Le Dieu Du Carnage

elle seule une réalité horrible et la gloire qui en découle, la célébration d’actes cruels qui confèrent un réel prestige. En ce sens on peut légitimement considéré que cette expression est porteuse d’une contradiction, qu’elle est un oxymore. Un carnage atroce devient ici une soi-disant gloire. L’expression « neuf à dix mille coquins qui en infectaient la surface » peut être considérée comme une antiphrase si l’on opère un bref retour en arrière. Nous avons pu dire que Candide se retrouve enrôlé

trois; qui est une poësie de Paul Souchon intitulé "Athlètes au repos" extraite du receuil les chants du stade ecrit en 1923; et le document 4 ( qui est une imitation de vitrail représentant Bett Frave fameux joueur de football américain adulé comme un dieu) car dans c'est deux documents on voit le sportif de haut niveau comme un être suprérieur, une divinité. Ceci étant dit comment les sportifs et le sport en général ont-ils été associé à la religion ? Nous verrons dans un premier temps comment la

du Seigneur, p. 38-39. — Portrait de Jean-François de La Marche par H.-P. Danloux, p. 63. — La Rochefoucauld, Réflexions diverses, p. 13-15. — F. Flahault, « Une manière d’être à plusieurs », p. 17-19. — Y. Reza, Le Dieu du carnage, p. 19-23. — Une séquence filmique issue de Carnage, de Roman Polanski (2011), ou de Ridicule, de Patrice Leconte (1996). — Dossier : « Sujets d’exposés », p. 179. — Dossier : « Vers l’écriture personnelle (fiche méthode et entraînement) », p. 183-185. 2 3 4 Supports

On peut évoquer le baroque par quelques mots clés : * Instabilité, inconstance et mobilité * Métamorphose : Jean Rousset rapproche le baroque et son désir de métamorphose à deux mythes : o au mythe de Protée : Protée est un dieu marin, de l'Antiquité grecque, qui avait reçu de Poséidon, son père, le don de changer de forme à volonté. o au mythe de Circé : Circé est un personnage de l'Odyssée, une magicienne qui métamorphosa les compagnons d'Ulysse en pourceaux.

Analyse de l’image Au premier plan, on reconnaît Captain America à sa tenue, son bouclier aux couleurs du drapeau américain. Son visage est masqué ; il porte sur le front la lettre A (Amérique) et de chaque côté de la tête de petites ailes comme le dieu Hermès, messager des dieux, sur le torse une étoile renvoie à la bannière étoilée (drapeau américain) Il tient à bout de bras un soldat russe reconnaissable à la couleur de son uniforme et à la faucille et au marteau (symboles de l’URSS) visibles sur

Une apparence de légitimité esthétique Par l’association de la guerre a un véritable spectacle, c’est une parodie de l’épopée que fait ici Voltaire qui trouve sa véritable expression dans l’oxymore « boucherie héroïque » qui montre comment un carnage peut-être valorisé par l’image épique. L’ironie se glisse de diverses manières dans la description élogieuse de la bataille : on voit se glisser, dans l’énumération des instruments les « canons » qui viennent rappeler la réalité de la guerre et les

est-il5? dit le Loup. Pour moi, je n’en vois guère.Tu t’en viens me traiter de bête carnassière :Toi qui parles, qu’es-tu ? N’auriez-vous pas sans moiMangé ces animaux que plaint tout le Village ?Si j’étais Homme, par ta foi,Aimerais-je moins le carnage ?Pour un mot quelquefois vous vous étranglez tous :Ne vous êtes-vous pas l’un à l’autre des Loups ?Tout bien considéré, je te soutiens en sommeQue scélérat pour scélérat,Il vaut mieux être un Loup qu’un Homme :Je ne veux point changer d’état.Ulysse

Décrire ✷ L’IMAGE Au premier plan, on reconnaît Captain America à sa tenue, son bouclier aux couleurs du drapeau américain. Son visage est masqué ; il porte sur le front la lettre A (Amérique) et de chaque côté de la tête de petites ailes comme le dieu Hermès, messager des dieux, sur le torse une étoile renvoie à la bannière étoilée (drapeau américain) Il tient à bout de bras un soldat russe reconnaissable à la couleur de son uniforme et à la faucille et au marteau (symboles de l’URSS) visibles sur

Décrire ✷ L’IMAGE Au premier plan, on reconnaît Captain America à sa tenue, son bouclier aux couleurs du drapeau américain. Son visage est masqué ; il porte sur le front la lettre A (Amérique) et de chaque côté de la tête de petites ailes comme le dieu Hermès, messager des dieux, sur le torse une étoile renvoie à la bannière étoilée (drapeau américain) Il tient à bout de bras un soldat russe reconnaissable à la couleur de son uniforme et à la faucille et au marteau (symboles de l’URSS) visibles sur

un jour de juin 1660, Robinson Crusoé tombe malade. Un ange le visite lors de ses hallucinations, vision qui lui demande de se repentir. « Aidé » par du tabac imprégné de rhum, Robinson fait l’expérience des illuminations religieuses et comprend que Dieu a réagi à ses péchés antérieurs. Une fois remis sur pied, Robinson Crusoé étudie un peu mieux la région où il se trouve et découvre qu’il est sur une île. Il trouve également une vallée riche en vignes et commence à être plus optimiste quant à sa