Le Dol Une Erreur Provoquée

vices du consentement ; 2. La notion de l’erreur ; 3. L’extension de la notion d’erreur ; 4. Les limites de la notion d’erreur ; 5. Commentaire sommaire de l’arrêt. Cass. Soc., 3 Juillet 1990 ; 6. La violence 7. Le dol dans la formation du contrat; 8. Les conséquences du dol ; Les qualités du consentement Nous abordons aujourd’hui la question de la qualité du consentement. Pour qu’un contrat soit valablement formé, il est nécessaire que la volonté des parties existe et s’expriment ; mais

éléments fondamentaux : - accord de volonté. - juridiquement sanctionné. 1. Accord de volonté : Une ou plusieurs déclaration(s) de volonté exprimées par une offre de contracter et l'acceptation de cette offre. Si l'accord de volonté a été donné par erreur ou à la suite d'une tromperie, il y a un vice dans le consentement => le contrat pourra faire l'objet d'une annulation. Expression de la matière contractuelle (procédure civile s'y réfère souvent) et de la matière extra contractuelle => prolongement

en matière de vol, JCP 1955. I. 1256). 99. La complexité de la notion de soustraction tient, ensuite, à ce que dans la catégorie des soustractions juridiques entrent des soustractions très variées qui vont de la soustraction de choses remises par erreur, à la soustraction par simple photocopie d'un document, en passant par la soustraction par rétention injuste ou encore par non-paiement d'une chose achetée dans un libre-service. Ces soustractions ont un point commun : la victime dépossédée n'a pas

qui marque la procédure et le droit romain, explique le caractère très formaliste de la procédure archaïque. Pour introduire l’instance en présence du magistrat, chacune des parties doit accomplir un rituel de gestes et de paroles et commettre une erreur fait perdre le procès. L’instance est divisée en 2 phases: d’abord devant le magistrat (préteur), la phase «in jure», ensuite une phase devant un juré (non professionnel), la phase «in judicio». A) La phase in jure Les parties se présenter personnellement

formation du contrat suscite d’importantes difficultés pratiques, quand à l’exécution du contrat, il produit a l’égard des partis un effet obligatoire qui est le corolaire de l’autonomie de la volonté. Chapitre 1 : la formation du contrat Elle est provoquée par une offre qui doit etre précise et ferme, cad qu’elle doit contenir tous les éléments essentiels du futur contrat. Elle doit manifester la volonté non équivoque de s’engager. Cette offre doit etre extériorisé, cad qu’elle doit porter à la connaissance

dans sa formation, mais unilatéral dans son exécution (Donc c’est un acte de volonté mais les obligations ne sont valables que pour une seule des parties) - régime juridique du contrat sauf disposition textuelle contraire (ex : la violence, le dol sont des causes de nullités) - effets : ➢ abdicatif (renonciation) L’objet de l’acte doit être licité (conforme), de la même manière que la cause de l’acte. (ex : le testament, la reconnaissance d’un enfant, la renonciation d’une

s’apprécier selon les cas, en des degrés divers, selon les situations et pour certaines infractions : l’intention de l’auteur va porter sur l’acte et sur les conséquences de cet acte = ce que l’on appelle les infractions intentionnelles. On parle alors de dol pénal. Il y a d’autres infractions pénales dans lesquelles la volonté de l’auteur porte sur l’acte mais n’a pas l’intention d’obtenir un résultat = ce que l’on appelle les infractions non-intentionnelles, ce sont les infractions de négligence/d’imprudence

propriétaires des fonds sont les clients, mais la banque qui a la simple détention des fonds est également victime de ce détournement du fait de l'image portée à la profession. C. L'intention L'abus de confiance est un délit intentionnel, et le dol général est de ne pas respecter l'affectation convenue du bien, tout en ayant conscience du préjudice. Le problème dans l'abus de confiance est de distinguer la seule inexécution de la faute contractuelle de la faute pénale. Ex: un salarié utilise

extérieure à la partie, il s’agit du dol ou de la violence. Le Code civil a admis que le vice du consentement peut aussi résulter d’une cause intérieure à l’intéressé en ce sens qu’il a eu une fausse représentation de la réalité : c’est la notion d’erreur. L’Article 1109 a retenu ces trois vices de consentement. D’après cet Article, « Il n’y a point de consentement valable si le consentement n’a été donné que par erreur, s’il a été extorqué par la violence ou surpris par dol ». Paragraphe 1 : L’erreur C’est

libre et éclairée. Elle doit émaner d’une personne saine d’esprit et en état de discernement. Il n’y a point de contrat sans consentement émanant de l’une et de l’autre parties. ART. 41 ART. 42 ART. 43 ART. 44 La convention contractée par erreur, dol ou violence donne lieu à une action en nullité. Le contrat se forme par une offre ou sollicitation suivie d’une acceptation. Le contrat est réputé conclu dès que les parties se sont mises d’accord sur les clauses essentielles. Sauf volonté contraire