Le Dramatique Dans L Avare

SUJET: Les textes dramatiques Les numéros de pages renvoient manuels en usage au lycée Saint-Rémi : FMH = Français-Méthodes 2de-1re, Hachette, 2004 ; Litt-2de = Littérature 2de, Textes et séquences, Hatier, 2000. Bordas 1° = Français-Première, coll. Littérature, Bordas, 2001. Autres références : M&T = Français, Méthodes et techniques, cl. des lycées, Nathan ; G.I.L. = Guide des idées littéraires, Hachette ; Mots-clés = Les mots clés de l'épreuve de français, Hachette. ********************

un noble alors qu'il fait seulement partie de la classe des bourgeois. De plus L'écrivain de la pièce sait dédramatiser une scène en faisant rire le public. L'ecole des femmes de Molière en est un exemple, Agnès est séquestré, se qui est plutôt dramatique mais la scène comporte tout de même moulte aspects comiques. Nous avons pu voir d'une part, que les aspects comiques servent évidemment à faire rire; et d'autre part que le metteur en scène crée un spectacle en accord avec la comédie et la rend

France accompagnés de quelques généraux. Le Père Ubu est un des personnages principaux de l’histoire. C’est un personnage naïf et bête, il est influencé par sa femme. Il est cupide. Il est représenté comme un lâche qui veut toujours plus, c’est un avare. La Mère Ubu est le deuxième personnage principal de l’histoire. C’est une manipulatrice, elle mène son mari par le bout du nez. Elle est « le cerveau » du couple. Elle veut toujours être plus riche, ce qui va finir par la trahir. Venceslas est

ressorts romanesques. Dans ce roman, l’auteur met en scène Julien , un personnage incarnant les hommes de l’époque tels que Maupassant les percevait . Julien est un homme cupide , qui semble avoir épousé Jeanne pour ses biens. Il est également avare, aime son argent , et reproche à Jeanne de faire des dépenses inutiles. Son avarice le rend presque violent avec ses beaux parents qu’il juge également très dépensiers . Il est également infidèle : il trompe Jeanne à maintes reprises notamment avec

particuliers. A- La tragédie • Théâtre : respect des trois unités + vraisemblance et respect des bienséances. Niveau de langue soutenu, voire précieux. Unité de ton : une pièce tragique ne peut pas être burlesque. Son ton doit être essentiellement dramatique, pathétique. • Personnages hors du commun. Pas de roturiers, de bourgeois mais des dieux, demi-dieux, empereurs (Cf. Andromaque, Bérénice, Titus…). • Des personnages qui se retrouvent dans des conditions terribles : ex => Corneille, Le Cid : Rodrigue

grecque, rôle très important de la tragédie : valeur sociale et religieuse (liée au culte de Dionysos). Un choeur célébrait ce dieu en évoluant autour de son autel. Avec la présence d'acteurs apparurent les dialogues, introduits par Eschyle. Le poète dramatique est reconnu dans la cité ; nombreux concours à l'issue desquels le gagnant est très valorisé. Public nombreux et populaire (gratuité des places pour les plus démunis). La représentation se déroule dans une théâtre en demi-cercle à ciel ouvert, qui

nous. La prose, en effet, entre en contradiction avec le projet esthétique de Molière à ce moment de sa carrière, projet mis en œuvre notamment dans L’Avare lui-même. Dans les années 1660, Molière tente de constituer et d’affermir dans le champ dramatique ce qu’on appellera plus tard la « grande comédie » (il n’utilise pas le terme lui-même), c’est-à-dire de donner à la comédie une forme analogue à celle de la tragédie, qui lui permette d’entrer tant soit peu en concurrence avec elle, aux yeux du

des gens du peuple. Théâtre de grande renommée, les Comédiens-Italiens diffusent cet art à Paris qui influença les plus grands auteurs dont Molière. II/ L’influence sur Molière Molière, de son vrai nom Jean-Baptiste Poquelin, est un auteur dramatique et comédien né à Paris en 1622. Il fait des études de droit qu’il ne finira pas et fonde une troupe de théâtre qu’il baptise l’Illustre Théâtre, entreprise vouée à l’échec. Grâce à l’aide d’un duc, Molière recrée une nouvelle troupe et parcoure

latine, confère d’avantage de relief à ses personnages. La pantomime, héritée du théâtre populaire étrusque, lui inspire certains jeux de scène. Il exploite remarquablement les situations qui font rire, témoin « sa petite marmite » où se démène un avare volé, digne ancêtre d’Harpagon. Ses successeurs (Térence, par exemple) composent des pièces plus littéraires, les togatæ (d’après le nom du manteau romain, la toge.) Pourtant, c’est par une toute autre voie que Rome va influencer le théâtre comique

mais recevait sans doute une pension de 800 livres de la part du roi. Il vivait sinon de l’argent qu’il se faisait en tant qu’écrivain. Il est mort le 12 février 1763 également à Paris après une carrière de journaliste, de romancier et d’auteur dramatique. Personnages : Iphicrate : maître d’Arlequin ; étymologie : « Iphis » désigne force ; « crate » de « cratos » signifie pouvoir (deux de ses traits de caractère) Arlequin : originaire de Naples ; aime l’alcool ; * Euphrosyne : maîtresse de Cléanthis ;