Le Discours Narratif Chez Rousseau

sa mère, sa nourrice protectrice. XVIIeme siècle : -premier poème : François de Malherbe - Consolation à M. du Périer sur la mort de sa fille ( Extrait : strophes 1 à 7 ) Ta douleur, du Perier, sera donc éternelle ?       Et les tristes discours Que te met en l’esprit l’amitié paternelle       L’augmenteront toujours ? Le malheur de ta fille au tombeau descendue       Par un commun trépas, Est-ce quelque dédale où ta raison perdue       Ne se retrouve pas ? Je sais de quels appas

portugaises de Guilleragues.   - Au XVIII° siècle, on note en Angleterre Richardson avec Clarisse Harlowe, en Allemagne Goethe et Les souffrances du jeune Werther,  tandis qu’en France s’impose Montesquieu (Lettres Persanes) puis à la fin du siècle Rousseau (La nouvelle Héloïse) et Laclos (Les Liaisons dangereuses). C’est son apogée.   - Au XIX° siècle, Balzac poursuit perpétue l’utilisation de cette forme (Mémoires de deux jeunes mariées et Le lys dans la vallée)   - Au XX° siècle, le roman

le rythme de sa rêverie et les ressasse à l'envie. À la différence de la poésie ou de la peinture, le roman ne se pratique guère qu'en fonction d'un public. Aussi bien la conception du réel de l'écrivain est-elle orientée par celle qu'il présuppose chez ceux auxquels il s'adresse. La vraisemblance d''un roman s'apprécie moins en fonction de sa conformité à un réel variable suivant les lieux, les époques, les mentalités, voire les individus, qu'en vertu d'une cohérence interne avec laquelle l'écrivaine

dispute, une agonie, une duperie, etc.) ; - mettre en jeu des personnages de même type (un maître et son valet, des jeunes gens amoureux...) ; - appartenir au même genre littéraire (théâtre, roman, poésie, etc.) ; - mettre en jeu la même forme de discours (narrative, descriptive, argumentative) ; - s'inscrire dans le même registre (tragique, comique, ironique, etc.) ; - avoir la même visée (faire l'éloge, dénoncer, blâmer, etc.) ; - se situer à une place identique dans l'œuvre (scènes d'exposition

SEQUENCE NIVEAU 4ième : Autour de l’adolescence : du film aux textes, étude des portraits et points de vue dans le texte narratif Par Jean-François Dru, collège Nicolas Boileau – 91 St Michel sur Orge jfdru.fmeier@wanadoo.fr I/ Présentation de la séquence et objectifs : Cette séquence, consacrée à l’étude du portrait mais aussi des points de vue du narrateur dans le récit a été menée au début du troisième trimestre. Elle achève une série de plusieurs séquences consacrées à l’approfondissement

moraliste s’inscrit dans une mouvance littéraire initiée au XVIIe par La Rochefoucault et ses Maximes (1665) ainsi que Pascal et ses Pensées (1670). Élu en 1693 à l’Académie française, il fut peu apprécié de ses pairs et causa un scandale avec son discours de réception où il critiqua certains académiciens vivants ! Arrias a tout lu, a tout vu, il veut le persuader ainsi ; c'est un homme universel, et il se donne pour tel: il aime mieux mentir que de se taire ou de paraître ignorer quelque chose

angoissée par l’absence de Dieu Blason : éloge de la beauté corporelle. A la mode au XVIème ms trouve des traces ds romans courtois du M-Age. Elégie : Poème lyrique dt le ton est le + svt tendre ou triste Déterminisme : XVIIIème, 2 théories :- Rousseau = l’ho nait bon ms la société le perverti -Voltaire = société améliore l’ho Et théorie de Balzac au XIXème : hérédité, milieu pr expliquer comportement des gens DC nvelle percep° de l’o. Maintenant, plus l’humanité ms être à part

faire pour déplaire à Julien pour assurer son triomphe sur sa folle passion. Julien était très malheureux et s’enferma chez lui, il remit en question toutes ses qualités et pensa au suicide. Il dit que sa mort augmentera le mépris qu’a Mathilde pour lui. Il regardât vers la fenêtre de Mathilde et décida de grimer jusqu’à celle-ci. Il se dit qu’il va l’embrasser et puis qu’il rentra chez lui se tuer. Mathilde ouvrit la fenêtre et Julien se jeta à l’intérieur de la chambre. Ils se précipitèrent dans les

aussi carrefour ou point d’intersection et d’interaction de plusieurs langages, plusieurs formes, plusieurs sujets (thèmes)…, pour offrir un objet significatif, enrobé d’esthétique et de substances d’art, qui raconte l’histoire humaine, mais aussi un discours autotélique, qui jouit d’une autonomie en tant que discipline complètement indépendante malgré ses relations complexes et indéniables avec tous les domaines de la vie dont elle est partiale et partielle. La littérature/l’écriture est l’une des manifestations

atténuent la violence ou la cruauté des textes pour les jeunes lecteurs. Le rôle des éditeurs Un nouvel essor pour la littérature de jeunesse est intervenu avec l’intérêt nouveau pour la pédagogie à la fin du 18ème siècle avec Jean-Jacques Rousseau + l’apparition de secteurs de l’édition destinés spécifiquement à ce genre littéraire. Avec l’industrialisation, au 19ème siècle, le prix des livres baisse et la diffusion du livre se généralise. Les éditeurs vont jouer un rôle essentiel dans