Le Dieu Du Carnage

enjambements), on retrouve le sens du poème. Grammaire : 1er Q : subordonnée de temps 2ème Q : subordonnée de temps 1er T : « Il est un Dieu »→ prop. Principale « qui rit…d’or » : relative « qui dans… s’endors » : relative ème 2 T : « Et… » : indépendante Vocabulaire : Hosanna : chants religieux Damassées : tissus épais, très riches Sens du poème ou Noyau : Un Dieu ds son Eglise qui s’endort quand on lui chante des louanges et se réveille quand on lui donne de l’argent, tandis que les hommes se font

dans le premier moment, Hélas ! et je pleurai trois jours amèrement. Vous tous à qui Dieu prit votre chère espérance, Pères, mères, dont l'âme a souffert ma souffrance, Tout ce que j'éprouvais, l'avez-vous éprouvé ? Je voulais me briser le front sur le pavé ; Puis je me révoltais, et, par moments, terrible, Je fixais mes regards sur cette chose horrible, Et je n'y croyais pas, et je m'écriais : Non ! -Est-ce que Dieu permet de ces malheurs sans nom Qui font que dans le cœur le désespoir se lève ? -Il

n'a sondé le fond de tes abîmes; O mer, nul ne connaît tes richesses intimes, Tant vous êtes jaloux de garder vos secrets! Et cependant voilà des siècles innombrables Que vous vous combattez sans pitié ni remord, Tellement vous aimez le carnage et la mort, O lutteurs éternels, ô frères implacables! Il n'y a que la mer (extrait) ( Pierre Osenat) Vague après vague va la mer, De mer en mer tangue inlassable, sans virer de cap aux amers au large de l'inconnaissable Une étoile

(l’Obscurité). Comment naissent-ils ? Nul ne le sait. Toujours est-il que de l’union de la Nuit et d’Erèbe, naissent le Jour, la Lumière Ether, la Ruine, la Mort, la Souffrance, la Tromperie et la Discorde. De la Discorde naissent le Meurtre, le Carnage, le Crime et le Combat. De Gaia sans intervention masculines nait Ouranos Gaïa soutient Ouranos (le ciel) au-dessus d’elle. Les premiers dieux naissent de l’union de Gaïa et d’Ouranos : 3 Cyclopes (créature avec un seul œil) 12 titans

Description et analyse de l’image: Au premier plan, on reconnaît Captain America à sa tenue, son bouclier aux couleurs du drapeau américain. Son visage est masqué; il porte sur le front la lettre A et de chaque côté de la tête de petites ailes comme le dieu Hermès, messager des dieux, sur le torse une étoile renvoie à la bannière étoilée. Il tient à bout de bras un soldat russe reconnaissable à la couleur de son uniforme et à la faucille et au marteau (symbole de l’URSS) visibles sur l’épaulette de sa

autres. Robinson Crusoe a une grande foi en Dieu. Il ne renonce pas espoir quand il fait naufrage et se retrouve tout seul sur une île déserte. Sa foi que Dieu va le soutenir à travers les nombreuses épreuves de la vie le pousse à continuer. Crusoe dit: «Tout ... Dieu une réponse." (P. 41, par. 3) Forte croyance en Dieu Crusoe est également considéré quand il enseigne Vendredi au sujet de la bonté et de la puissance qui vient d'avoir foi en Dieu. RRESUME Un jour, il découvre, choqué,

basé sur la rhétorique de la personnification : l’Horloge peut parler. Baudelaire veut nous montrer que le temps passe très vite, que la mort est proche, il veut nous transmettre sa déprime avec l'évocation du "nous". Le temps nous domine "Horloge, Dieu sinistre". La répétition de "souviens-toi" est là pour insister sur le fait que le temps nous file entre les doigts et que cela est universel car cette expression est répétée en plusieurs langues. Au vers 12 il y a allitération en [p]. Comme Spleen

des montagnes. Le combat continue, plus acharné que jamais, pendant que Charlemagne, averti, revient sur ses pas. Le secours approche, mais le péril redouble ; le frère d’armes de Roland, Olivier, vient de mourir ; deux guerriers survivent seuls au carnage l’archevêque : Turpin et Roland. Leurs derniers exploits ont jeté l’épouvante au cœur des Sarrasins, que le bruit de plus en plus rapproché des clairons de Charlemagne achève de troubler. Ils prennent la fuite, mais l’archevêque Turpin est mortellement

selon lui « incontestable ». A travers ce conflit, Voltaire oppose le pouvoir démocratique – où le peuple se choisit un gouvernement – et le pouvoir monarchique, tyrannique, qui s’impose par la force, s’appuyant sur l’idée que ce pouvoir lui vient de Dieu. On peut remarquer que les deux mentions de droit « divin » et de droit « incontestable » - les deux termes fonctionnant comme des synonymes – correspondent dans le récit à de courts passages où s’exprime le point de vue interne du prince : la province

tribut cher payé par la famille de l’auteur, comme d’ailleurs par beaucoup d’habitants de la province. Les pages consacrées au carnage causé par l’ypérite, le gaz de combat employé sur le front pendant cette « Grande Guerre » mettent le lecteur devant les souffrances et les tragédies des soldats engagés. Nous voyons toute l’horreur de la guerre et l’inutilité du carnage associée à l’inconscience et au cynisme des dirigeants dont deux membres de la famille ont été victimes : Il y avait des