Le Devoir Conjugal

Durval doit-il effectuer ? I- La faute cause de divorce de Madame Durval En droit, en vertu de l’article 242 du Code civil, « Le divorce peut être demandé par l’un des époux lorsque des faits constitutifs d’une violation grave ou renouvelée des devoirs et obligations du mariage sont imputables à son conjoint et rendent intolérable le maintien de la vie commune ». Cette disposition impose la réunion de différents éléments pour justifier le divorce pour faute. En effet, la faute évoquée à l’article

religieuse. Si les époux le décident, la cérémonie civile peut être la seule. La cérémonie religieuse ne produit aucun effet en Droit civil. La liberté matrimoniale (ou nuptiale) Il s'agit de la liberté de tout individu dans la formation du lien conjugal. C'est une des libertés essentielles de la personne. C'est la liberté de se marier ou pas et à l'intérieur de cette liberté, la liberté de choisir son conjoint. Cette liberté est soutenue par le Droit public. En Droit privé, la liberté matrimoniale

finalité de la vertu conjugale, c'est une gratification, la finalité étant le prestige, "l'éclat" et "l'élévation". Au mot d'ordre tacite de la cour : paraître ce que l'on n'est pas, elle substitue : être pour paraître. Comment une femme pourra t elle donc rester vertueuse dans un mariage de convenance? Faute d'épouser un homme qu'elle aime, elle se devra d'aimer l'homme qu'elle épouse; en d'autres termes, elle vouera à son conjoint non un sen¬timent passionnel, mais une "amitié" conjugale faite de tendresse

L’ECOLE DES FEMMES, Molière Arnolphe, homme d'âge mûr, aimerait jouir du bonheur conjugal, mais il est hanté par la crainte d'être trompé par une femme. C’est pour cela qu’il décide d'épouser sa pupille Agnès, élevée dans l'ignorance, recluse dans un couvent. Horace, fils d'Oronte (un autre ami d'Arnolphe), est tombé amoureux d'Agnès ; il se confie à Arnolphe dont il ignore le rôle de tuteur, lui avouant qu'il a fait sa cour et raillant ce dernier. Arnolphe interroge Agnès afin de savoir

d’égalité. Art. 213 C.c. (actuel) dispose que « les époux assure ensemble la direction morale et matérielle de la famille ». C’est la remise en cause partielle de la notion d’engagement, il y a un lien juridique entre eux qui leur impose des devoirs et obligations (contraintes). Chaque individus né avec un droit de créer une famille, donc l’Etat devrait garantir l’effectivité de ces droits (droit au mariage, d’avoir des enfants…). En vertu de ce raisonnement, on en déduit que le mariage

que cette pratique était « contraire à l’esprit du christianisme et de la civilisation que le christianisme a produite dans le monde occidental. »[2] De nos jours, en Occident, il n’est pas rare pour un homme marié d’avoir des relations extra-conjugales avec une maîtresse ou une prostituée. Par conséquent, pour décrire les unions occidentales, le terme « monogamie » est inapproprié.[3] À quel point les infidélités sont-elles fréquentes? On estime qu’aux États-Unis, le pourcentage d’hommes infidèles

battaient leurs femmes. * 25 % de toutes les morts violentes ont eu lieu dans le cadre du couple. * 38 % des crimes conjugaux sont liés à la séparation. * 37 % des auteurs masculin d’homicides se sont suicidés après leurs actes. * 20 % des homicides sont commis sous l’emprise de l’alcool ou de produits stupéfiants. III : Les causes : * La violence conjugale a des origines sociales: Elle est la manifestation de rapports de force historiquement inégaux entre les hommes et les femmes

de violences conjugales, soit une sur dix. Chaque année, quatre cents d'entre-elles meurent à la suite des mauvais traitements infligés par leur mari ou compagnon. La violence au sein du couple est un processus évolutif au cours duquel un partenaire exerce, dans le cadre d’une relation privilégiée, une domination qui s’exprime par des agressions physiques, psychiques ou sexuelles. Néanmoins, la France a connu de nombreuses évolutions législatives concernant les violences conjugales. De plus, la femme

convention rappelle que lenfant doit grandir dans son milieu familial pour connaître un épanouissement harmonieux et surtout elle dit que l'enfant doit entretenir des relations avec chacun de ses parents et la convention nous dit de dissocier le registre conjugal et le registre parental. La convention rappelle aussi que l'enfant doit connaître ses origines. Pas forcement le lien de filiation mais chacun doit pouvoir savoir qui est son pere et qui est sa mere. La convention dit aussi que l'enfaut doit être

parents qui ne sont pas mariés entre eux. - Lien collatéral = germain = frère et sœur ayant le même père et la même mère. - Frère et sœur dont seul père en commun = consanguin. - Frère et sœur dont seule mère en commun = utérin. L'alliance → Lien conjugal = entre époux = unis la famille d'un époux à l'autre époux. Lien juridique crée par le mariage entre un époux et les parents de son conjoint. Famille → Groupe de personne uni par un groupe de parenté ou d'alliance. Le pacs n'emporte aucuns liens