Le Dieu Du Carnage

exercice atypique pour l'époque et va faire de son texte un exemple d'anticonformisme. Ainsi, d'Aubigné refuse d'obéir aux règles de la poésie classique romantique en incluant au fil de son écriture un lexique surprenant pour l'époque tel que les mots « carnage », « trahison » ou « horreur ». Ce lexique de l'horreur s'explique sans doute par l'implication personnelle d'Agrippa d'Aubigné qui, témoin direct des évènements qu'il décrit, utilise très régulièrement le verbe « voir », qui revient comme un leitmotiv

printemps, quand Dieu met la nature en fête, J'assiste, esprit sans joie, à ce splendide amour ; Puisque je suis à l'heure où l'homme fuit le jour, Hélas ! et sent de tout la tristesse secrète ; Puisque l'espoir serein dans mon âme est vaincu ; Puisqu'en cette saison des parfums et des roses, Ô ma fille ! j'aspire à l'ombre où tu reposes, Puisque mon coeur est mort, j'ai bien assez vécu. Les misérables deVictor Hugo Bauduin tué, Foy blessé, l'incendie, le massacre, le carnage, un ruisseau

en valeur souligne la valorisation progressive du témoignage direct. D’autre part, ces écrivains combattants accueillent aussi dans leur texte le témoignage brut de simples soldats: ainsi du messager des Perses qui n’est qu’un simple survivant du carnage, qui prend en charge de l’annoncer dans sa patrie; ainsi des soldats de la tranchée chez Barbusse, dont on connaît les noms et les histoires, mais aussi des «soldat[s] obscur[s] mort[s] obscurément» dont le romancier prend en charge de garder les

comprend qu’Ulysse est endurant et persévérant, enfin qu’il est un chef soucieux du sort de ses compagnons. 7 Le texte cite deux personnages qui vont s’opposer au retour d’Ulysse : la nymphe Calypso [l. 14], qui aime Ulysse et veut l’épouser, et le dieu Poséidon [l. 19], qui s’acharne sur lui mais ne pourra empêcher son retour. 8 Les dieux, sauf Poséidon, aident Ulysse. Orthographe (> fiches 8 et 9) 9 « Seul Poséidon le poursuivit avec une haine implacable jusqu’à son retour dans sa terre natale.

Ce dernier, resté seul, souffre d'hallucinations devant son poignard. Scène 2 : Lady Macbeth a enivré et drogué les serviteurs du roi. Parfaitement maîtresse de la situation face à un Macbeth hagard et horrifié, elle affronte seule le spectacle du carnage et barbouille les serviteurs de sang (Macbeth a refusé de le faire) → division du couple. Scène 3 : deux gentilshommes découvrent le roi assassiné, Macbeth profite de la confusion pour tuer les deux serviteurs. Les fils du roi prennent peur et fuient

cendre est sur leur joue. Il fait à peine jour, ils sont déjà bien las. Ils ne comprennent rien à leur destin, hélas ! Ils semblent dire à Dieu : “Petits comme nous sommes, Notre Père, voyez ce que nous font les hommes !” Ô servitude infâme imposée à l’enfant ! Rachitisme ! travail dont le souffle étouffant Défait ce qu’a fait Dieu ; qui tue, va-t-il insensée, La beauté sur les fronts, dans les va-t-il la pensée, Et qui ferait – c’est là son fruit le plus certain !- D’Apollon

pas plus offensé De voir un homme fourbe, injuste, intéressé, Que de voir des vautours affamés de carnage, Des singes malfaisans et des loups pleins de rage … » C'est qu'il les observe, il ne les juge pas ; il les peint tels qu'ils sont ou tels qu'il croit les voir, il ne s'en moque point ; ou plutôt il s'en moque si peu qu'il serait fâché qu'on les lui changeât, et moins « affamés de carnage » ou moins « malfaisans », singes et loups, renards et lions, serpents et ours, il les trouverait moins

ignorant » reconnaît qu’il l’est), les manières (abord poli), les Candide 5 coutumes (accueil prévenant des étrangers), les valeurs (l’or ne vaut rien), les institutions politiques (importance du « consentement de la nation »), les relations à Dieu (directes, non médiatisées), etc. Les relations humaines sont idéales (accueil chaleureux, monarque accessible, commerce des idées menant d’emblée aux grandes questions des Lumières comme « les formes de gouvernements, les mœurs », etc.). Dans ce pays

d’un costume aux couleurs du drapeau américain. Il tient un bouclier, lui aussi aux couleurs du drapeau. Captain America a le visage masqué, il porte sur le front la lettre A de America, et de chaque côté de la tête il a des petites ailes (comme le dieu hermès, messager des dieux). Captain America est en pleine action, il tient à bout de bras un ennemi. Il semble l’avoir soulevé de terre et être sur le point de le jeter violemment. Son corps est contracté, ses muscles saillants. C’est donc un super

terre sera submergée, et tout ce qui l'habite périra ; tous les êtres seront jugés, tous, même les justes. 7. Mais les justes obtiendront la paix ; il conservera les élus, et exercera sur eux, sa clémence. 8. Alors ils deviendront la propriété de Dieu ; il les comblera de bonheur et de bénédictions et la splendeur de la Divinité les illuminera.  CHAPITRE 2 1. Voici ! il arrive avec dix mille de ses saints, pour juger toutes les créatures pour détruire la race des méchants, et réprouver toute chair