Le Discour Vauquer

Correction de la dissertation : Dans quelle mesure la fiction littéraire est-elle capable de convaincre et de persuader le lecteur ? Vous répondrez à cette question en prenant appui sur le corpus et sur vos lectures personnelles. Pour éduquer les enfants, on recourt souvent à des histoires fîctives et à leurs personnages inventés, souvent destinés à forger leur vision de la vie ou à leur donner un message moral. L'âge adulte oublie ce goût du recit et préËre des genres argumentatifs, cependant des

le fils d'une famille noble, où l'éducation première n'avait comporté que des traditions de bon goût. » (p20) La famille d’Eugène est qualifiée de pauvre par l’auteur qui souligne qu’il n’y a que des « infortunés étudiants »(p14) dans la pension Vauquer où Eugène réside. Sa famille lui a apprit à ne jamais gâcher, Eugène « usait les vêtements de l’an passé ». Ainsi, Eugène arrive à Paris avec une bonne éducation de ses parents. Des origines qui l’aident à entrer dans le monde : C’est grâce à

différents. Le lecteur est en quelque sorte le témoin de toute l’histoire avec tous les détails et les ressentis de chaque personnage. Il sait et voit tout ce qu’il se passe à travers les yeux de tous. Dans Le Père Goriot, Balzac mets en scène la maison Vauquer et les pensionnaires qui l’habitent. Ces descriptions des personnages sont réalistes et s’appuient sur des caractéristiques précises, réelles. On nous apprend que Balzac privilégie la focalisation zéro pour placer le narrateur en position omnisciente

une brève conclusion) Des erreurs : Vautrin n'est pas Vauquer ! • Les éléments de réponse : deux remarques préalables ... - deux des personnages ambitieux sont présentés dans le cadre de leur réussite (A, C), un autre ne fait encore qu'en rêver (B). - dans le texte B, il y a au fond deux ambitieux : Rastignac (mais qui ne s'exprime pas dans l'extrait) et Vautrin, qui partage le même sentiment (mais plutôt par procuration, le discours de Vautrin le séduit... (A) Zola, Au Bonheur des dames

la charrette “Le Graal” Le Roman de la rose La situation d’énonciation, le registre épique; le discours rapporté, champs lexicaux La phrase, les connecteurs, connotations et champs lexicaux, les figures de style les temps verbaux, résumé la structure du conte; analyse de trois passages: la situation initiale, l’épisode de la charrette, la situation finale les temps verbaux, la phrase, le discours rapporté, les champs lexicaux, résumé Le symbolique du Moyen Age Itinéraire 1: Le modèle courtois

peint. Pour cela, le romancier multipliera les descriptions de lieux afin de rendre son roman fidèle à la réalité et de permettre au lecteur de s’imaginer au mieux le cadre. Ainsi Balzac entreprend une description minutieuse de la pension de Madame Vauquer dans Le Père Goriot (1834) et Zola fera de même pour les grands magasins parisiens dans son roman Au Bonheur des Dames (1883). De plus, puisque les romanciers réalistes préfèrent le réel au romanesque, ils optent pour des histoires réelles ou vécues

préfaçant Pierre et Jean la nécessité de créer par l'écriture « l'illusion de réel ». Le romancier serait donc une sorte de prestidigitateur. Par les mots, le langage, le style il fait du récit un miroir social. La description, fameuse, de la pension Vauquer inaugurant Le Père Goriot de Balzac fit voir littéralement chaque détail de l'habitation. La toile cirée, grasse, de la table d'hôte donne au lecteur l'impression d'y avoir passé sa main, les personnages sont décrits avec une telle acuité qu'on a

personnage et en montre les défauts (sentiment d’infériorité, égoïsme, etc.). Plaidoirie pour soi-même (Le Rouge et le Noir)  : Julien a blessé Mme de Rênal de deux coups de pistolet. Il est jugé et condamné à mort. Le texte est le discour de Julien devant ses juges. En effet, il dit qu’il a bien mérité la mort pour avoir tiré sur Mme de Rênal (l. 16), mais selon lui, son crime véritable et pour lequel il est condamné n’est pas celui d’avoir tiré sur une femme. Il est un jeune

(Newton ordonne le cosmos selon des lois générales). Le modèle naturel. Montesquieu (1689-1755) considère, dans L’Esprit des lois (1748), que l’homme doit s’inspirer des lois naturelles insufflées par Dieu pour fonder la société civile. Dans son Discours sur l’origine et les fondements de l’inégalité parmi les hommes (1755), Rousseau distingue l’homme de l’animal par sa perfectibilité. L’homme est bon, c’est la société civile qui l’a corrompu ; il lui appartient donc de retrouver les lois naturelles

par la figure balzacienne du narrateur, ce récit très riche permet d’initier les élèves au fonctionnement et à la spécificité du genre narratif, en examinant tour à tour les questions de la focalisation, de la structure temporelle, des formes du discours, de la description et du portrait, et en leur fournissant des outils d’analyse dont ils se resserviront par la suite. L’œuvre pourra en outre être lue à la lumière de l’objet d’étude « Un mouvement littéraire et culturel du XIXe siècle : le réalisme