Le Dieu bleu

pourtant; on dit qu'on n'a une place que lorsqu'on est reçu. Moi, je ne veux pas de place; je serai rentier. Quand même on en voudrait une, pourquoi apprendre le latin? Personne ne parle cette langue. Quelquefois j'en vois sur les journaux; mais, dieu merci, je ne serai pas journaliste. Pourquoi apprendre et de l'histoire et de la géographie? On a, il est vrai, besoin de savoir que Paris est en France, mais on ne demande pas à quel degré de latitude. De l'histoire, apprendre la vie de Chinaldon

rayons. | |  | |Un soldat jeune, bouche ouverte, tête nue, | |Et la nuque baignant dans le frais cresson bleu, | |Dort ; il est étendu dans l'herbe, sous la nue, | |Pâle dans son lit vert où la lumière pleut. | | 

Correction Humanisme et peinture Sandro Boticelli, Le Printemps (1478) Question 1 A la verticalité de l’espace (troncs d’arbres, perspective qui ouvre la clairière sur le ciel bleu) s’oppose l’horizontalité des figures humaines disposées en ligne au premier plan du tableau. Soit de gauche à droite  : à gauche, le dieu Mercure à demi nu, drapé de rouge (sans cuirasse de guerre, avec seulement des guêtres ailées, un sabre et son caducée), puis le groupe des trois Grâces dansant, elles aussi à demi

la nuit tombe ; Soyez heureux pendant que nous sommes pensifs. Dieu veut qu'on ait aimé. Vivez ! faites envie, Ô couples qui passez sous le vert coudrier7. Tout ce que dans la tombe, en sortant de la vie, On emporta d'amour, on l'emploie à prier. Les mortes d'aujourd'hui furent jadis les belles. Le ver luisant dans l'ombre erre avec son flambeau. Le vent fait tressaillir, au milieu des javelles8, Le brin d'herbe, et Dieu fait tressaillir le tombeau. La forme d'un toit noir dessine une

effrayant ! Alors, on frappa aux portes de la | |ville, et le vieux roi alla ouvrir. | |C'était une princesse qui se trouvait dehors. Mais, Dieu, l'air qu'elle avait, avec cette pluie et ce mauvais temps ! l'eau coulait sur ses | |cheveux et ses vêtements, et elle lui coulait du nez jusqu'aux chaussures et ressortait par les talons, et alors elle dit qu'elle était une | |véritable princesse

croûte sèche et fleurie, Puy-de-Dôme, AOC 1972. • Bleu des Causses : lait cru de vache à pâte persillée, Aveyron, AOC 1973. • Bleu de Gex : lait de vache montbéliarde à pâte persillée non pressée non cuite, Jura, Ain, AOC 1977. Fromages belges : • Paf de bleu : lait cru de vache bio, pâte persillée, croûte persillée, moulé en Fourme, région de Gand. Vins : Sauternes (blanc doux), ou rouge corsé, ou Cherry. • Bleu d’Adèle : lait cru de brebis, pâte persillée, fromagerie

defunt) RIDJA NOMHONO WATRANGA NDIZO MGU YANDZAO Nous vous présentons nos condoléance LALA UNONO Dieu fait ce qu’il desire MARAHABA/AHSANTA NAMLALE HAUNONO (à plusieurs pers) Merci Au revoir TSIUHISA MGU AMANA AHSANTA/MARAHABA Je vous laisse à la charge de Dieu/ A Dieu Merci TSIMHISANI MGU AMANA (à plusieurs pers) MGU NAHONDOE AHSANTA/MARAHABA Que Dieu vous montre le chemin du retour (au Merci voyageur) MGU NAMONDOENI (à plusieurs pers) MSAFARA MWEMA

les jumeaux dans ses bras et ils se relayaient pour pleurer avec la faim. L'homme arrêté quelques minutes pour s'asseoir et se reposer sur le mur de pierre le long de la route. nous nous sommes assis avec elle et regarda le ciel devient rouge puis bleu. Oiseaux a commencé à gazouiller et chanter dans les arbres et que l'aube est venu jusqu'à nous avons vu d'étranges créatures dans le classement des champs, à nous regarder. Malachy dit "quels sont-ils papa?" «vaches, fils" «ce sont des vaches,

le ballon c’est dieu Un jour blanc un jour bleu C’est parce que l’homme est petit Qu’on dit que dieu est grand. Tu saisis ? Toutes ces voitures en feu, c’est juste de la bêtise. Y’en a qui pensent que pour qu’on s’aime il faut que nos cartes soient grises. Je sais mais c’est la vie tout le monde a ses avis Chacun joue toutes ses billes pour gagner celles d’autrui. Méfie toi, de ceux qui te donnent pas le choix de ceux qui n’ont qu’une voix Tu as le droit de croire en dieu, sans croire à

(v. 3), ainsi que la coordination Et (v. 6) entraînent la présence de quatre verbes (Sifflent... Croulent... broie... fait), noyaux de subordonnées de temps. Dans la seconde partie de la phrase (tercets), la brève proposition principale - Il est un Dieu - est mise en valeur par le tiret qui la précède. Elle est suivie de trois propositions relatives; les deux premières sont juxtaposées et introduites par qui (v. 9 et 11), la troisième est soulignée par la coordination Et qui la lie à la précédente