Le Dialogue Tragique

à l'introspection les réminiscences et l'expression de leurs doutes, les héros tragiques tentent de se situer et de se définir. L'extrait de la scène 4 de l'acte III d'Hernani nous montre un héros désemparé mais lucide. Dans un monologue très agité, au rythme fréquemment brisé, il fait alterner le présent et le passé, les élans et les incertitudes, et s'adresse à Dona Sol en la prenant à témoin d'une destinée tragique dans laquelle elle n'a pas, semble-t-il, sa place. Le portrait qu'Hernani trace

première fois en 1938. Cet extrait est le dénouement de la pièce. Thérèse a tenter une dernière fois d'oublier son passé de Sauvage mais en vain, elle fini donc par prendre son manteau pour partir de chez Florent. On nous présente ici le dernier dialogue entre Florent et Thérèse. Cette fois ci Thérèse ne peux être retenu par Florent, c'est l’échec de leur couple. Cette pièce s'achève donc sur l'antagonisme des deux personnages. Axe 1 : Beaucoup de marques de tendresse dans ce passage ; l’échec

roi. Mais Rodrigue s’introduit chez elle et lui offre de ce venger en le tuant. II- LECTURE MAGISTRALE III- HYPOTHESE GENERALE Dans un dialogue à tonalité tragique Pierre Corneille évoque le sens du devoir et la fidélité dans l’amour. IV- VERIFICATION DE L’HYPOTHESE GENERALE AXE 1 : dialogue à tonalité tragique. Entrées | Repérage | Analyse | Interprétation | 1- Didascalies | - Rodrigue-Chimène | Noms propres des personnages en présence. | La présence des deux

bouleversement thématique : intrigues ancrées dans l’Histoire, passion revendiquée comme valeur, héros en lutte contre la société. - une révolution dramaturgique : dynamisme scénique, rejet des règles d’unité de temps et lieu, mélange des genres comique et tragique. - une écriture en quête de naturel : lexique plus simple, alexandrin assoupli ou prose. L’absurde  Il se développe après la seconde guerre mondiale. Cf : Ionesco et Beckett. Les principaux thèmes sont : - l’angoisse existentielle :

c'est un texte théâtral. 1.L'auteur a mi quelques éléments qui nous font penser à un texte de genre poétique, tel que les stichomythies, ou encore de par la rapidité des dialogues qui ressemble vaguement à des vers. 2. Dans cette extrait on aperçoit un fort contraste entre une part de comédie et une part de tragique. Comme on peux le voir à la premier ligne de cet extrait l'emploi du mot jeunesse nous renvoie à un temps d'amusement où il se passe des événement comiques. Octave nous

Bérénice acte II scène 4 Dans l’acte II scène 4, Bérénice et Titus entretiennent un dialogue déséquilibré. En effet, Bérénice cherche des réponses à ses questions auxquelles Titus ne parvient pas à répondre. 1 et 2) Dans ses répliques Bérénice ne cesse de questionner Titus. On peut le remarquer avec de nombreuses interrogations « ? » (v.562, 570, 573, 574, 575, 579, 580, 582, 584, 590, 591, 592 ; 596, 597, 598, 599, 619, 620, 629). Les phrases exclamatives « ! » (v.569, 571, 581, 596, 610, 619)

parce que les vents ne soufflent pas, et qui devrait disparaître le 2 plus vite possible. Par ailleurs, les lieux évoqués à l’arrière-plan par Arcas puis par Agamemnon donnent d’emblée à la pièce une atmosphère épique. La révélation d’un secret tragique ● Relever les indices du trouble d’Agamemnon lors de son entrée en scène. Agamemnon apparaît sur scène très troublé, comme le montrent : - ses paroles initiales, qui illustrent que le temps presse - son souhait, surprenant de la part d’un homme

Dialogue et dialectique chez Platon Le genre auquel nous avons affaire avec Platon est le genre dialogique (qui est en forme de dialogue) Dans la culture grecque existe le dialogue théâtral lequel a un effet sensible ; or, le sensible n’est pas l’accès à l’intelligible. Le dialogue théâtral provoque une adhésion par une flatterie sensible, par du pathos , de l’affect. Ce qui se joue dans la tragédie est de l’ordre du pathos mais la vérité de la tragédie ne pourrait transparaître dans le pathos

réussit vraiment à donner de la vie à cette histoire tragique. La dynamique est sans faille et il n'y a aucun temps mort dans le rythme. Le lecteur n'a pas le temps de s'ennuyer entre les scènes du présent à Paris et au Liban et les nombreux retours dans le passé qui permettent de comprendre l'histoire des personnages principaux au fur et à mesure. Les deux parties de l'histoire avancent en parallèle, mais le lecteur n'est jamais dans le flou. Les dialogues sonnent toujours justes, quel que soit le personnage

son égard. La scène 3 révèle que l’amour de celle-ci est encore plus à craindre que sa haine. Le dialogue manifeste le rapport très intime qui unit Œnone à Phèdre dont elle a été la nourrice. Dans son insistance, Œnone se trouve néanmoins dotée d’un rôle qui va au-delà de celui de confidente : en faisant avouer à sa maîtresse son amour, elle est l’agent du destin et embraye la machine tragique. Dans sa tirade, Phèdre se rend coupable de faire éclater au grand jour non seulement une passion