Le Droit humain

Benjamin SIDI Ibrahim TEDJOUOLA Mayel VODA Chantale Sous la direction de : Mr GANSOU Gérard PLAN Introduction I- L'eau: une préoccupation pour tous A. L'eau, besoin fondamental ou droit fondamental II- L'eau: un bien fondamental de la création de Dieu III- Un droit humain à l'eau IV- L'eau: un facteur-clé pour la paix et la sécurité V- Une "culture de l'eau" VI- Administration et gestion de l'eau: une question de justice et de responsabilité VII- Les catastrophes naturelles

être humain est protégé ». Il se joint aux Evêques italiens et nous invite à nous impliquer davantage dans la vie et la famille, afin de répondre à la crise actuelle qui frappe la société. One of Us fait partie de l’un des nouveaux outils de démocratie participative de l’Union Européenne et représente l’un des premiers exemples d’ICEs pour la défense de la vie humaine dès la conception. Cette initiative permettra de demander à l’UE de ne pas financer la recherche sur les embryons humains. One

Droit aux biens et aux personnes On distingue en droit le droit privé et le droit public. Le droit privé est le droit qui régit les relations entre les particuliers. Le droit public est le droit qui régit les relations entre l’état et les particuliers. Introduction : Dans le droit privé notre système juridique est composé d’un ensemble de règles qui régissent la vie sociale ce qui équivaut au droit dans son sens 1er du terme. Celui-ci est le droit objectif. A l’intérieur de ce système les

fondamental de droit, du Traité des ordres et simples dignités de Charles Loyseau à une reconnaissance constitutionnelle de la dignité en 1994, peut-on universaliser et adopter une commune appréciation du principe de dignité humaine espérant obtenir une véritable efficacité face à l’indignité ? Emmanuel Kant, dans la Métaphysique des mœurs, apporte une approche fondamentale de la notion de dignité humaine. Il tente de répondre à une question essentielle : qu’est ce que la dignité humaine ? Etymologiquement

personnalité juridique =>« la personne c'est l'individu qui est titulaire de droit et d'obligation c'est un sujet de droit » mais la personne existe aussi en dehors du droit : nous sommes physique et réaliste car nous sommes fait de chair et d'os. Le droit ne peut que constater notre existence ce n'est pas lui qui décide de notre existence. Le droit ne peut pas retirer la réalité physique, la qualité d'être humain. Il n'est pas toujours évident de le distinguer comme avec les embryons, ou

de vue du droit humain, peut-il être justifié ? L’auteur pose en fait que celui-ci est justifié par les droits naturel et divin, lorsqu’il correspond à une nécessité impérieuse (sinon c’est un vol crapuleux). Pour lui, un homme dont la survie est menacée peut s’emparer du bien d’autrui, sans être puni pour vol. La réflexion de Saint Thomas d’Aquin peut être divisée en trois parties. Dans un premier temps (l. 1 à 7), l’auteur énonce ceci, suite à un raisonnement déductif : le droit humain étant issu

l’enfance. Je trouve intéressant de débuter par cela, car il me semble pertinent de montrer la place de la législation ainsi que son évolution dans le temps. Dans l’histoire, l’enfant n’a pas toujours été reconnu comme maltraité et sa condition humaine ne faisait pas de lui un protégé. L’enfant a souvent été l’objet de maltraitances non reconnues par la société et pour lutter contre ses maltraitances qui lui ont été faite, la justice a mis en place une législation pour sa protection. La

Les droits de la personnalité Il fut un temps, au milieu du XX è siècle, où certain considéraient que les droits de la personnalité n'existaient pas. Le doyen Roubier considère que ces droits de la personnalité ne sont pas des droits, ne sont pas des prérogatives des individus. Il considère que ce sont des devoirs imposés à tous les autres. Il dit « on peut dire que c'est mon droit si j'en fais ce que je veux » (si j'ai le droit de le vendre, de ne pas l'exercer...) Ex : J'ai un droit de propriété

Bibliographie Manuels : Patrick Daillier, Mathias Forteau et Alain Pellet, Droit international public, LGDJ, Paris, 2009, 8e édition, 1079 pages. P.-M. Dupuy, Droit international public, Dalloz, Paris, 2008, 9e édition, 879 pages. Ouvrages : Alain Pellet, Droit d’ingérence ou devoir d’assistance humanitaire ? , La Documentation française, PPS, n°758-759,1995, 133 pages. Mario Bettati, Le droit d’ingérence : mutation de l’ordre international, O. Jacob, Paris, 1996, 384 pages.

droit civil INTRODUCTION GENERALE : Paragraphe 1 : LES CLASSIFICATIONS : La grande classification du droit civil est une opposition entre les personnes et les choses. Au regard du droit civil, nous sommes des personnes, nous ne sommes pas des choses. Cette classification fonctionne sur le mode de l’étanchéité et des vasques communicants. La catégorie des choses est dite résiduelle : elle récupère tout ce qui n’est pas dans la catégorie des personnes. En droit, les