce meuble ? Quelle aventure, quel drame cachait ce souvenir ? Qui les avait coupés ? un amant, un jour d'adieu ? un mari, un jour de vengeance ? Ou bien celle qui les avait portés sur son front, un jour de désespoir ? Etait-ce à l'heure d'entrer au cloître qu'on avait jeté là cette fortune d'amour, comme un gage laissé au monde des vivants ? Etait-ce à l'heure de la clouer dans la tombe, la jeune et belle morte, que celui qui l'adorait avait gardé la parure

les sourcils. Perturbée mais aussi inquiète par ces inexplicables changements d’aspects, Floriane décida de ne rien dire à Thomas par peur que celui-ci ne la trouva folle mais elle voulut cherchée l’identité de l’auteur du tableau. Mais au grand désespoir de celle-ci ses recherches n’aboutir point. Aucun renseignement, rien. L’auteur demeurait inconnu. Inquiétant, mystérieux, inexplicable, inhabituelle, ces mots tournaient dans la tête de Floriane, elle avait peur, très peur. Une nuit de Janvier

jambes. C'était là tout le mystère. Mes gaillards buvaient au raisin lui-même. Puis, lorsqu'ils étaient saouls à ne plus bouger, ils dormaient sur place. Quant à Tombouctou, son amour de la vigne passait toute croyance et toute mesure. Il vivait là-dedans à la façon des grives, qu'il haïssait d'ailleurs, haine de rival jaloux. Il répétait sans cesse: «Les gives mangé tout le raisin, capules!» Un soir on vint me chercher. On apercevait par la plaine quelque chose arrivant vers nous. Je n'avais point

leurs capacité au milieu de ce monde qui sombrait dans la haine ; de reconnaitre ceux qui comme eux sont resté gardiens d’une partielle de l’humanité il y avait chez ces adolescents là une beauté , un appétit de la vie alors, qu’on est au fond du désespoir qui font leur vraie résistence à eux « Ce n'est pas toujours de la lâcheté. Pour certains, vivre demande déjà beaucoup de courage. » Une partie de votre famille s’est engagée dans la résistance. Quelle est la part de votre histoire familiale dans

peu d'imprudence, ou sur trop d'enjouement, Tout ce qu'il sait de vous et de votre innocence N'ose le révolter contre cette apparence, Et souffre qu'elle expose à cent fausses clartés Votre humeur sociable et vos civilités. Sa raison au dedans vous fait en vain justice, Sa raison au dehors respecte son caprice ; La peur de sembler dupe aux yeux de quelques fous Etouffe cette voix qui parle trop pour vous. La part qu'il prend sur lui de votre renommée Forme un sombre dépit de vous

promets ? Jure-moi que tu viendras ? — C’est promis... dit Martine. Bebert la prit dans ses bras de fer, la descendit du camion et la deposa sous un arbre, face a la cabane. — Ne retourne pas a la cabane, lui recommanda-t-il, c’est un cauchemar la-dedans... La prochaine fois, je t’emmenerai d’ici. Tu verras, je gagne bien ma vie, je te rendrai heureuse... Ne retourne pas a la cabane. Finis de dormir et rentre chez toi, a Paris. Je te donne rendez-vous ici, dans huit jours... Fais de moi ce que tu