Le Douanier Rousseau

espagnole et meurt tragiquement alors qu'il venait juste de se marier.       Guillaume Apollinaire collabora à la Revue blanche, à la Plume, au Mercure de France et témoigna de toutes les découvertes et avant-gardes de son temps : l'art naïf (le Douanier Rousseau), l'art nègre, le fauvisme, le cubisme avec Braque et Picasso (les Peintres cubistes, 1913). Plus encore que ses contes, pleins de fantaisie et d'humour (l'Enchanteur pourrissant, 1909 ; l'Hérésiarque et Cie, 1910 ; le Poète assassiné, 1916)

Tableau: Marie laurencin, groupe d'artistes (1908) Comme artiste, on peut placer Melle Laurencin entre Picasso et le douanier Rousseau. Ce n'est pas là une simple indication hiérarchique mais une simple constatation de parenté. Son art danse comme Salomé entre celui de Picasso, nouveau Jean-Baptiste qui lave les Arts dans le baptême de la lumière, et celui de Rousseau, Hérode sentimental, vieillard somptueux et puéril que l'amour amena sur les confins de l'intellectualisme, c'est là que les anges

« Guillaume Apollinaire ». De 1905 à 1907, il exerce différents emplois dans la bourse, tout en publiant plusieurs écrits. 1907 est l'année de sa rencontre avec la peintre Marie Laurencin . A la même époque, Apollinaire fréquente Picasso, le Douanier Rousseau ... et devient journaliste, poète, critique d'art et conférencier. Toutefois, il fait un court séjour en prison en 1911 pour une affaire de complicité de vol. En 1914, Apollinaire parvient à s'enrôler comme artilleur dans l'armée française. En

éclairés du sage. Séance 7 Révision Je donne le schéma actanciel du film Séance 8 Etude de l’image J’étudie une des influences picturales du film : le Douanier Rousseau(1844-1910), I- j’ai choisi une œuvre du douanier que je la commente II- en savoir plus Au delà de sa méthode, ses sources d’inspiration étaient également neuves. Rousseau puisait son imagination dans l’imagerie populaire et paysanne de son enfance, mais également dans toute l’imagerie contemporaine de son temps. Ce sont les brochures

De 1905 à 1907, il exerce différents emplois dans la bourse, tout en publiant plusieurs écrits. 1907 est l'année de sa rencontre avec la peintre Marie Laurencin, autre muse pour son œuvre. A la même époque, Apollinaire fréquente Picasso, le Douanier Rousseau ... et devient journaliste, poète, critique d'art et conférencier. Toutefois, il fait un court séjour en prison en 1911 pour une affaire de complicité de vol. En 1913, Apollinaire publie Alcools, recueil majeur qui réunit son œuvre poétique depuis

œuvres picturales au 20e siècle. Le rêve, Henri Rousseau, 1910 Henri Rousseau né le 21 mai 1844 à Laval en France, il fait d'abord des études de droit puis travaille dans un octroi ce qui lui vaut le surnom du douanier Rousseau. C'est seul que Rousseau apprend la peinture, il peint alors un très grand nombre d'œuvres et son travail est maintenant considéré comme très important pour l'art auquel il a participé, appelé l'art Naïf. Le douanier Rousseau meurt d'une gangrène à la jambe à Paris dans l'Hôpital

Horta Victor Horta Emile Gallé 1880 : les Naïfs Les amateurs ont accès à la culture sous forme de cours du soir. Naît le salon des indépendants sans jury, avec la participation d’Henri Rousseau dit le Douanier Rousseau. H. Rousseau H. Rousseau 1900 : l’Expressionnisme Alors que les impressionnistes se contentent de la sensation visuelle, les expressionnistes l’enrichissent de la vie psychologique. L’artiste n’est plus celui qui sait

noir et blanc, ce qui laisse entendre que leur histoire est finie. Au contraire, Rimbaud est lui en couleur : il représente donc l’avenir du poète. La quatrième et dernière illustration est une œuvre du Douanier Rousseau intitulée « La Muse inspirant le poète ». Peintre autodidacte, Rousseau a cependant été lancé par Apollinaire qui voyait en lui le précurseur de l’art dit naïf. Ce tableau illustre bien le poème car, outre la femme présente au côté du poète, un parterre de colchiques tapisse le

par la grippe espagnole at meurt tragiquement alors qu'il venait juste de se marier.       Il collabora à la Revue blanche, à la Plume, au Mercure de France et témoigna de toutes les découvertes et avant-gardes de son temps : l'art naïf (le Douanier Rousseau), l'art nègre, le fauvisme, le cubisme avec Braque et Picasso (les Peintres cubistes, 1913). Plus encore que ses contes, pleins de fantaisie et d'humour (l'Enchanteur pourrissant, 1909 ; l'Hérésiarque et Cie, 1910 ; le Poète assassiné, 1916)

la grande farandole de la vie. Chacun à sa manière habille de sa présence chaleureuse ces immenses étendues bleutées. Christine nous offre comme un cadeau ces moments privilégiés, ces images de vie quotidienne à la manière des tableaux du Douanier Rousseau, révélant une vision idéalisée et utopique d'un monde perdu. C'est un grand défilé. On peut dire de son art pictural qu'il est «scénique». Une sorte de vaste théâtre où nous sommes tous conviés à participer à la fête. Peintre autodidacte