Le Dingue

putain, tout ce qu’il lui arrive comme souci !….. c moche en francais ca rend vraiment pas pareil ! Goulou = la lumière faire du Reuz = faire du bruit ou foutre le bordel val daour = pomme de terre un Penty = une petite maison droche = un peu dingue c'est marée basse = mon verre est vide piz/piz cras : radin A la revoillure = a bientôt Glep/blep ou gloche = idiot tor pen = casse tete, tu fais chier !! tor reir = casse-cul Barrique à pattes = quelqu'un qui boit beaucoup Ventre à pattes

ses   études   et   il   veut   rentrer   dans   l’ordre   religieux.   A   ce   moment   là,   il   fait   la   rencontre   de   Manon  Lescaut,  de  qui  il  tombe  raide  dingue  amoureux.  Il  profite  de  la  faiblesse  de  son  meilleur   ami  pour  prendre  la  fuite  avec  elle  et  les  deux  se  rendent  à  Paris,  sans  aucun  projet

m'explique ce que tu fous dans une école d'art alors que ... bah t'as absolument pas besoin d'apprendre plus, attend, regarde moi ça ! - Bah pour être diplômé. Harry: Ouai c'est vrai, mais je pensais pas que tu faisais ce genre de choses c'est dingue. -en ce rapprochant du mur pour regarder de plus près- - Merci. Tu pourra revenir pour passer une journée à regarder THE mur si tu veux, je te rappel que c'est la crise la ! Harry: -en se retournant vers moi, assise sur le canapé- Oh que non

Il ne sait plus la distinguer. Rêve ou mirage, Il sait qu'elle fait rage. Il ne sait plus quoi croire. Il la voit, mais flotte-t-elle vraiment? Il ne pourrait vous le dire... Vous le croyez fou? Vous n'êtes pas les seuls! Je le crois dingue autant que vous; Il faut croire que je n'y peux rien, c'est son destin. Ploc............Ploc............Ploc « 29 novembre, Petites gouttes qui échappent à leur destinée, à leur dictature. Ah! Les courageuses qu'elles sont forte. Force que

Quelques vieux malades Imbéciles les tortionnaires Se partagent l'univers Mort l'enfant qui vivait en moi, Qui voyait en ce monde-là Un jardin, une rivière Et des hommes plutôt frères Le jardin est une jungle, Les hommes sont devenus dingues La rivière charrie les larmes, Un jour l'enfant prend une arme Bal sur l'ambassade, Attentat grenade Hécatombe au ministère Sur les gravats, les grabataires Dans un premier temps, Renaud traite des enfants à travers le monde

qui est continuellement à la recherche du plaisir alors que tout se délite autour de lui. Cette divagation onirique le conduit aussi à une sorte d’extra-lucidité : les pensées de Vernon au discours indirect libre « mais content, putain, comme un dingue, content comme un dément », comme pour casser le silence et comme pour se parler à lui-même dans sa solitude, mettent en relief son état d’extrême conscience dans cet état second. • 3è mouvement : (l.19 à la fin) la promenade onirique et empathique

Folleville ! est devenu par extension une expression ironique désignant des démonstrations d'amitié ou de joie qui permettent d'oublier ou qui occultent les problèmes. Les personnages Le Marquis de Flasquemont : Epoux de la baronne. Tout aussi dingue qu’elle. C’est un chasseur. Un papa poule qui ne supporte pas la contradiction. Berthe : La petite a bien grandi. Son caractère impétueux et volcanique s’est affirmé encore avec les années. Le Vicomte de Chatenay : Jeune prétendant, éperdument

et n’a pas d’autre valeur que désignative. Cependant, il faut dire que cette désignation n’est pas vide de représentations, dont on peut rendre compte par des périphrases (Lol V. Stein = la jeune fille de T. Beach, la femme de Jean Bedford, cette dingue…). Ces représentations désignent donc des qualités, non essentielles (les descriptions sont susceptibles d’évoluer, quand le nom propre reste fixe). Ces rappels sont très succincts, mais on peut tout de suite remarquer que l’utilisation du nom propre

pas de me charrier depuis le shooting photo.  “Allez, ça se voit qu’il craque pour toi ! Rien d’étonnant, tu es une bombe !” me répète-t-il en dansant la salsa avec une partenaire invisible tout en chantant "Bombaaaaaa". Aaron a toujours été un peu dingue. Je crois que c’est pour ça que je l’adore. PourtantDepuis plus d’un mois, je prépare mon exposition sur le thème du printemps. Et devinez par qui est financé le vernissage ?  Je n’ai pas arrêté de penser à lui, je dois dire que ça m’a inspiré pour

jugé(e) ! Je me retrouve toujours comme une petite fille/un petit garçon. Dans la vie courante, chez moi, je suis un(e) adulte responsable, et c’est comme si, franchi le seuil de la maison de mes parents, je redevenais enfant ! ou Ma mère me rend dingue ! Ma mère est folle ! Ma mère est méchante ! Papa ! Maman ! je ne suis plus une petite fille ! 
Cela revient souvent ! Et ces enfantin(e)s adultes ont entre 20 et 70 ans !! 
Je ne peux rien lui dire ! Il faudrait que je le/la laisse faire ses bêtises