Le Desir Nous Eloigne T Il De La Realite

En quoi l'évocation d'un monde éloigné dans le temps et dans l'espace permet-elle de faire réfléchir le lecteur sur la réalité qui l'entoure? Dès le XVIe siècle, un nouveau mouvement littéraire nait, l’Humanisme. Ce nouveau mouvement apparait grâce à des auteurs qui se questionnent sur de nouveaux mondes, de nouvelles cultures. Cette nouvelle réflexion est, entre autre, apportée par Christophe Colomb qui, durant un de ces voyages, découvre une civilisation différente en tout point de la sienne

cet extrait des Pensées, affirme tout le contraire. Pour lui, le pire vice de l’homme est l’ennui ; par conséquent son but ultime est d’éviter le repos, donc le bonheur. Ce qu’il cherche réellement n’est donc pas la réalisation de ses désirs mais le désir lui-même, qui lui garantit de l’agitation ; ce que l’auteur appelle le Divertissement. Sa thèse vient à la fin, comme une conclusion, mais pour en arriver à celle-ci, il procède par plusieurs étapes. Il nous explique, tout d’abord les causes et les

triste destinée d’un pigeon qui, puni pour avoir quitté ses proches par ambition politique et avoir cherché le bonheur ailleurs qu’auprès d’eux, finit par trouver la mort. LECTURE En quoi cette fable allégorique décrivant les dérives du désir et de l’ambition en matière politique revêt-elle, par le biais du contre-exemple qu’elle nous présente et de l’ironie auctoriale, une dimension didactique par son message évangélique implicite appelant l’homme à chercher et trouver le bonheur en dehors

allons dans un premier temps étudier l’ivresse de l’art, mais nous allons ensuite voir que cette ivresse n’est qu’un voile, puis nous allons enfin montrer que ce voile nous aide à vivre. Sous toutes ses formes, l’art nous transporte et nous éloigne de ce que nous ne voulons ni voir ni entendre. Nous allons tout d’abord expliquer ce qu’est l’ivresse de l’art puis en quoi cette ivresse rythme notre quotidien. L’art nous suit au quotidien, nous divertit et nous enivre. Il apporte à l’être humain

l’Amour ? Qu’est-ce que = question conceptuelle Amour passionnel 1 Amour destructeur Amour platonique 2 Amour fusionnel 3 Bonheur 1 2 3 Souffrance 1 2 3 Deux 123 Sentiments 123 Beauté physique 1 , 3 / intellectuelle 2 Sensations 123 Désir 1 ; 3 Passion 1 Qualités , defauts 1 2 3 Ephémère 1 / Eternelle 2 , 3 Âme sœur 3 Déception 1 2 3 Coup de foudre 1 2 3 Plaisir 1 2 3 Malheur 1 2 3 Haine 123 S’améliorer 123 Déception 123 Devenir meilleur 123 Progresser 123

disposer les choses en vue d’une certaine finalité. Donner des ordres ( but : mettre en ordre (ex : un officier ordonne à un régiment afin d’y mettre de l’ordre).   Pour Aristote il y a quatre grandes espèces de causes (dans tous les niveaux de la réalité) : 1-    Cause efficiente (ex : sculpteur pour une statue) 2-    Cause formelle (idée, projet. Ex : statue de Jeanne d’Arc, de Louis XIV, etc…) 3-    Cause matérielle (existence d’une certaine matière. Ex : le marbre pour la sculpture)

aux difficultés que lui impose la nature dans son état de nature, l’homme doit s’adapter : il lui faut sans cesse et de manière constante répondre à ces difficultés en trouvant un moyen de les contourner. « Le désir inné du bien-être et l'impossibilité de contenter pleinement ce désir lui font rechercher sans cesse de nouveaux moyens d'y contribuer. » (Jean-Jacques Rousseau, dans l’Emile). Ce n’est pas la culture elle-même qui semble innée chez l’homme, mais plutôt la capacité perfectionnement

et moral caractérisé par un ennui profond, par une envie d'en finir avec la vie et un refus de se nourrir. Cet état est surtout caractéristique des poètes, des artistes qui sont obligatoirement mélancoliques, car ils sont incompris des hommes, éloignés de la cité et capables de voir des choses que le commun des hommes ne peut apercevoir. D'abord chez René, cette mélancolie spirituelle est la cause d'une série de pertes, celle de sa mère, de son père et de sa soeur. Dès sa plus jeune enfance, il

trouve face à un chômage général, que l’inflation ruine tous les épargnants et que personne ne sait comment sortir de ce chaos. Jusque là on croyait que le libéralisme était garant du succès et que les prédictions de Karl Marx étaient dénuées de réalité. Une véritable panique agitait le monde occidental face aux nombreuses grèves et revendications des ouvriers qui voulaient la révolution. Face à ce monde chaotique l’auteur va écrire un livre sur un monde parfaitement huilé où tout se déroule de manière

véritable. A la fin, il établit une activité mondaine. La perte des serviteurs marque une certaine désinvolture et révele un manque de considération. Les lieux géographiques précis connus de Marguerite de Navarre, la fin de l’été… inscrivent dans la réalité le roman. Oisille était déjà à Serrance où elle avait dejà sejourné. Hircan arrive avec sa femme Parlamente et Longarine, une jeune veuve. Puis arrivent deux gentilshommes : Saffredent et Dagoucin suivis de deux damoiselles Nomerfide et Emmarsuite